L'origine de l'Aïd
Posté : 28 déc.06, 00:59
Signification des sacrifices d'animaux dans l'ancien testament
Depuis l'époque d'Adam et Eve jusqu'à Moïse, et de Moïse jusqu'à Jésus-Christ, la postérité d'Adam offrit en sacrifice les prémices des champs ou les premiers-nés du troupeau pour préfigurer le sacrifice expiatoire du premier-né des enfants d'esprits de Dieu, à savoir Jésus-Christ (voir Col.1:15, Héb.1:6 et Col.1:18).
Il était exigé que les animaux soient sans défaut tout comme le Fils de Dieu l'a été par sa vie sans péché. Provenant d'une espèce noble tel que le mouton pour symboliser les élus du paradis. L'ordonnance fut établie pour rappeler au peuple que Jésus-Christ, le premier-né du Père, serait sacrifié pour les péchés du monde et qu'il était l'unique source de salut vers laquelle le peuple devait se diriger. Voir aussi "Abraham ce chrétien" (le sacrifice d'Abraham):
http://quebectech.darktech.org:8080/rel ... 670#148670
Dans chaque offrande ou holocauste il y avait au moins trois objets distincts présentés: l'offrande, le prêtre et le donnateur.
Quelle est l'importance de chacun d'entre eux?
Qu'est-ce donc que l'offrande? Et le prêtre? Et le donnateur? L'offrande c'est le Christ; le prêtre c'est le Christ; le donnateur c'est le Christ.
1) Le Christ en tant que donnateur: le Christ présente l'offrande à Dieu à la place de l'homme pécheur qui ne peut pas lui-même se présenter directement devant Dieu à cause de son imperfection.
2) Le Christ en tant qu'offrande: dans la personne du donnateur se trouve aussi l'offrande puisque le donnateur ne peut pas présenter autre chose que lui-même en sacrifice acceptable de par sa perfection absolue.
3) Le Christ en tant que prêtre: le donnateur et l'offrande étant une seule et même personne divine, le sacrifice ne pouvait donc être accompli que par un sacrificateur parfait et divin, médiateur entre Dieu et l'humanité; c'est pourquoi le Christ administra lui-même son propre sacrifice pour accomplir l'expiation, vaincre la mort et nous remettre en présence de Dieu par le pouvoir de la rédemption et de la résurrection.
Pourquoi le donnateur mettait-il les mains sur le sacrifice?
L'imposition des mains était une partie importante de chaque sacrifice; elle signifiait transmission et délégation et impliquait la représentation, en sorte que cela indiquait réellement que le sacrifice se substituait au sacrificateur. Par conséquent, il était toujours accompagné d'une confession du péché et de prières.
Le mot traduit par "expiation" vient d'un mot hébreu signifiant "couvrir ou cacher". L'implication n'est pas que le péché n'existe plus, mais que le péché a été recouvert ou effacé de devant Dieu par sa grâce ou sa bonté aimante.
Cette pratique montre que le sacrifice avait un aspect et un symbolisme double. Tout d'abord - et avant tout - il représentait le seul sacrifice qui pouvait en fin de compte apporter la paix par l'espèrance de la résurrection et l'obtention de la rémission des péchés, à savoir le sacrifice du Fils de Dieu annoncé depuis le début et sur lequel était totalement centrée la loi de Moïse; et l'imposition des mains montrait qu'il y avait transfert d'identité comme pour nous rappeler que le sacrifice expiatoire de Jésus consista à ce qu'il prenne sur lui les péchés personnels de tous les hommes pour leur permettre d'être rachetés à condition qu'ils se repentent.
Comme quoi, la loi des sacrifices d'animaux est une caractéristique christique majeure... ayant été remplacée par l'ordonnance de la sainte-céne après la résurrection du Seigneur. L'expiation dans le sacrifice d'animaux servait à montrer que l'homme redevient un avec Dieu dans le Christ et par le Christ.
Depuis l'époque d'Adam et Eve jusqu'à Moïse, et de Moïse jusqu'à Jésus-Christ, la postérité d'Adam offrit en sacrifice les prémices des champs ou les premiers-nés du troupeau pour préfigurer le sacrifice expiatoire du premier-né des enfants d'esprits de Dieu, à savoir Jésus-Christ (voir Col.1:15, Héb.1:6 et Col.1:18).
Il était exigé que les animaux soient sans défaut tout comme le Fils de Dieu l'a été par sa vie sans péché. Provenant d'une espèce noble tel que le mouton pour symboliser les élus du paradis. L'ordonnance fut établie pour rappeler au peuple que Jésus-Christ, le premier-né du Père, serait sacrifié pour les péchés du monde et qu'il était l'unique source de salut vers laquelle le peuple devait se diriger. Voir aussi "Abraham ce chrétien" (le sacrifice d'Abraham):
http://quebectech.darktech.org:8080/rel ... 670#148670
Dans chaque offrande ou holocauste il y avait au moins trois objets distincts présentés: l'offrande, le prêtre et le donnateur.
Quelle est l'importance de chacun d'entre eux?
Qu'est-ce donc que l'offrande? Et le prêtre? Et le donnateur? L'offrande c'est le Christ; le prêtre c'est le Christ; le donnateur c'est le Christ.
1) Le Christ en tant que donnateur: le Christ présente l'offrande à Dieu à la place de l'homme pécheur qui ne peut pas lui-même se présenter directement devant Dieu à cause de son imperfection.
2) Le Christ en tant qu'offrande: dans la personne du donnateur se trouve aussi l'offrande puisque le donnateur ne peut pas présenter autre chose que lui-même en sacrifice acceptable de par sa perfection absolue.
3) Le Christ en tant que prêtre: le donnateur et l'offrande étant une seule et même personne divine, le sacrifice ne pouvait donc être accompli que par un sacrificateur parfait et divin, médiateur entre Dieu et l'humanité; c'est pourquoi le Christ administra lui-même son propre sacrifice pour accomplir l'expiation, vaincre la mort et nous remettre en présence de Dieu par le pouvoir de la rédemption et de la résurrection.
Pourquoi le donnateur mettait-il les mains sur le sacrifice?
L'imposition des mains était une partie importante de chaque sacrifice; elle signifiait transmission et délégation et impliquait la représentation, en sorte que cela indiquait réellement que le sacrifice se substituait au sacrificateur. Par conséquent, il était toujours accompagné d'une confession du péché et de prières.
Le mot traduit par "expiation" vient d'un mot hébreu signifiant "couvrir ou cacher". L'implication n'est pas que le péché n'existe plus, mais que le péché a été recouvert ou effacé de devant Dieu par sa grâce ou sa bonté aimante.
Cette pratique montre que le sacrifice avait un aspect et un symbolisme double. Tout d'abord - et avant tout - il représentait le seul sacrifice qui pouvait en fin de compte apporter la paix par l'espèrance de la résurrection et l'obtention de la rémission des péchés, à savoir le sacrifice du Fils de Dieu annoncé depuis le début et sur lequel était totalement centrée la loi de Moïse; et l'imposition des mains montrait qu'il y avait transfert d'identité comme pour nous rappeler que le sacrifice expiatoire de Jésus consista à ce qu'il prenne sur lui les péchés personnels de tous les hommes pour leur permettre d'être rachetés à condition qu'ils se repentent.
Comme quoi, la loi des sacrifices d'animaux est une caractéristique christique majeure... ayant été remplacée par l'ordonnance de la sainte-céne après la résurrection du Seigneur. L'expiation dans le sacrifice d'animaux servait à montrer que l'homme redevient un avec Dieu dans le Christ et par le Christ.