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Posté : 12 oct.06, 21:39
par florence.yvonne
oui, aussi :D

Posté : 13 oct.06, 01:39
par septour
c'est une bonne idée ,merci flo.

Posté : 13 oct.06, 02:17
par florence.yvonne
par contre, l'espace, cela n'est pas avant la virgule qu'il faut le mettre, mais après. :wink:

Posté : 13 oct.06, 04:06
par septour
par contre ceci est une convention et je ne suis pas "conventionnel",mes espaces virgules je les seme au petit bonheur ,sans remord. :wink:

Posté : 13 oct.06, 04:08
par septour
:wink:

Posté : 13 oct.06, 05:11
par bsm15
... pfff... si tu en es encore à dire "moi je suis un rebelle, je me fiche des conventions", hé bien... fais-le par politesse, et pas par respect des conventions :?

Posté : 13 oct.06, 05:22
par paul H.
Pasteur Patrick a écrit :La question du pardon pour les fautes de tiers, je crois que cela ne peut relever que de l'effet symbolique. La faute, quelle qu'elle soit et de qui qu'elle vienne ne peut retomber sur d'autres et certainement pas sur les descendants ou les successeurs. Cela n'aurait aucun sens de me reprocher à moi les exactions de mes ancêtres celtes ou l'esclavagisme du temps des colonies.
L'Église romaine, à cause de sa structure en pyramide, fait porter le chapeau au "prince" (princeps: le premier) de la communauté romaine. On peut le comprendre, mais la responsabilité n'est pas "personnelle" dans ce cas précis, elle est symbolique. En ce sens, il n'y est aucunement contraint.
C'est une question "politique" au fond.

Bonne journée
Oui tout à fait !

Il s'agissait, en tant que "primus" de l'institution, de reconnaître les torts passés et présents de l'Eglise catholique pour exhorter les catholiques eux-mêmes à "se convertir"... Le pardon était symbolique puisqu'il était demandé aux hommes ayant souffert de ces torts...