Les 12 Protocoles contre le radicalisme religieux
Posté : 29 nov.13, 10:27
Introduction à la procédure de déradicalisation
Pour une France historiquement d'origine judéo-chrétienne, devenue sectaire par son christianisme athée/humaniste concrétisé par son intolérance à la croyance religieuse exprimée publiquement. Un pays dont les édiles feraient mieux de reconnaître leur impuissance face au marasme dans lequel la nation se trouve. Elles feraient mieux d'oeuvrer à réhabiliter ouvertement et courageusement et politiquement les valeurs et les principes du christianisme par le biais de la scolarité et avec le soutien actif des médias ; plutôt que s'accrocher naïvement à l'utopie aseptisée d'un pseudo vivre ensemble sur fond d'absence de signes religieux extérieurs. L'unité d'un pays devrait reposer davantage sur le partage et l'entretien de ce qui constitue son histoire et son âme. C'est par là qu'il trouverait la fierté et la fraternité suffisamment altruiste pour se projeter dans l'avenir et faire front commun aux défis, et convaincre à l'assimilation des "arrivants". Ce n'est pas l'affaire de la religion, c'est l'affaire de politiciens hors démagogie désireux que le peuple soit autant nourri spirituellement que temporellement.
Deux peuples à valeurs culturelles et cultuelles diamétralement opposées ne peuvent vivre de façon enchevêtrée sur le même territoire sans que l'un absorbe l'autre à terme, ou le combattent pour assurer sa survie et son identité. Sans une approche "messianique" nationale d'envergure et un réarmement spirituel significatif relevant d'un large consensus, il n'y a pas d'autre solution que de prendre acte du séparatisme des consciences et s'abstenir de faire de la provocation en intervenant ouvertement dans certains territoires plus ou moins perdus. C'est là une question de logique, de justice et de loi du nombre. On ne peut mettre tout un peuple en prison après l'avoir été "invité" à s'installer. Nous sommes tous enfants de Dieu, et Dieu donne la terre à qui il veut.
En France, la neutralité religieuse laïque dans l'espace publique ne peut être perçue que comme l'expression d'un christianisme résiduel ou d'un sectarisme chrétien aseptisé auquel il faudrait adhérer à tout prix pour obtenir un passeport. Cette approche, d'origine anticléricale, n'a fait, historiquement, que détruire la foi en Dieu et l'idée du sacré parmi tout un peuple qui se découvre actuellement totalement désarmé spirituellement. Cette irruption de la bien-pensance issue d'une auto-suffisance culturelle rationaliste, se fracasse de nos jours sur l'islam comme ce fut le cas naguère contre le communisme - lequel fut vaincu du fait de son caractère uniquement séculier et brutal. Ce nationalisme laïciste, dit républicain, découvre enfin aujourd'hui l'immensité de son néant de carton-pâte spirituel en venant buter contre un obstacle démographique et une croyance religieuse redoutables. En face, l'Eglise/République ne saurait correspondre qu'à une pâle alternative au besoin personnel de chacun, et, contre "l'opium du peuple", ne proposer qu'un léger anesthésiant incapable de faire rêver et espérer plus loin que la retraite à soixante deux ans. Il doit bien exister autre chose de plus efficace à proposer aux masses comme anticorps à l'égarement inoculé du fait de naître ici plutôt que là, au hasard des spiritualités.
Par ces 12 protocoles, je propose à la jeunesse une base spirituelle de l'enseignement de nos valeurs occidentales chrétiennes pendant le temps scolaire à raison d'une étude mensuelle obligatoire. La démarche se concentrant uniquement sur un enseignement soft et précis de la doctrine chrétienne concernant la nécessité d'un Sauveur en corrélation avec les notions de bien et de mal et d'un Jugement d'après nos œuvres personnelles pour chacun de nous après cette vie, dans la perspective d'une résurrection physique consolatrice pour tous. L'enseignement reposant avant tout sur une définition accessible et "rationnelle" de la nature de Dieu en tant que Père des esprits de l'espèce humaine, laquelle fut créée physiquement à son image "homme et femme" sans équivoque.
Un support numérique devrait être à la portée des parents selon les âges ou problématiques des jeunes concernés. Ces cours intervenant pour renforcer la démarche du "vivre ensemble" sur la base d'une proposition spirituelle cohérente à vocation de rapprocher les communautés pour faire disparaître les confrontations... De même que le corps doit être nourri, de même l'esprit devrait l'être tout autant. C'est pourquoi ces cours devraient imposer une présence obligatoire dans le cadre d'une reprise en main de la discipline collective à l'aide d'une force spéciale populaire de maintien de la paix à inventer en faveur des établissements scolaires avec des règles plus strictes pour sauver ce qui peut l'être encore.
Ce dispositif devrait permettre à la laïcité de ne plus être synonyme de rejet du fait religieux en s'y substituant par l'extrémisme d'une idéologie sectaire étatique, athée, intolérante, sur la défensive, sans consistance, sans proposition, opposée aux religions dans le but de maintenir une paix sociale aseptisée par un semblant de neutralité d'apparence. Les nations occidentales ont besoin de revisiter le christianisme et de se le réapproprier sereinement pour sortir de leur désarroi face aux croyances de substitution agressives et toxiques, et éviter leur désagrégation.
Seule une réponse religieuse adéquate peut être à même de lutter contre les supercheries idéologiques les plus morbides. Tout le reste consiste à du traitement sociologique sans issu et coûteux. Aucun état ne peut se substituer à une religion en promouvant un "évangile" de lois morales et civiques sans prendre le risque de détruire la cohésion de la nation. Le laïcisme ne peut pas faire le poids contre une idéologie invasive et remplir le vide de la déstructuration des esprits. Une démocratie, sans qu'une religion s'impose par sa pertinence n'a aucun avenir sur le plan démographique et intellectuel. Le laïcisme n'est qu'un avatar du christianisme ou l'expression d'un protestantisme sans Dieu.
La société ne devrait pas être affamée spirituellement au nom d'un consensus Droit-de-l'hommisme pusillanime. Rappelons que les valeurs vitales des Droits Humains ne peuvent pas s'exprimer pleinement, à terme, en dehors du fait religieux et du sens du sacré, sans disparaître et faire disparaître l'humanité par leur absence de transcendance. La laïcité devrait se cantonner à ne soutenir particulièrement aucune religion ou mouvement politique par l'Etat, et rien de plus - les gens, dans le domaine publique ou non, devraient être libre d'afficher leur croyance dans le respect des libertés fondamentales et de la liberté de conscience. Rendant illégales toute pensée et idéologie remettant en question ce point dans les pratiques au quotidien.
Mettre le Christ dans l'âme d'une nation est la mesure principale de légitime défense que toute nation devrait adopter dans le cadre du respect des libertés fondamentales des citoyens. Les personnes, les couples, les familles, le sentiment national, le respect des mœurs, la sécurité, la générosité, l'acceptation des rôles sociaux innés, la valeur travail et l'intelligence du peuple s'en trouveraient profondément renforcés. Des Bibles devraient être envoyées gratuitement, dans chaque foyer, par les mairies avec une brochure "Aide à l'étude" dans le but de proposer un sens à la vie existentiel à un peuple pour le sortir de sa torpeur et de sa névrose.
Pour incarner correctement sa fonction avec autorité et suscité l'amour de son peuple, un Chef d'Etat devrait posséder en lui-même des réponses personnelles dans ce sens, et avoir le courage de les transmettre aux gens dans le privé comme dans le public avec sagesse et tact, surtout par son exemple. Sa vie privée devrait être connue et être en adéquation avec ses prétentions au discernement exigé par sa haute fonction - l'un ne pouvant pas aller sans l'autre... La marque de nos origines judéo chrétiennes devrait figurer sur le drapeau de la nation afin de renforcer nos sentiments d'appartenance et notre fierté pour nos convictions en tant que peuple défini.
Les états, au nom de la laïcité, ne devraient pas censurer l'expression religieuse publique, au contraire, ils devraient la laisser s'exprimer dans un cadre constitutionnel garantissant la liberté de conscience et religieuse dans le respect de l'ordre sociale. La constitution devrait s'appuyer sur une charte d'adhésion individuelle, dont l'acceptation devrait figurée sur chaque carte d'identité comme étant prioritaire sur les lois religieuses. Toute personne étrangère refusant de se former pour connaître les croyances ancestrales du peuple qui l'accueil, devrait faire l'objet d'un intérêt particulier et être "invitée" à recevoir un minimum d'éléments d'intégration culturelle.
Sans nourriture spirituelle et mesures de sécurité drastiques, les sociétés sombrent inexorablement dans l'intolérance, la jalousie, la cupidité, l'impatience, la dégénérescence, la violence, la consommation de drogue, l'égoïsme, le mépris des autorités, la paresse, le désagrégation familial, l'anarchie, la victimisation, le rejet de la natalité, l'indolence et le remplacement ethnique... Les peuples devraient pouvoir être consultés tous les cinq ans concernant le corpus de son idéologie commune, et sur la manière de le maintenir dans un cadre de respect stricte de l'ordre et de la liberté de conscience.
Model de dirigeant :
"Voici, il arriva que le fils de Néphihah fut nommé pour occuper le siège du jugement à la place de son père ; oui, il fut nommé grand juge et gouverneur du peuple, avec le serment et l’ordonnance sacrée de juger en justice, et de garder la paix et la liberté du peuple, et de lui assurer ses garanties sacrées d’adorer le Seigneur, son Dieu, oui, de soutenir et de défendre la cause de Dieu toute sa vie, et de faire comparaître les méchants devant la justice, selon leur crime." (Alma 50:39).
Lorsque nos amis musulmans se réfèrent à l'Ancien Testament, pour relativiser le jihad voilà ce qu'il faut leur expliquer calmement et gentiment :
Les israélites avaient des prophètes qui étaient nécessairement chrétiens du fait de la loi des sacrifices qui préfiguraient le sacrifice futur du Christ annoncée dès le début par les prophètes bibliques.
Car un vrai prophète ne peut pas être autre que chrétien à cause de la nécessaire expiation des péchés : expiation qu'aucun homme ne peut réaliser pour lui-même du fait de son imperfection. Par contre, Jésus, par sa perfection, à la fois spirituelle et son pouvoir sur la mort, put l'accomplir pleinement pour chacun de nous, et nous permettre par là, du fait de ses souffrances, de nous repentir et d'être justifier après coup.
C'est ainsi que la miséricorde prend la place de ce châtiment que nous aurions dû recevoir au nom de la justice, mais qui aurait été au-dessus de nos forces et abouti à aucune amélioration spirituelle de notre part. Sans la foi en ce principe, aucun homme ou prophète ne peut être en communication avec Dieu.
Pour une France historiquement d'origine judéo-chrétienne, devenue sectaire par son christianisme athée/humaniste concrétisé par son intolérance à la croyance religieuse exprimée publiquement. Un pays dont les édiles feraient mieux de reconnaître leur impuissance face au marasme dans lequel la nation se trouve. Elles feraient mieux d'oeuvrer à réhabiliter ouvertement et courageusement et politiquement les valeurs et les principes du christianisme par le biais de la scolarité et avec le soutien actif des médias ; plutôt que s'accrocher naïvement à l'utopie aseptisée d'un pseudo vivre ensemble sur fond d'absence de signes religieux extérieurs. L'unité d'un pays devrait reposer davantage sur le partage et l'entretien de ce qui constitue son histoire et son âme. C'est par là qu'il trouverait la fierté et la fraternité suffisamment altruiste pour se projeter dans l'avenir et faire front commun aux défis, et convaincre à l'assimilation des "arrivants". Ce n'est pas l'affaire de la religion, c'est l'affaire de politiciens hors démagogie désireux que le peuple soit autant nourri spirituellement que temporellement.
Deux peuples à valeurs culturelles et cultuelles diamétralement opposées ne peuvent vivre de façon enchevêtrée sur le même territoire sans que l'un absorbe l'autre à terme, ou le combattent pour assurer sa survie et son identité. Sans une approche "messianique" nationale d'envergure et un réarmement spirituel significatif relevant d'un large consensus, il n'y a pas d'autre solution que de prendre acte du séparatisme des consciences et s'abstenir de faire de la provocation en intervenant ouvertement dans certains territoires plus ou moins perdus. C'est là une question de logique, de justice et de loi du nombre. On ne peut mettre tout un peuple en prison après l'avoir été "invité" à s'installer. Nous sommes tous enfants de Dieu, et Dieu donne la terre à qui il veut.
En France, la neutralité religieuse laïque dans l'espace publique ne peut être perçue que comme l'expression d'un christianisme résiduel ou d'un sectarisme chrétien aseptisé auquel il faudrait adhérer à tout prix pour obtenir un passeport. Cette approche, d'origine anticléricale, n'a fait, historiquement, que détruire la foi en Dieu et l'idée du sacré parmi tout un peuple qui se découvre actuellement totalement désarmé spirituellement. Cette irruption de la bien-pensance issue d'une auto-suffisance culturelle rationaliste, se fracasse de nos jours sur l'islam comme ce fut le cas naguère contre le communisme - lequel fut vaincu du fait de son caractère uniquement séculier et brutal. Ce nationalisme laïciste, dit républicain, découvre enfin aujourd'hui l'immensité de son néant de carton-pâte spirituel en venant buter contre un obstacle démographique et une croyance religieuse redoutables. En face, l'Eglise/République ne saurait correspondre qu'à une pâle alternative au besoin personnel de chacun, et, contre "l'opium du peuple", ne proposer qu'un léger anesthésiant incapable de faire rêver et espérer plus loin que la retraite à soixante deux ans. Il doit bien exister autre chose de plus efficace à proposer aux masses comme anticorps à l'égarement inoculé du fait de naître ici plutôt que là, au hasard des spiritualités.
Par ces 12 protocoles, je propose à la jeunesse une base spirituelle de l'enseignement de nos valeurs occidentales chrétiennes pendant le temps scolaire à raison d'une étude mensuelle obligatoire. La démarche se concentrant uniquement sur un enseignement soft et précis de la doctrine chrétienne concernant la nécessité d'un Sauveur en corrélation avec les notions de bien et de mal et d'un Jugement d'après nos œuvres personnelles pour chacun de nous après cette vie, dans la perspective d'une résurrection physique consolatrice pour tous. L'enseignement reposant avant tout sur une définition accessible et "rationnelle" de la nature de Dieu en tant que Père des esprits de l'espèce humaine, laquelle fut créée physiquement à son image "homme et femme" sans équivoque.
Un support numérique devrait être à la portée des parents selon les âges ou problématiques des jeunes concernés. Ces cours intervenant pour renforcer la démarche du "vivre ensemble" sur la base d'une proposition spirituelle cohérente à vocation de rapprocher les communautés pour faire disparaître les confrontations... De même que le corps doit être nourri, de même l'esprit devrait l'être tout autant. C'est pourquoi ces cours devraient imposer une présence obligatoire dans le cadre d'une reprise en main de la discipline collective à l'aide d'une force spéciale populaire de maintien de la paix à inventer en faveur des établissements scolaires avec des règles plus strictes pour sauver ce qui peut l'être encore.
Ce dispositif devrait permettre à la laïcité de ne plus être synonyme de rejet du fait religieux en s'y substituant par l'extrémisme d'une idéologie sectaire étatique, athée, intolérante, sur la défensive, sans consistance, sans proposition, opposée aux religions dans le but de maintenir une paix sociale aseptisée par un semblant de neutralité d'apparence. Les nations occidentales ont besoin de revisiter le christianisme et de se le réapproprier sereinement pour sortir de leur désarroi face aux croyances de substitution agressives et toxiques, et éviter leur désagrégation.
Seule une réponse religieuse adéquate peut être à même de lutter contre les supercheries idéologiques les plus morbides. Tout le reste consiste à du traitement sociologique sans issu et coûteux. Aucun état ne peut se substituer à une religion en promouvant un "évangile" de lois morales et civiques sans prendre le risque de détruire la cohésion de la nation. Le laïcisme ne peut pas faire le poids contre une idéologie invasive et remplir le vide de la déstructuration des esprits. Une démocratie, sans qu'une religion s'impose par sa pertinence n'a aucun avenir sur le plan démographique et intellectuel. Le laïcisme n'est qu'un avatar du christianisme ou l'expression d'un protestantisme sans Dieu.
La société ne devrait pas être affamée spirituellement au nom d'un consensus Droit-de-l'hommisme pusillanime. Rappelons que les valeurs vitales des Droits Humains ne peuvent pas s'exprimer pleinement, à terme, en dehors du fait religieux et du sens du sacré, sans disparaître et faire disparaître l'humanité par leur absence de transcendance. La laïcité devrait se cantonner à ne soutenir particulièrement aucune religion ou mouvement politique par l'Etat, et rien de plus - les gens, dans le domaine publique ou non, devraient être libre d'afficher leur croyance dans le respect des libertés fondamentales et de la liberté de conscience. Rendant illégales toute pensée et idéologie remettant en question ce point dans les pratiques au quotidien.
Mettre le Christ dans l'âme d'une nation est la mesure principale de légitime défense que toute nation devrait adopter dans le cadre du respect des libertés fondamentales des citoyens. Les personnes, les couples, les familles, le sentiment national, le respect des mœurs, la sécurité, la générosité, l'acceptation des rôles sociaux innés, la valeur travail et l'intelligence du peuple s'en trouveraient profondément renforcés. Des Bibles devraient être envoyées gratuitement, dans chaque foyer, par les mairies avec une brochure "Aide à l'étude" dans le but de proposer un sens à la vie existentiel à un peuple pour le sortir de sa torpeur et de sa névrose.
Pour incarner correctement sa fonction avec autorité et suscité l'amour de son peuple, un Chef d'Etat devrait posséder en lui-même des réponses personnelles dans ce sens, et avoir le courage de les transmettre aux gens dans le privé comme dans le public avec sagesse et tact, surtout par son exemple. Sa vie privée devrait être connue et être en adéquation avec ses prétentions au discernement exigé par sa haute fonction - l'un ne pouvant pas aller sans l'autre... La marque de nos origines judéo chrétiennes devrait figurer sur le drapeau de la nation afin de renforcer nos sentiments d'appartenance et notre fierté pour nos convictions en tant que peuple défini.
Les états, au nom de la laïcité, ne devraient pas censurer l'expression religieuse publique, au contraire, ils devraient la laisser s'exprimer dans un cadre constitutionnel garantissant la liberté de conscience et religieuse dans le respect de l'ordre sociale. La constitution devrait s'appuyer sur une charte d'adhésion individuelle, dont l'acceptation devrait figurée sur chaque carte d'identité comme étant prioritaire sur les lois religieuses. Toute personne étrangère refusant de se former pour connaître les croyances ancestrales du peuple qui l'accueil, devrait faire l'objet d'un intérêt particulier et être "invitée" à recevoir un minimum d'éléments d'intégration culturelle.
Sans nourriture spirituelle et mesures de sécurité drastiques, les sociétés sombrent inexorablement dans l'intolérance, la jalousie, la cupidité, l'impatience, la dégénérescence, la violence, la consommation de drogue, l'égoïsme, le mépris des autorités, la paresse, le désagrégation familial, l'anarchie, la victimisation, le rejet de la natalité, l'indolence et le remplacement ethnique... Les peuples devraient pouvoir être consultés tous les cinq ans concernant le corpus de son idéologie commune, et sur la manière de le maintenir dans un cadre de respect stricte de l'ordre et de la liberté de conscience.
Model de dirigeant :
"Voici, il arriva que le fils de Néphihah fut nommé pour occuper le siège du jugement à la place de son père ; oui, il fut nommé grand juge et gouverneur du peuple, avec le serment et l’ordonnance sacrée de juger en justice, et de garder la paix et la liberté du peuple, et de lui assurer ses garanties sacrées d’adorer le Seigneur, son Dieu, oui, de soutenir et de défendre la cause de Dieu toute sa vie, et de faire comparaître les méchants devant la justice, selon leur crime." (Alma 50:39).
Lorsque nos amis musulmans se réfèrent à l'Ancien Testament, pour relativiser le jihad voilà ce qu'il faut leur expliquer calmement et gentiment :
Les israélites avaient des prophètes qui étaient nécessairement chrétiens du fait de la loi des sacrifices qui préfiguraient le sacrifice futur du Christ annoncée dès le début par les prophètes bibliques.
Car un vrai prophète ne peut pas être autre que chrétien à cause de la nécessaire expiation des péchés : expiation qu'aucun homme ne peut réaliser pour lui-même du fait de son imperfection. Par contre, Jésus, par sa perfection, à la fois spirituelle et son pouvoir sur la mort, put l'accomplir pleinement pour chacun de nous, et nous permettre par là, du fait de ses souffrances, de nous repentir et d'être justifier après coup.
C'est ainsi que la miséricorde prend la place de ce châtiment que nous aurions dû recevoir au nom de la justice, mais qui aurait été au-dessus de nos forces et abouti à aucune amélioration spirituelle de notre part. Sans la foi en ce principe, aucun homme ou prophète ne peut être en communication avec Dieu.