DE L'HUMOUR AU PALAIS DE JUSTICE
Mary Louise Gilman, le vénérable éditeur du 'National Shorthand Reporter' a une collection de plusieurs autres hilarités du Palais de Justice qui sont compris dans deux livres - 'Humor in the Court (1977) et 'More Humor in the Court'. À parti des deux volumes de Mrs. Gilman, voici certaines transcriptions préférées du publique, tous ont été enrégistré par les gardiens(nnes) du mot en Amérique:
Q. Avez-vous déjà resté toute la nuit avec cet homme à New York?
R. Je refuse de répondre à cette question.
Q. Avez-vous déjà resté toute la nuit avec cet homme à Chicago?
R. Je refuse de répondre à cette question.
Q. Avez-vous déjà rsté toute la nuit avec cet homme à Miami?
R. Non.
Q. Maintenant, Mme Johnson, comment fut terminé votre premier mariage?
R. Par la mort.
Q. Et par la mort de qui fut-il terminé?
Q. M. le Médecin, avez-vous dit qu'il fut tiré dans les bois?
R. Non, j'ai dit qu'il fut tiré dans la région lombaire.
Q. Comment vous appelez-vous?
R. Erniestine McDowell.
Q. Et quel est votre statut marital?
R. Assez bon.
Q. Etes-vous marié?
R. Non, je suis divorcée.
Q. Et que faisait votre mari avec que vous l'avez divorcé?
R. Beaucoup de choses dont je ne pas.
Q. Et qui est cette personne dont vous etre entrain de parler à propos?
R. Mon ex-veuve le disait.
Q. Comment est-ce arrivé que vous avez été voir le Dr. Cherney?
A. Hé bien, une femme en-bas de la rue de chez-moi avait eu plusieurs de ses enfants par le Dr. Cherney, et elle a dit qu'il était très bon.
Q. Savez-vous combien enceinte que vous etes maintenant?
R. Je vais etres de trois mois le 8 novembre.
Q. Apparemment alors, la date de la conception fut le 8 aout?
R. Oui.
Q. Que faisiez-vous à ce moment là, votre mari et vous?
Q. Mrs. Smith, croyez-vous que vous etex instable émotionnellement?
R. Je devrais l'etre.
Q. Combien de fois avez-vous commi le suicide?
R. Quatre fois.
Q. M. le Médecin, combien d'autopsies avez-vous pratiquez sur des personnes mortes?
R. Toutes mes autopsies ont été pratiqué sur des personnes mortes.
Q. Étiez-vous famillier avec le défunt?
R. Oui, monsieur.
Q. Avant ou après son décès?
Q. Monsieur le gendarme, qu'est-ce qui vous a fait penser que le défendant était sous l'influence?
R. Parce qu'il s'argumentait avec moi et qu'il ne pouvait pas prononcer ses mots.
Q. Qu'a-t-il alors arrivé?
R. Il me dit, il a dit, "Je dois te tuer parce que tu peut m'identifier."
Q. Vous as-t-il tué?
R. Non.
Q. Mrs. Jones, est-ce que votre apparance ici ce matin à la cours fait suite à la notice que j'ai envoyé à votre conseiller juridique?
R. Non. Ceci est la manière dont je m'habille lorsque je vais au travail.
LE TRIBUNAL: Maintenant, pour que nous puission débuter, je dois vous demander de banir toutes les informations présentes et les préjudices de votres pensées, si vous en avez.
Q. A-t-il ramassé le chien par les oreilles?
R. Non.
Q. Qu'était-il entrain de faire avec les oreilles du chien?
R. Il était entrain de les ramasser dans les airs.
Q. Où était le chien à ce moment là?
R. Attacher aux oreilles.
Q. Lorsqu'il quitta, aviez-vous parti et avait-elle, si elle le voulait et était capable, pour le moment présent excluant toutes les restreintes sur elle pour ne pas y aller, y a été aussi, vous aurait-il apporté, en voulant dire vous et elle, avec lui à la station?
MR. BROOKS: Objection. Cette question devrait etre retirée et tirée.
Q. Et en dernier, Jimmy, toutes vos réponses devront etre orales. O.K.? À quelle école allez-vous?
R. Oralle.
Q. Quel age avez-vous?
A. Oral
Q. Quelle est votre relation avec la plaingnante?
R. Elle est mon enfant, ma fille.
Q. Était-elle votre fille en date du 13 février 1979?
Q. Maintenant, vous avez enqueté sur d'autres meurtres, n'avez-vous pas, où il y avait une victime?
Q. (...)et qu'a-t-il vait après celà?
R. Il arriva à la maison, et le lendemain matin il était mot?
Q. Donc, lorsqu'ils se réveilla le lendemain matin il était mort?
Q. Avez-vous dit à votre avocat que votre mari vous avait offert des indignités?
R. Il ne m'a pas offert rien; il a seulement dit je peut avoir les meubles.
Q. Bon, après l'anesthésie, lorsque vous vous en etes sorti, qu'avez-vous observé par égard à votre cuire chevelure?
R. Je n'ai pas vu mon cuire chevelure pendant toute le temps que j'étais à l'hopital.
Q. Il était recouvert?
R. Oui, et bandagé.
Q. Et puis, plutard... qu'avez-vous vu?
R. J'avais une greffe de la peau. Mes fesses entières et man jambe avaient été enlevé et mis sur le dessus de ma tete.
Q. Pouviez-vous le voir à partir d'oz vous vous teniez debout?
R. Je pouvais voir sa tete.
Q. Et où était sa tete?
R. Juste au-dessus de ces épaules.
Q. Que pouvez-vous nous dire à propos de l'honneteté et de la véracité de la défendante?
R. Ho, elle va dire la vérité. Il avait dit qu'elle était pour tuer cet enfant de ( @\!+¨¨^ ) -- et elle l'a faite!
Q. Buvez-vous lorsque vous etes en devoir?
R. Je ne bois pas lorsque je suis en devoir, à moins que j'arrive en devoir déjà ivre.
Q. (...)y a-til des suggestions à savoir qu'est-ce qui a prévenu que ceci deviendrait un procès pour meurtre au lieu d'un pour attentat de meurtre?
R. La victime est encore vivante.
Q. Etes-vous active sexuellement?
R. Non, je ne fait que rester coucher là.
Q. Etes-vous qualifier pour donner un échantillon d'urine?
R. Oui, je le suis depuis mon jeune-age.
Q. La vérité dans cette affaire est que vous n'etiez pas un témoins neutre et objectif, n'est-ce pas. Vous aussi etiez tiré dans le fracas?
R. Non, monsieur. Je fut tiré à mi-chemin entre le fracas et le nombril.
Q. Quelle est la signification qu'il y ait des

spermes

qui soient présents?
R. Celà indiquerait une relation sexuelle.
Q. Du

sperme

male?
R Celà est la seule sorte que je connaisse
Q. (En montrant un photo d'un homme). Est-ce vous?
R. Oui, monsieur.
Q. Et vous étiez présent lorsque la photo fut prise, correcte?