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J'ai une question, la seule cause de divorce valable est l'adultère.

Mais si un couple pourtant croyant ce sépare pour cause de dispute sur dispute et qu'il n'y a même plus d'amour. Que faire ? Est ce valable devant la seigneur ce divorce ?

Doivent-ils rester ensemble malgré tout leur problèmes tant qu'il n'y a pas d'adultère ?

Merci pour vos avis

Marc 10:9
Que l'homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.

La force d'un couple repose exclusivement sur l’engagement des deux personnes à faire de ce couple un succès. J'ai appris que l'amour finissait toujours par mourir si derrière ces hormones ne se trouvait pas un socle de raison. Devant la perspective d'être unis pour un destin supérieur, à savoir de fonder une famille heureuse et de transmettre son héritage, ce n'est non plus les qualités de l'autre qui entretiendrons l'amour.

Si deux personnes en viennent à ne plus s'aimer du tout, c'est que leur mariage été un échec avant même qu'il n'ait lieu.

Sa fait plus de 5 ans de mariage maintenant et au début c'était très bien mais avec le temps c'est devenue invivable dans leur couple. ( plus d'amour entre eux )

S'il ce sépare, est ce propre devant le seigneur si il n'y a pas d'adultère ?

Pour ma par je dit non. Avez vous d'autre opignion ?

Je ne penses pas que ce soit très propre. Mais Dieu tolère le divorce à cause de la méchanceté des hommes... donc ils n'iront pas en enfer .

Giova a écrit :J'ai une question, la seule cause de divorce valable est l'adultère.

Mais si un couple pourtant croyant ce sépare pour cause de dispute sur dispute et qu'il n'y a même plus d'amour. Que faire ? Est ce valable devant la seigneur ce divorce ?

Doivent-ils rester ensemble malgré tout leur problèmes tant qu'il n'y a pas d'adultère ?

Merci pour vos avis

Dans ce cas Paul parle de séparation mais pas de divorce.
(1 Corinthiens 7:10, 11) 10 Aux personnes mariées, je donne des instructions, non pas moi cependant, mais le Seigneur : qu’une femme ne se sépare pas de son mari ; 11 mais si vraiment elle se sépare, qu’elle reste sans se marier ou bien qu’elle se réconcilie avec son mari ; et un mari ne doit pas quitter sa femme [...]

Marc 10:9
Que l'homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.

La bonne nouvelle, c'est que Dieu n'a jamais marié personne. Ce sont les hommes qui marient les hommes.

Il n'y a pas de mal à vouloir être heureux. A quoi bon rester malheureux dans une relation de couple ? On se sépare, on divorce, et et on vit sa vie.

Giova a écrit :J'ai une question, la seule cause de divorce valable est l'adultère.

Mais si un couple pourtant croyant ce sépare pour cause de dispute sur dispute et qu'il n'y a même plus d'amour. Que faire ? Est ce valable devant la seigneur ce divorce ?

Doivent-ils rester ensemble malgré tout leur problèmes tant qu'il n'y a pas d'adultère ?

Merci pour vos avis

Si on ne s'entend plus, il vaut mieux vivre séparés, mais pour rester chrétiens, la chasteté s'impose, bien sûr.

megaaabolt a écrit :Marc 10:9
Que l'homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.

Sachant que dans ce verset, "l'homme" implique une tierce personne.

MonstreLePuissant a écrit :La bonne nouvelle, c'est que Dieu n'a jamais marié personne. Ce sont les hommes qui marient les hommes.

Excepté le premier couple !

jésus s'est t'il séparé de l'épouse (l'église) ou bien est t'il mort pour elle ?

megaaabolt a écrit :jésus s'est t'il séparé de l'épouse (l'église) ou bien est t'il mort pour elle ?

En toute chose il faut comparer ce qui es comparable.

Plutôt que de vous apporter une réponse approximative, je vous incite vivement à lire ce long article sur le sujet qui invite à de profondes réflexions: Divorce et remariage, qu'en dit la bible? En revanche, cette lecture est réservée aux croyants confirmés compte tenu de la technicité du texte.

• La loi sinaïtique ne prescrit donc pas le divorce. Tout au plus peut-on dire qu’elle reconnaît l’existence d’une pratique encadrée par la juridiction familiale. Toute la question pour nous est de savoir ce que vaut cette reconnaissance : vaut-elle approbation ou non ? Il est difficile de répondre sur la base de ce seul texte. Toutefois, quand on sait que d’autres lois interdisent expressément la répudiation (voir Dt 22.19,28-29), on peut admettre que, en mentionnant la pratique sans l’interdire, cette loi lui reconnaît une certaine légitimité.
  
  Des divorces imposés
  
  Les livres d’Esdras (9-10) et de Néhémie (13.23ss) racontent comment, après le retour de l’exil, des Judéens mariés à des femmes étrangères furent dans l’obligation de les répudier. Mais on peut considérer que l’on a affaire ici à une situation tout à fait exceptionnelle. Avec ces mariages, le schéma qui avait conduit à l’exil babylonien risquait de se reproduire (cf. Esd 9.13ss ; Né 13.26ss) ? C’est pour éviter de revivre le traumatisme de l’exil que ces mesures exceptionnelles furent prises.

L'art de la contorsion...

test.

indian a écrit :test.

Euh... oui? C'est-à-dire?