Religions du monde :: forum religion

Salut les COOL forumeurs!!!


Je dois vous admettre que je demeure stupéfaite. Une amie à moi, une non-Chrétienne, est une femme très spirituelle en ses croyances et sa foi à elle, et elle est cultivée et instruite. Étant tout les deux des femmes autodidacte en sus de nos instructions formelles respectives, nos avons, lorsque le temps nous le permet, de profondes inter-échanges en matière et sur les plans dogmatiques, doctrinaux, moralités personnelles et sociales, spirituels, théologiques, et valeurs personnelles.

Mais hier, elle m'en a sortie une belle. À savoir que Marie-Madeleine, celà-même que Jésus dit "va et ne pêche plus", était la 'cousine propre' de Jésus. Si celà serait effectivement vrai, j'aimerais le savoir. Et si oui, j'aimerais savoir quel en serait le lien 'généalogique' de Marie-Madeleine d'avec Jésus de Jazareth, fils de Marie et de Joseph le carpentier.

Aussi, j'aimerais obtenir la source de l'info en question afin de pouvoir m'y référer.

Nickie

de ce que je sais, Marie Madeleine était une prostituée n 'ayant rien a voir avec Jésus

mickael a écrit :de ce que je sais, Marie Madeleine était une prostituée n 'ayant rien a voir avec Jésus

C'est vrai il n'y a aucune référence qui dit qu'elle était parente avec Jésus.

Lise

Trois femmes sont à l'origine du personnage de Marie Madeleine :


- Marie de Béthanie, soeur de Marthe et de Lazare le ressuscité

- Marie de Magdala, dite " la magdaléenne ", qui donna son nom au personnage de Madeleine.

- Enfin, la pécheresse anonyme, propre à Luc.

http://www.marie-madeleine.com/trois%20femmes.html

Tout cela dépend des lectures païennes que l'on a faites

Certaines vont jusqu'à dire que les Mérovingiens sont la descendance de Marie Madeleine et de... Jésus.

Ce qui repose sur l'hypothèse que Marie-Madeleine eu été la femme de Jésus c'est la partie dans laquelle elle aurait été la Marie qui a oint son corps pour le cépulcre, laver ces cheveux et ses pieds. Mais ne me citer pas s.v.p. lol

Ce qui fut à cette époque, si je ne me troupe, un geste approprié qu'à un membre femelle de la famille proche, telle une mère ou bien une épouse, ou bien une fille aînée.