Re: Conclusion d une recherche
Posté : 19 avr.17, 10:23
Je n'aurais pas de moi même osé affirmer si la certitude qui m'anime n'aurait été de Dieu.
Je n'aurais jamais eu l'idée de même lire le Coran.
Les circonstances déjà.
Dans la paroisse de mon village le prêtre organise des assemblées qu'il appelle "profession de foi" pour débattre d'un sujet tiré de la Bible.
La première fois où j'y suis allée, j'étais là, assise au premier rang, nous étions environ 60/70 personnes dans la salle.
Nous écoutions le prêtre lorsqu'un homme lève le doigt et demande une réponse à une question soulevée à l'attention du prêtre.
La question est : "mon père est ce que le Dieu de la Bible est le même que le Dieu du Coran".
Le prêtre dit aussitot "non" le Dieu du Coran est un Dieu....... je n'ose dire ce qu'il a dit.
J'ai réagi sur ma chaise, mes yeux ont trahi mon étonnement car aussitôt le prêtre me demande ce qui a l'air de soulever chez moi cette réaction.
Je lui répond mon étonnement mais je ne dis rien d'autre, pour moi il était acquis que les Musulmans soient dans leur religion, nous dans la nôtre, et que nous avions à louer un seul et unique même Dieu.
Sur cet entre fait le prêtre reprend la parole et dit à la cantonade "celui qui veut changer de religion qu'il le fasse".
La réunion terminée je pars mais dans l'intention d'en parler un peu plus avec le prêtre pour avoir plus d'information sur son déni de l'Islam.
Je n'avais jamais lu une seule ligne du Coran, c'est pour satisfaire ma curiosité que j'ai sollicité un rendez vous.
Je le rencontre une semaine après, mais ne me dit rien sur rien, renonce à me dire quoi que ce soit, nous parlons de choses et d'autres et je pars en lui ayant serré la main.
Une semaine plus tard, je vais chez mon notaire et à la fin de notre entrevue me dit, madame, avez vous vu le Coran de quelle violence il témoigne ? J'écarquille les yeux, je m'étonne qu'un notaire ne me parlât du Coran alors que ce sujet n'avait rien à faire dans le sujet qui nous occupait, paperasses administratives.
Là encore je lui dit mon étonnement, et curieuse une nouvelle fois, je demande des éclaircissements.
Il me dit, je vous donne pour références des versets, vous ferez votre propre jugement à partir de leur lecture.
Je rentre chez moi, et l'aventure commence.
Non pas que je ne compris rien, tout était clair, je lisais ces versets comme on lit une histoire explicite.
Bien entendu, je pourrais en dire que la minute d'avant, la confusion par la complexité de la trame coranique, l'instant d'après, ils sont clairs comme de l'eau limpide.
Et plus je les lisais, et plus je les comprenais et plus se décryptait le message de Dieu lequel tourne autour de reproches pour beaucoup, d'amour bien entendu, et avertissements, pour aboutir à l'idée émergente que tout n'est que rappel de notre Bible enseignante.
Je n'aurais jamais eu l'idée de même lire le Coran.
Les circonstances déjà.
Dans la paroisse de mon village le prêtre organise des assemblées qu'il appelle "profession de foi" pour débattre d'un sujet tiré de la Bible.
La première fois où j'y suis allée, j'étais là, assise au premier rang, nous étions environ 60/70 personnes dans la salle.
Nous écoutions le prêtre lorsqu'un homme lève le doigt et demande une réponse à une question soulevée à l'attention du prêtre.
La question est : "mon père est ce que le Dieu de la Bible est le même que le Dieu du Coran".
Le prêtre dit aussitot "non" le Dieu du Coran est un Dieu....... je n'ose dire ce qu'il a dit.
J'ai réagi sur ma chaise, mes yeux ont trahi mon étonnement car aussitôt le prêtre me demande ce qui a l'air de soulever chez moi cette réaction.
Je lui répond mon étonnement mais je ne dis rien d'autre, pour moi il était acquis que les Musulmans soient dans leur religion, nous dans la nôtre, et que nous avions à louer un seul et unique même Dieu.
Sur cet entre fait le prêtre reprend la parole et dit à la cantonade "celui qui veut changer de religion qu'il le fasse".
La réunion terminée je pars mais dans l'intention d'en parler un peu plus avec le prêtre pour avoir plus d'information sur son déni de l'Islam.
Je n'avais jamais lu une seule ligne du Coran, c'est pour satisfaire ma curiosité que j'ai sollicité un rendez vous.
Je le rencontre une semaine après, mais ne me dit rien sur rien, renonce à me dire quoi que ce soit, nous parlons de choses et d'autres et je pars en lui ayant serré la main.
Une semaine plus tard, je vais chez mon notaire et à la fin de notre entrevue me dit, madame, avez vous vu le Coran de quelle violence il témoigne ? J'écarquille les yeux, je m'étonne qu'un notaire ne me parlât du Coran alors que ce sujet n'avait rien à faire dans le sujet qui nous occupait, paperasses administratives.
Là encore je lui dit mon étonnement, et curieuse une nouvelle fois, je demande des éclaircissements.
Il me dit, je vous donne pour références des versets, vous ferez votre propre jugement à partir de leur lecture.
Je rentre chez moi, et l'aventure commence.
Non pas que je ne compris rien, tout était clair, je lisais ces versets comme on lit une histoire explicite.
Bien entendu, je pourrais en dire que la minute d'avant, la confusion par la complexité de la trame coranique, l'instant d'après, ils sont clairs comme de l'eau limpide.
Et plus je les lisais, et plus je les comprenais et plus se décryptait le message de Dieu lequel tourne autour de reproches pour beaucoup, d'amour bien entendu, et avertissements, pour aboutir à l'idée émergente que tout n'est que rappel de notre Bible enseignante.