LES OEUVRES NÉCESSAIRES AU SALUT...
Posté : 03 juil.06, 01:36
Il y a nécéssité des œuvres de la foi pour des questions d’égalité et d’équilibre spirituelle dans une vie. Un pécheur qui a été justifié et qui a cessé ses anciens péchés ne peut pas demeurer ainsi dans un état de neutralité. Il doit, dans la même mesure où il a oeuvré le démon, oeuvrer maintenant pour le Seigneur. La parabole est très claire : «Lorsque l'esprit impur est sorti d'un homme, il va par des lieux arides, cherchant du repos, et il n'en trouve point. Alors il dit: Je retournerai dans ma maison d'où je suis sorti; et, quand il arrive, il la trouve vide, balayée et ornée. Il s'en va, et il prend avec lui sept autres esprits plus méchants que lui; ils entrent dans la maison, s'y établissent, et la dernière condition de cet homme est pire que la première. Il en sera de même pour cette génération méchante.» (Mat. 12 :43-45)
Jésus venait de dire que pour entrer dans le Royaume de Dieu, un riche devait abandonner ses richesses; c’est-à-dire les consacrer aux bonnes œuvres vis à vis des pauvres. La stupéfaction de l’apôtre Pierre devant l’enseignement du Maître lui fit répondre : «Mais qui peut donc être sauvé?» Nous tirons donc la leçon suivante : pour être sauvé le riche devait abandonner ses richesses aux pauvres, selon les besoins de l’époque. Impossible pour lui d’être sauvé uniquement en ayant une foi mentale en Jésus et en ne faisant rien par la suite. L’Écriture ne connaît pas de salut sans œuvres compensatoires correspondantes aux péchés passés.
La cessation de pécher créer un vide qui doit être remplit par de bonnes œuvres correspondantes que Dieu a d’avance préparées pour nous afin que nous les pratiquions, à défaut de quoi l’ennemi reprendra la place vide dans nos vies. C’est la raison principale pour laquelle les croyants se reffroidissent et que tant d’autres retombent dans leurs anciens péchés; ils se sont endormis du sommeil de la paresse, de l’inactivité et de la tiédeur, et l’ennemi à interprété cet état de chose comme une véritable invitation!
Pour empêcher qu’une telle tragédie ne se produise, nous devons, en dignes enfants de Dieu remplir le vide en pratiquant les œuvres de la lumière. La célèbre prière de S. François d’Assise exprime à merveille ce que je viens d’écrire :
«Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix.
Là où est la haine, que je mette l'amour.
Là où est l'offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l'union.
Là où est l'erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie». (S. Francois d’Assise)
Notre vie spirituelle toute entière sera alors remplie d’une joie nouvelle et cette plénitude ne cessera de nous bénir jour après jour. amen
Jésus venait de dire que pour entrer dans le Royaume de Dieu, un riche devait abandonner ses richesses; c’est-à-dire les consacrer aux bonnes œuvres vis à vis des pauvres. La stupéfaction de l’apôtre Pierre devant l’enseignement du Maître lui fit répondre : «Mais qui peut donc être sauvé?» Nous tirons donc la leçon suivante : pour être sauvé le riche devait abandonner ses richesses aux pauvres, selon les besoins de l’époque. Impossible pour lui d’être sauvé uniquement en ayant une foi mentale en Jésus et en ne faisant rien par la suite. L’Écriture ne connaît pas de salut sans œuvres compensatoires correspondantes aux péchés passés.
La cessation de pécher créer un vide qui doit être remplit par de bonnes œuvres correspondantes que Dieu a d’avance préparées pour nous afin que nous les pratiquions, à défaut de quoi l’ennemi reprendra la place vide dans nos vies. C’est la raison principale pour laquelle les croyants se reffroidissent et que tant d’autres retombent dans leurs anciens péchés; ils se sont endormis du sommeil de la paresse, de l’inactivité et de la tiédeur, et l’ennemi à interprété cet état de chose comme une véritable invitation!
Pour empêcher qu’une telle tragédie ne se produise, nous devons, en dignes enfants de Dieu remplir le vide en pratiquant les œuvres de la lumière. La célèbre prière de S. François d’Assise exprime à merveille ce que je viens d’écrire :
«Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix.
Là où est la haine, que je mette l'amour.
Là où est l'offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l'union.
Là où est l'erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie». (S. Francois d’Assise)
Notre vie spirituelle toute entière sera alors remplie d’une joie nouvelle et cette plénitude ne cessera de nous bénir jour après jour. amen