PREMIÈRE ÉTAPE SPIRITUELLE
Posté : 14 mars04, 17:25
P R E M I È R E É T A P E
Nous avons admis que nous étions impuissants face aux effets de notre séparation d'avec Dieu - que nous avions perdu la maîtrise de nos vies.
Pour comprendre la Première Étape
Quand nous étions jeunes, nous étions parfois chatouillés par des plus grands que nous. Vouvent, ils nous chatouillaient tellement que nous perdions tout contrôle. Nous suffoquions et criions d'arrêter, et nous hurlions: "J'abandonne, arrêtez, s'il vous plaît." Ils arrêtaient parfois quand nous criions et parfois ils n'arrêtaient que lorsqu'un plus grand venait à notre secours.
La Première Étape ressemble à cet épisode de notre enfance. Notre vie et notre comportement sont comme ce cruel chatouilleur qui inflige douleur et malaise. Nous en sommes la cause. Nous avons pris le contrôle pour nous protéger nous-mêmes et le résultat a souvent été le chaos. Et maintenant, nous ne voulons pas perdre le contrôle et nous libérer du tourment. Dans la Première Étape, nous admettons que nous ne pouvons plus le supporter. Nous supplions de nous soulager. Nous crions: "Je cède."
Mise en oeuvre de la Prmière Étape
La Première Étape est une bonne occasion de faire face à la réalité et d'admettre que la vie ne fonctionne pas quand nous essayons de la diriger. Nous avouons notre impuissance et nous cessons de prétendre nous mener.
Préparation à la Première Étape
Nous nous préparons en nous rendant compte que la Première Étape est le premier pas d'un voyage spirituel vers l'intégrité. Cette Étape est une arrêt. Elle met fin à nos efforts et nous permet d'abandonner.
Prière pour la Première Étape
Aujourd'hui, je demande de l'aide pour ma recouvrance. Je me sens un peu perdu et je ne suis aucunement sûr de moi. La dénégation m'a empêché de voir combien je suis impuissant et combien ma vie est devenue ingouvernable. J'ai besoin d'apprendre et de me rappeler que je ne peux pas diriger ma vie ou la vie des autres. J'ai également besoin de me rappeler que la meilleure chose que je puisse faire maintenant, c'est de lâcher prise. Je choisis de lâcher prise - j'admets que je suis impuissant et que j'ai perdu la maîtrise de ma vie.
__________________________
Souvent, notre passé trouble nous a éloignés de Dieu et de nous-mêmes. Notre vie est remplie de comportements désagréables et d'émotions accablantes.
On peut nous avoir enseigné que nous n'avons qu'à accepter le Christ comme notre Seigneur et Sauveur pour que notre vie soit pleine et satisfaisante. Il se peut que nous nous soyons fiés à cet enseignement pour préparer l'au-delà. Notre proclamation que "Je suis né de nouveau; tout le passé est effacé; je suis une nouvelle créature; le Christ m'a totalement changé" est vraie. Nos esprits renaissent, mais comme nous avons toute une vie d'habitudes et de blessures, il nous faut plus que le salut. Nous avons besoin de transformation - le dur travail de changement. Donner une valeur supraspirituelle au travail initial du salut peut nous faire renier la condition véritalble de notre vie.
Le fait que nous ressentions encore du chagrin au sujet de notre passé n'est pas un signe d'une relation è Dieu qui n'a pas réussi. La présence de ce chagrin ne dinimue pas l'influence du salut dans notre vie. Cest simplement un signal qu'il nous faut commencer un processus de guérison en suivant chaque jour les Étapes avec l'aide de Dieu. Avec le temps, Dieu apportera la guérison et fera les chagements nécessaires dans notre vie. Admettre la souffrance et les problèmes peut sembler en contradiction avec la ferme affirmation du salut, mais il n'en est rien. La Bible est pleine de récits d'hommes et de femmes qui ont lutté sans cesse pour dominer des égarements passés et vaincre les nombreuses tentations de la vie.
L'apôtre Paul, dans son épître aux Romains, décrit son impuissance et l'impossibilité de diriger sa vie. Il décrit son comportement de pécheur comme étant une preuve de sa séparation d'avec Dieu (Rm7,14). Et cependant, cet aveu ne vient pas à l'encontre de son engagement envers la volonté de Dieu. Sans connaître en détail les antécédents de Paul, nous pouvons seulement supposer, en nous basant sur ses commentaires, que sa volonté propre lui créait des problèmes. La volonté de Paul entrait en conflit avec la volonté de Dieu. À cause de nos antécédents, nous fonctionnons de façon fort semblable à Paul, en laissant notre volonté propre agir contre nous.
Nous continuons à déterminer notre valeur et notre estime de soi par ce que nous faisons et par ce que les autres pensent de nous, et non par ce que nous sommes dans le Christ. Dans une rétrospective sur notre passé, nous pouvons continuer à nous considérer comme des perdants. Nous pouvons nous conditionner à l'échec. Notre piètre estime de
nous-mêmes nous empêche d'être des gagnants et devient cause de stress extrême et d'anxiété.
Lorsque nous sommes aux prises avec nous-mêmes et que nous nous rendons compte que toute notre vie est une course effrénée, nous sommes prêts pour la Première Étape. Nous n'avons pas d'autre choix que d'admettre que nous sommes impuissants et que notre vie est devenue ingouvernable. Lorsque nous commençons à reconnaître la gravité de notre condition, il importe de rechercher de l'aide pour arrêter notre course folle.
(...) il est difficile de nous abandonner et d'avoir confiance que les choses s'amélioreront. Nous pouvons éprouver confusion, sommenolence, tristesse, insomnie ou remords. Ce sont là des réactions normales aux rudes luttes internes par lesquelles nous passons. Il importe de nous rappeler que la capitulation requiert une grande énergie mentale et émotionnelle ainsi qu'une ferme détermination. Ne cédez pas. Une nouvelle vie de liberté vous attend.
À suivre, consultons les écritures!
Nous avons admis que nous étions impuissants face aux effets de notre séparation d'avec Dieu - que nous avions perdu la maîtrise de nos vies.
Pour comprendre la Première Étape
Quand nous étions jeunes, nous étions parfois chatouillés par des plus grands que nous. Vouvent, ils nous chatouillaient tellement que nous perdions tout contrôle. Nous suffoquions et criions d'arrêter, et nous hurlions: "J'abandonne, arrêtez, s'il vous plaît." Ils arrêtaient parfois quand nous criions et parfois ils n'arrêtaient que lorsqu'un plus grand venait à notre secours.
La Première Étape ressemble à cet épisode de notre enfance. Notre vie et notre comportement sont comme ce cruel chatouilleur qui inflige douleur et malaise. Nous en sommes la cause. Nous avons pris le contrôle pour nous protéger nous-mêmes et le résultat a souvent été le chaos. Et maintenant, nous ne voulons pas perdre le contrôle et nous libérer du tourment. Dans la Première Étape, nous admettons que nous ne pouvons plus le supporter. Nous supplions de nous soulager. Nous crions: "Je cède."
Mise en oeuvre de la Prmière Étape
La Première Étape est une bonne occasion de faire face à la réalité et d'admettre que la vie ne fonctionne pas quand nous essayons de la diriger. Nous avouons notre impuissance et nous cessons de prétendre nous mener.
Préparation à la Première Étape
Nous nous préparons en nous rendant compte que la Première Étape est le premier pas d'un voyage spirituel vers l'intégrité. Cette Étape est une arrêt. Elle met fin à nos efforts et nous permet d'abandonner.
Prière pour la Première Étape
Aujourd'hui, je demande de l'aide pour ma recouvrance. Je me sens un peu perdu et je ne suis aucunement sûr de moi. La dénégation m'a empêché de voir combien je suis impuissant et combien ma vie est devenue ingouvernable. J'ai besoin d'apprendre et de me rappeler que je ne peux pas diriger ma vie ou la vie des autres. J'ai également besoin de me rappeler que la meilleure chose que je puisse faire maintenant, c'est de lâcher prise. Je choisis de lâcher prise - j'admets que je suis impuissant et que j'ai perdu la maîtrise de ma vie.
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Souvent, notre passé trouble nous a éloignés de Dieu et de nous-mêmes. Notre vie est remplie de comportements désagréables et d'émotions accablantes.
On peut nous avoir enseigné que nous n'avons qu'à accepter le Christ comme notre Seigneur et Sauveur pour que notre vie soit pleine et satisfaisante. Il se peut que nous nous soyons fiés à cet enseignement pour préparer l'au-delà. Notre proclamation que "Je suis né de nouveau; tout le passé est effacé; je suis une nouvelle créature; le Christ m'a totalement changé" est vraie. Nos esprits renaissent, mais comme nous avons toute une vie d'habitudes et de blessures, il nous faut plus que le salut. Nous avons besoin de transformation - le dur travail de changement. Donner une valeur supraspirituelle au travail initial du salut peut nous faire renier la condition véritalble de notre vie.
Le fait que nous ressentions encore du chagrin au sujet de notre passé n'est pas un signe d'une relation è Dieu qui n'a pas réussi. La présence de ce chagrin ne dinimue pas l'influence du salut dans notre vie. Cest simplement un signal qu'il nous faut commencer un processus de guérison en suivant chaque jour les Étapes avec l'aide de Dieu. Avec le temps, Dieu apportera la guérison et fera les chagements nécessaires dans notre vie. Admettre la souffrance et les problèmes peut sembler en contradiction avec la ferme affirmation du salut, mais il n'en est rien. La Bible est pleine de récits d'hommes et de femmes qui ont lutté sans cesse pour dominer des égarements passés et vaincre les nombreuses tentations de la vie.
L'apôtre Paul, dans son épître aux Romains, décrit son impuissance et l'impossibilité de diriger sa vie. Il décrit son comportement de pécheur comme étant une preuve de sa séparation d'avec Dieu (Rm7,14). Et cependant, cet aveu ne vient pas à l'encontre de son engagement envers la volonté de Dieu. Sans connaître en détail les antécédents de Paul, nous pouvons seulement supposer, en nous basant sur ses commentaires, que sa volonté propre lui créait des problèmes. La volonté de Paul entrait en conflit avec la volonté de Dieu. À cause de nos antécédents, nous fonctionnons de façon fort semblable à Paul, en laissant notre volonté propre agir contre nous.
Nous continuons à déterminer notre valeur et notre estime de soi par ce que nous faisons et par ce que les autres pensent de nous, et non par ce que nous sommes dans le Christ. Dans une rétrospective sur notre passé, nous pouvons continuer à nous considérer comme des perdants. Nous pouvons nous conditionner à l'échec. Notre piètre estime de
nous-mêmes nous empêche d'être des gagnants et devient cause de stress extrême et d'anxiété.
Lorsque nous sommes aux prises avec nous-mêmes et que nous nous rendons compte que toute notre vie est une course effrénée, nous sommes prêts pour la Première Étape. Nous n'avons pas d'autre choix que d'admettre que nous sommes impuissants et que notre vie est devenue ingouvernable. Lorsque nous commençons à reconnaître la gravité de notre condition, il importe de rechercher de l'aide pour arrêter notre course folle.
(...) il est difficile de nous abandonner et d'avoir confiance que les choses s'amélioreront. Nous pouvons éprouver confusion, sommenolence, tristesse, insomnie ou remords. Ce sont là des réactions normales aux rudes luttes internes par lesquelles nous passons. Il importe de nous rappeler que la capitulation requiert une grande énergie mentale et émotionnelle ainsi qu'une ferme détermination. Ne cédez pas. Une nouvelle vie de liberté vous attend.
À suivre, consultons les écritures!