MonstreLePuissant a écrit :Camille, je ne te dis pas que tu n'as pas raison. Ce que j'aimerai savoir, c'est comment tu parviens à la conclusion que Jésus peut contenir Dieu simplement parce qu'il dit que le Père demeure en lui et inversement. Vu qu'il demeure dans ses disciples et inversement, tu devrais arriver à la même conclusion. Il ne devrait pas y avoir deux poids et deux mesures.
Mais tu ne m'as toujours pas répondu : en quoi est ce que le fait que Jésus ne soit pas Dieu est-il contraire à l'Ecriture ?
Il est un avec c'est disciple car le Christ est le chef de l'église et seront un au noce de l'agneau.
sur cela je suis D'accord...
Le texte donné ne dit que Jésus est un avec ces disciples mais parle de l'enseignement de christ et de le suive et des fruits qui résultera.
Si Jésus ne serait pas Dieu c'est contraire aux passages bibliques qui démontre des indices qu'il peut l'être.
''Dieu avec nous''
''La parole est Dieu''
''moi et le Père nous somme un''
''Celui qui m'a vue a vue le Père''
Il y a une resemblance avec l'Éternel dans l'histoire que Jésus a véçu est-ce que tu nieras cela ?
Zacharie 11:13 L’Éternel me dit : Jette–le au potier, ce prix magnifique auquel ils m’ont estimé ! Je pris les trente (pièces) d’argent, et je les jetai dans la Maison de l’Éternel, pour le potier.
Zacharie 12:10 Alors je répandrai sur la maison de David Et sur les habitants de Jérusalem Un esprit de grâce et de supplication, Et ils tourneront les regards vers moi, Celui qu’ils ont transpercé. Ils porteront son deuil Comme on porte le deuil d’un (fils) unique, Ils pleureront amèrement sur lui, Aussi amèrement que sur un premier–né.
Est-ce assez complet pour voir qu'il peut l'être ?
Tu es contre tout cela comme argument ?
Christ lui-même souligne constamment sa divinité. Il s’applique à lui-même le « Je suis » de Yahvé (#Jn 8:24, en grec : « Si vous ne croyez pas que Je suis » ; #Jn 8:58). Les Juifs aussitôt comprennent sa prétention à la divinité et veulent le lapider (#Jn 8:59 ; cf. #Jn 5:18; 10:30-33). Jésus déclare qu’il est le Seigneur de l’Ancien Testament (#Mt 22:42-45), étant essentiellement un avec le Père (#Jn 10:38; 14:9-11; 17:3,11,22). Il possède les attributs divins : omniprésence (#Mt 18:20 ; #Jn 3:13), omniscience (#Jn 2:24-25; 11:11-14 ; #Mr 11:1-8), toute-puissance (#Mt 28:18 ; #Lu 7:14 ; #Jn 5:21-23), éternité (#Jn 8:58; 17:5), sainteté (#Jn 8:46), grâce salvatrice (#Mr 2:5-7 ; #Lu 7:48-49). Jésus accepte et approuve l’adoration des hommes (#Mt 2:11; 14:33; 28:9 ; #Lu 24:52 ; #Jn 5:23; 20:28).
Les écrivains du Nouveau Testament reconnaissent également au Christ des titres et des attributs divins (#Jn 1:1,3,10 ; #Ro 9:5 ; #Col 1:16-17 ; #Hé 1:2; 8$-12$; 13:8 ; #1Jn 5:20). Ils enseignent que l’adoration lui est due, comme au Père (#1Co 1:2 ; #Ph 2:10-11 ; #Hé 1:6 ; #Ap 5:12-13). Pour eux, sa résurrection a été la preuve éclatante de sa divinité (#Ro 1:4).
2. Divinité du Saint-Esprit. Elle est aussi clairement affirmée. Le Saint-Esprit est appelé l’Esprit de l’Éternel, de Dieu, du Seigneur, avec toute l’intimité et l’unité de nature que cela comporte (cf. #1Co 2:10-11). Le Seigneur, c’est l’Esprit (#2Co 3:17). Dieu est Esprit (#Jn 4:24). L’Esprit parle et agit comme étant Dieu lui-même (#Ac 13:2) ; lui mentir c’est mentir à Dieu (#Ac 5:3-4). Des œuvres divines lui sont attribuées (#Job 33:4 ; #Ps 104:29-30 ; #Jn 3:8; 6:63 ; #Ro 1:4; 8:11 ; #2Co 3:18, etc.). L’Esprit-Saint vient du Père, il est envoyé à la fois par lui et par le Fils (#Jn 15:26; 14:16; 16:7 ; #Ac 2:33). Voir Saint-Esprit.
3. L’unité des trois Personnes divines. Tout en révélant sans cesse le Dieu unique, l’Ancien Testament fait pressentir la pluralité au sein de la divinité. #Ge 1:1 dit en réalité : « Au commencement les Dieux (Elohim, plur.) créa », et #Ge 1:2 mentionne en même temps l’Esprit de Dieu présent lors de la création. Dieu dit après la chute : « Voici l’homme est devenu comme l’un de nous... » (#Ge 3:22). Parmi les prophéties relatives au Messie, le psalmiste parle en ces termes du Fils et du Père : « Ô Dieu, ton Dieu t’a oint... » (#Ps 45:8). Le Nouveau Testament présente constamment les 3 Personnes divines unies dans l’œuvre du salut, comme elles l’ont été dans la création. Le Père, le Fils et l’Esprit sont manifestés lors du baptême de Jésus (#Mt 3:16-17). Christ ordonne que les disciples soient baptisés au nom (singulier) du Père, du Fils et du Saint-Esprit (#Mt 28:19). La nouvelle naissance est possible par la régénération du Saint-Esprit, l’amour du Père et le don du Fils sur la croix (#Jn 3:5-6; 14$-16$). Le Père, le Fils et l’Esprit viennent faire leur demeure dans le cœur du croyant (#Jn 14:17,23 ; cf. #1Co 3:16-17; 6:19 ; #Col 1:27) ; ils communiquent ensemble la plénitude de la vie divine (#Ep 3:14; 16-19). La bénédiction apostolique est donnée en leur triple nom (#2Co 13:13). La résurrection du Christ est attribuée au Père, à Jésus lui-même et à l’Esprit (#Ac 2:24 ; #Jn 2:19; 10:17-18 ; #Ro 8:11) ; il en est ainsi de notre propre résurrection (#Jn 5:21; 6:40 ; #Ro 8:11 ; pour d’autres passages trinitaires, voir #Ac 2:33 ; #1Co 12:4-6 ; #Ep 4:4-6 ; #1P 1:2 ; #Ap 1:4-6, etc.). Les 3 Personnes sont unies de telle manière qu’elles manifestent la plénitude du seul Dieu vivant : elles accomplissent les mêmes œuvres et reçoivent la même adoration. Il y a entre les trois Personnes divines une unité totale, un amour infini, une soumission parfaite au Père, une harmonie incomparable. Le strict monothéisme de l’Ancien Testament n’en est nullement compromis. Par un progrès dans la révélation nous avons simplement appris à connaître quelque chose de plus de l’ineffable nature de Dieu. Dans l’Ancien Testament, nous avions avant tout la révélation du Créateur et Père souverain, « Dieu pour nous » ; dans les évangiles, le Seigneur s’est approché au point d’être « Dieu avec nous » Emmanuel ; depuis la Pentecôte, il est devenu « Dieu en nous » par le Saint-Esprit.
Le dogme de la trinité a suscité beaucoup de controverses et d’essais d’explication. Reconnaissons que le mystère de la personne divine nous dépassera toujours ; car qui peut sonder de telles profondeurs ? À propos de notre être, Paul mentionne l’esprit, l’âme et le corps (#1Th 5:23), et nous ne saurions pas dire comment ils sont unis, ni préciser toujours où l’un commence et l’autre finit. Pourtant, cette diversité ne divise pas, mais enrichit notre personnalité. Admettons donc, puisque la Bible l’enseigne si clairement, que le Père, le Fils et l’Esprit constituent ensemble le seul Dieu que nous adorons.