ESTHER1 a écrit : 17 nov.25, 23:59
Ben non, j'ai pas envie d'être réincarnée dans un pourceau poursuivi par tout le monde, pour sûr !
En fait, ESTHER1, quel est le message subliminal que D.IEU veut nous faire passer par l'histoire des pourceaux ?
"Les pourceaux" ce sont des bébés porcs.
Et les porcs ont pour femelle les truies.
Et les truies nous les retrouvons dans l'Epitre de Pierre lorsqu'il dit grosso modo " vous qui avez été rachetés à grand prix et que j'ai pris à coeur donc de pardonner, de vous faire revivre sur une terre (car pardonnés ça ne veut pas dire acceptés au Paradis cependant) et sur cette terre je vous ai donné mon amour de Père, je vous ai donné "la foi" (la foi c'est l'amour de D.IEU dans le coeur de ces hommes) cette "foi" (cet amour) pour vous aider à sortir du péché, à vous rendre propres, et je vous ai réunis dans mon Eglise, l'Eglise catholique, mais à l'intérieur de cette Eglise vous y avez dit mille blasphèmes, alors, vous messieurs, et bien vous êtes comme les truies qui, une fois propres, se roulent dans le bourbier.
Donc vous êtes des démons messieurs, votre esprit est sale, vous savez que je vous surveille, je vous jauge, je vous accompagne, je vous aide en vous parlant de mon Esprit Saint à votre esprit lorsque vous buttez sur des explications bibliques, tout ça pour vous sortir de votre condition de pécheurs, et vous, vous blasphémez ?
Et bien lorsque vous mourrez, puisque le mal est fait, vous serez des bébés truies, j'endormirais votre discernement pour qu'encore vous soyez dans la salissure, des bébés truies mais comme vous êtes des hommes des bébés porcs, des pourceaux, et je vous jetterais de la falaise, et encore vous vous réincarnez, et ceci jusqu'à la fin du monde, car à votre première incarnation vous m'avez insulté, donc le mal est fait, vous êtes impardonnables.
(nota bene : D.IEU a fait dire "truies" à Pierre car pour des hommes, être traités de truies c'est pire encore)
Des truies c'est encore plus sale.
Les prêtres ce sont donc "des truies"
Le mot « truie » désigne la femelle du porc, et dans l’usage injurieux, il vise à dégrader une personne en l’associant à un animal perçu comme sale, glouton ou vulgaire.
Féminisation forcée : « truie » est un terme exclusivement féminin. L’appliquer à des hommes introduit une humiliation supplémentaire, en leur imposant une identité animale féminine.
Pluralisation : en disant « truies » au pluriel, Pierre ne vise pas un individu mais un groupe, ce qui renforce la charge collective et la déshumanisation.
À une femme : « truie » = animalisation + sexisme + impureté.
À un homme : « truie » = animalisation + féminisation humiliante + incohérence volontaire + homosexualité du petit cri perçant de l'homme qui se prend pour une femme alors qu'en plus il est un prêtre
Ce film compare le moine à une truie
Dans Le Nom de la rose (1986), certains moines sont associés aux porcs, notamment à travers des images de sang de porc et des situations grotesques qui animalisent leur condition.
Exemple concret dans le film
L’un des moines morts, Venantius, est retrouvé dans un baquet rempli de sang de porc.
Cette mise en scène macabre accentue l’idée d’impureté et de dégradation : le sang animal envahit le corps du moine, brouillant les frontières entre sacré et profane.
Le porc, dans la symbolique médiévale, est lié à la saleté, à la gloutonnerie et à l’impureté rituelle. Associer les moines à cet animal revient à nier leur vocation spirituelle et à les réduire à une chair grotesque.
Typologie de la comparaison
Animalisation : les moines sont assimilés à des bêtes, ce qui déshumanise leur rôle religieux.
Impureté rituelle : le porc est interdit dans plusieurs traditions religieuses, et son sang devient un signe de souillure.
Inversion sacrée/profane : le moine, censé incarner la pureté, est plongé dans un symbole d’impureté.
Grotesque visuel : Annaud accentue l’effet par une esthétique sombre et réaliste, renforçant la violence symbolique.