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Posté : 20 mars06, 00:00
par septour
la tolerance c'est savoir que la destination est la méme pour tous,peu importe le chemin emprunté.

Posté : 20 mars06, 01:21
par De Joinville
septour a écrit :la tolerance c'est savoir que la destination est la méme pour tous,peu importe le chemin emprunté.

La tolérance n'existe pas.
Seuls le respect et l' amour ont un sens.
Posté : 20 mars06, 01:26
par septour
celui qui tolere doit aussi aimer et avoir du respect,ça va de soi.

Posté : 20 mars06, 01:36
par De Joinville
septour a écrit :celui qui tolere doit aussi aimer et avoir du respect,ça va de soi.

Tout à fait.
Pourquoi ?
Parce que la tolérance a été inventé pour ceux qui ne vivaient pas dans le respect ou l'Amour de l'autre.
Mot créé de toute pièce par Mvt humaniste époque guerre de religions.
Posté : 20 mars06, 16:23
par ahasverus
Respect des convictions des autres et tolerance, sont synonymes.
J'aime ma femme et je respecte ses convictions religieuses qui ne sont pas les miennes.
Et je suis capable de comprendre la difference.
J'ai vecu 25 ans en milieu musulman, j'ai appris la tolerance envers ceux qui ne pensent pas comme moi.
Pour connaitre la difference entre amour et tolerance il faut le vivre.
Posté : 20 mars06, 22:17
par Atheos
Le respect peut très bien se passer d'amour.
Par exemple je respecte mon voisin, mais c'est pas pour ca que je l'aime.
Et je le tolère aussi, sans l'aimer.
Posté : 20 mars06, 22:41
par nuage
Je suis mal barré...j'aime et je tolère...c'est grave? 
Posté : 20 mars06, 23:37
par medico
Atheos a écrit :Le respect peut très bien se passer d'amour.
Par exemple je respecte mon voisin, mais c'est pas pour ca que je l'aime.
Et je le tolère aussi, sans l'aimer.
c'est la coxésitence pacifique

et est basé sur les rapports de forces
Posté : 21 mars06, 01:26
par Falenn
medico a écrit :
c'est la coxésitence pacifique

et est basé sur les rapports de forces
Et l'empathie surtout : on se met à sa place, on aurait pu être lui et lui aurait pu être nous. La vie (gènes et expériences) nous a fait différents.
On sort d'une échelle verticale des valeurs pour entrer dans une vraie notion d'égalité. Ni mieux, ni pire, mais autre, tout simplement.