Jésus témoigne comtre vous(chretiens)
Posté : 20 févr.05, 08:30
Démonstration que Jésus n'est pas Dieu, mais homme issu d'Adam, crée, prophète et envoyé.
En effet Matthieu dit au chap. I de son évangile : " Généalogie du Christ, fils de David, fils d'Abraham ", ce qui prouve que Jésus-Christ est né de la famille du prophète David. Or, David était de la tribu de Judas, fils de Jacob, fils d'Isaac, fils d'Abraham, et quiconque descend d'une famille adamique, est lui-même homme, issu d'Adam. Cela est hors de doute, vu que Dieu seul est éternel et immortel ; il n'a pas engendré et n'a pas été engendré ; tout ce qui existe en dehors de lui a pris naissance.
Matthieu dit aussi au chap. XIX de son évangile : Un homme dit au Christ : " O toi, le Bon " ! Jésus lui répondit :
" Pourquoi m'appelles-tu Bon ? Le Bon, c'est Dieu ". Comment aurait-il prétendu être l'associé de Dieu dans la divinité après avoir donné une si grande preuve de modestie et de soumission à son Maître et Créateur !
chap. XVII de l'évangile de Jean :
Le Christ leva les yeux au ciel et, s'humiliant devant le Dieu unique et créateur, il dit : " Il est nécessaire aux hommes de savoir que tu es le seul Dieu, créateur, et que c'est toi qui m'as envoyé. " Dans ces paroles Jésus reconnaît qu'il est un prophète, envoyé par Dieu avec une révélation sur l'unité et que Dieu, très haut, est Un et Créateur ; il n'y a pas d'autre créateur que lui. Jésus est d'accord ici avec tous les prophètes et envoyés. (Les bénédictions de Dieu soient sur eux tous !)
Si quelqu'un maintenant s'avisait de dire qu'en effet dans le passage cite plus haut, Jésus reconnaît qu'il se déclare éternel et créateur, nous lui répondrions : C'est calomnier Jésus qui est innocent de cette imputation et de tout ce qui s'y rapporte.
Matthieu dit aussi encore dans son évangile : Le diable invite le Christ à se prosterner devant lui et, lui montrant les royaumes du monde et leur gloire, il lui dit : "Prosterne-toi devant moi et je te remettrai tout cela" : Mais le Christ lui répondit : " Il est écrit pour tout homme, de n'adorer que Dieu, le seigneur, Dieu unique, et de ne se prosterner que devant lui. " Nous avons ici encore une preuve que Jésus est innocent de toute prétention a la divinité. Car, s'il était Dieu, comment le diable aurait-il osé lui adresser pareille parole ? Et dans sa réponse au diable, Jésus reconnaît expressément que Dieu seul est Dieu, et que l'on ne doit se prosterner que devant lui. De plus, comme il est notoire que Jésus, comme tous les autres prophètes, était garanti contre les suggestions intérieures et secrètes du diable, comment celui-ci aurait-il pu lui adresser la tentation extérieure, publique, de se prosterner devant lui ? Cette erreur ne saurait provenir que des auteurs des évangiles.
Jean dit à la fin de son évangile : " Jésus dit aux apôtres : je m'en vais vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu ", voulant dire par mon Père et votre Père, mon Maître et le votre, car dans ce temps on s'exprimait ainsi. Mais si les chrétiens veulent déduire de ce passage que Dieu est le père de Jésus, nous leur objectons que dans ce cas Dieu est le père de Jésus, nous leur objectons que dans ce cas Dieu est leur Père au même titre, parce que Jésus a dit : Mon Père et votre Père. Jésus a pris soin lui-même, au reste, d'ôter toute équivoque en ajoutant : mon Dieu et votre Dieu. Il ne reste donc dans ce verset aucune prétention à la divinité.
Au chap. X de l'évangile de Matthieu, nous lisons :
" Jésus dit aux Apôtres : Qui vous reçoit et vous donne l'hospitalité, me reçoit et me donne l'hospitalité et qui me reçoit, reçoit celui qui m'a envoyé " et au chap. V de l'évangile de Jean : " Jésus dit : Je ne suis pas venu pour faire ma volonté, mais pour faire la volonté de celui qui m'a envoyé " et à la fin de l'évangile de Marc "Jésus, attache au bois de la croix (selon eux), s'écria : mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné !" Ce fut d'après l'évangile sa dernière parole dans ce monde, mais cette parole il ne peut pas l'avoir cité !
Dieu ne peut avoir abandonné Jésus, pas davantage que les Juifs n'ont pu avoir le dessus sur lui au point de le crucifier
Jésus, invoquant Dieu dans ses angoisses et s'écriant : " Mon Dieu, mon Dieu ", se justifie lui-même de toute prétention à la divinité. En me servant, dans ma réfutation des dogmes chrétiens, de citations de ce genre, je n'ai d'autre but que de convaincre les chrétiens, tout en faisant mes réserves sur leur authenticité.
Aprés sa résurrection Jésus entra chez les apôtres qui s'étaient réunis dans une chambre haute dont ils avaient fermé les portes. Quand il fut entre, les Apôtres eurent peur de lui, car ils le prenaient pour un fantôme d'ange ou d'esprit. Jésus s'en étant aperçu leur dit : " O vous, touchez-moi et sachez que les esprits n'ont ni chair ni os, comme vous en trouvez en mon corps. "Par cette parole Jésus avoue être composé de chair et d'os et de matière animale et se justifie par la même de la prétention à la divinité. Il va sans dire, que si nous citons ce passage, nous n'admettons pas que Jésus a été tué, enseveli et qu'il est ressuscité du tombeau, ce qui n'est qu'une invention des premiers chrétiens.
Mais continuons. Le premier évangile dit que le Christ se taillait les ongles et se coupait les cheveux ; - or, d'après eux, il est le créateur éternel ; - une partie des ongles et des cheveux se désagrégeant du tout et devenant des fétus et des riens au point de perdre toute existence, il en résulte qu'une fraction du créateur s'annihilait et ne devenait rien, tandis qu'une autre fraction restait en l'état. Mais celui dont une partie se corrompt est corruptible aussi dans son tout, de même que ce qui est composé de parties est limité, soumis à ce qui l'élargit ou le limite ; De plus, tout être sujet à la limitation a besoin de secours et ne saurait s'en passer. Eh bien, au nom des arguments fournis par la raison et des textes puisés dans les écritures, j'atteste que le Dieu créateur et éternel n'a ni corps, ni substance, ni forme ; Qu'il n'est ni composé, ni susceptible de se fractionner ou de se sectionner ; qu'il n'est sujet à aucune diminution, ni à aucun changement. Il se suffit absolument à lui-même, tandis que toutes les créatures regardent vers Lui et ont besoin, dans leur indigence, de son secours, partout et toujours ; comme il est écrit dans le Coran : Rien n'est semblable a Lui, il voit et entend tout. (Sourate XLII)
Le Christ que vous dites être Créateur éternel, a-t-il existé dans un lieu et dans un temps, ou non ? A cette question, ils ne peuvent répondre qu'affirmativement, vu que les évangiles de Matthieu et de Luc déclarent explicitement que le Christ est né à Bethlehem, du ressort de la Judée, au temps du roi Hérode, et qu'il a été tué et crucifié au temps du roi Pilate. Mais, si quelqu'un existe dans un temps et dans un lieu, ce lieu le limite et ce temps a existe avant lui. Donc, quiconque se trouve en pareille condition est crée.
Appliquons ce raisonnement au Christ ; il est évident que, s'il a été crée, la croyance chrétienne qu'il est Dieu vrai, fils de Dieu vrai, créateur de toutes choses, tombe. En effet comme il est avéré et incontestable que le Temps est une chose créée, existent avant la venue du Christ, se pourrait-il que le temps eut pris naissance avant le créateur du temps, ou bien que celui qui a crée les espaces fut limite par l'espace ? Non, tout cela est impossible et absurde. Quiconque est né dans le temps et limite par l'espace, est de nature animale : le Christ, homme et fils d'homme, est le plus noble produit de l'espèce.
Que Dieu soit exalte pour m'avoir amené à la religion vraie et évidente, a la suite du plus grand des prophètes ! Que les bénédictions de Dieu soient sur lui, sur sa famille et sur tous les prophètes et envoyés.
En effet Matthieu dit au chap. I de son évangile : " Généalogie du Christ, fils de David, fils d'Abraham ", ce qui prouve que Jésus-Christ est né de la famille du prophète David. Or, David était de la tribu de Judas, fils de Jacob, fils d'Isaac, fils d'Abraham, et quiconque descend d'une famille adamique, est lui-même homme, issu d'Adam. Cela est hors de doute, vu que Dieu seul est éternel et immortel ; il n'a pas engendré et n'a pas été engendré ; tout ce qui existe en dehors de lui a pris naissance.
Matthieu dit aussi au chap. XIX de son évangile : Un homme dit au Christ : " O toi, le Bon " ! Jésus lui répondit :
" Pourquoi m'appelles-tu Bon ? Le Bon, c'est Dieu ". Comment aurait-il prétendu être l'associé de Dieu dans la divinité après avoir donné une si grande preuve de modestie et de soumission à son Maître et Créateur !
chap. XVII de l'évangile de Jean :
Le Christ leva les yeux au ciel et, s'humiliant devant le Dieu unique et créateur, il dit : " Il est nécessaire aux hommes de savoir que tu es le seul Dieu, créateur, et que c'est toi qui m'as envoyé. " Dans ces paroles Jésus reconnaît qu'il est un prophète, envoyé par Dieu avec une révélation sur l'unité et que Dieu, très haut, est Un et Créateur ; il n'y a pas d'autre créateur que lui. Jésus est d'accord ici avec tous les prophètes et envoyés. (Les bénédictions de Dieu soient sur eux tous !)
Si quelqu'un maintenant s'avisait de dire qu'en effet dans le passage cite plus haut, Jésus reconnaît qu'il se déclare éternel et créateur, nous lui répondrions : C'est calomnier Jésus qui est innocent de cette imputation et de tout ce qui s'y rapporte.
Matthieu dit aussi encore dans son évangile : Le diable invite le Christ à se prosterner devant lui et, lui montrant les royaumes du monde et leur gloire, il lui dit : "Prosterne-toi devant moi et je te remettrai tout cela" : Mais le Christ lui répondit : " Il est écrit pour tout homme, de n'adorer que Dieu, le seigneur, Dieu unique, et de ne se prosterner que devant lui. " Nous avons ici encore une preuve que Jésus est innocent de toute prétention a la divinité. Car, s'il était Dieu, comment le diable aurait-il osé lui adresser pareille parole ? Et dans sa réponse au diable, Jésus reconnaît expressément que Dieu seul est Dieu, et que l'on ne doit se prosterner que devant lui. De plus, comme il est notoire que Jésus, comme tous les autres prophètes, était garanti contre les suggestions intérieures et secrètes du diable, comment celui-ci aurait-il pu lui adresser la tentation extérieure, publique, de se prosterner devant lui ? Cette erreur ne saurait provenir que des auteurs des évangiles.
Jean dit à la fin de son évangile : " Jésus dit aux apôtres : je m'en vais vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu ", voulant dire par mon Père et votre Père, mon Maître et le votre, car dans ce temps on s'exprimait ainsi. Mais si les chrétiens veulent déduire de ce passage que Dieu est le père de Jésus, nous leur objectons que dans ce cas Dieu est le père de Jésus, nous leur objectons que dans ce cas Dieu est leur Père au même titre, parce que Jésus a dit : Mon Père et votre Père. Jésus a pris soin lui-même, au reste, d'ôter toute équivoque en ajoutant : mon Dieu et votre Dieu. Il ne reste donc dans ce verset aucune prétention à la divinité.
Au chap. X de l'évangile de Matthieu, nous lisons :
" Jésus dit aux Apôtres : Qui vous reçoit et vous donne l'hospitalité, me reçoit et me donne l'hospitalité et qui me reçoit, reçoit celui qui m'a envoyé " et au chap. V de l'évangile de Jean : " Jésus dit : Je ne suis pas venu pour faire ma volonté, mais pour faire la volonté de celui qui m'a envoyé " et à la fin de l'évangile de Marc "Jésus, attache au bois de la croix (selon eux), s'écria : mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné !" Ce fut d'après l'évangile sa dernière parole dans ce monde, mais cette parole il ne peut pas l'avoir cité !
Dieu ne peut avoir abandonné Jésus, pas davantage que les Juifs n'ont pu avoir le dessus sur lui au point de le crucifier
Jésus, invoquant Dieu dans ses angoisses et s'écriant : " Mon Dieu, mon Dieu ", se justifie lui-même de toute prétention à la divinité. En me servant, dans ma réfutation des dogmes chrétiens, de citations de ce genre, je n'ai d'autre but que de convaincre les chrétiens, tout en faisant mes réserves sur leur authenticité.
Aprés sa résurrection Jésus entra chez les apôtres qui s'étaient réunis dans une chambre haute dont ils avaient fermé les portes. Quand il fut entre, les Apôtres eurent peur de lui, car ils le prenaient pour un fantôme d'ange ou d'esprit. Jésus s'en étant aperçu leur dit : " O vous, touchez-moi et sachez que les esprits n'ont ni chair ni os, comme vous en trouvez en mon corps. "Par cette parole Jésus avoue être composé de chair et d'os et de matière animale et se justifie par la même de la prétention à la divinité. Il va sans dire, que si nous citons ce passage, nous n'admettons pas que Jésus a été tué, enseveli et qu'il est ressuscité du tombeau, ce qui n'est qu'une invention des premiers chrétiens.
Mais continuons. Le premier évangile dit que le Christ se taillait les ongles et se coupait les cheveux ; - or, d'après eux, il est le créateur éternel ; - une partie des ongles et des cheveux se désagrégeant du tout et devenant des fétus et des riens au point de perdre toute existence, il en résulte qu'une fraction du créateur s'annihilait et ne devenait rien, tandis qu'une autre fraction restait en l'état. Mais celui dont une partie se corrompt est corruptible aussi dans son tout, de même que ce qui est composé de parties est limité, soumis à ce qui l'élargit ou le limite ; De plus, tout être sujet à la limitation a besoin de secours et ne saurait s'en passer. Eh bien, au nom des arguments fournis par la raison et des textes puisés dans les écritures, j'atteste que le Dieu créateur et éternel n'a ni corps, ni substance, ni forme ; Qu'il n'est ni composé, ni susceptible de se fractionner ou de se sectionner ; qu'il n'est sujet à aucune diminution, ni à aucun changement. Il se suffit absolument à lui-même, tandis que toutes les créatures regardent vers Lui et ont besoin, dans leur indigence, de son secours, partout et toujours ; comme il est écrit dans le Coran : Rien n'est semblable a Lui, il voit et entend tout. (Sourate XLII)
Le Christ que vous dites être Créateur éternel, a-t-il existé dans un lieu et dans un temps, ou non ? A cette question, ils ne peuvent répondre qu'affirmativement, vu que les évangiles de Matthieu et de Luc déclarent explicitement que le Christ est né à Bethlehem, du ressort de la Judée, au temps du roi Hérode, et qu'il a été tué et crucifié au temps du roi Pilate. Mais, si quelqu'un existe dans un temps et dans un lieu, ce lieu le limite et ce temps a existe avant lui. Donc, quiconque se trouve en pareille condition est crée.
Appliquons ce raisonnement au Christ ; il est évident que, s'il a été crée, la croyance chrétienne qu'il est Dieu vrai, fils de Dieu vrai, créateur de toutes choses, tombe. En effet comme il est avéré et incontestable que le Temps est une chose créée, existent avant la venue du Christ, se pourrait-il que le temps eut pris naissance avant le créateur du temps, ou bien que celui qui a crée les espaces fut limite par l'espace ? Non, tout cela est impossible et absurde. Quiconque est né dans le temps et limite par l'espace, est de nature animale : le Christ, homme et fils d'homme, est le plus noble produit de l'espèce.
Que Dieu soit exalte pour m'avoir amené à la religion vraie et évidente, a la suite du plus grand des prophètes ! Que les bénédictions de Dieu soient sur lui, sur sa famille et sur tous les prophètes et envoyés.