Obama le musulman...
Posté : 05 févr.16, 04:06
Quand Obama appuie la ségrégation
Aujourd’hui (3/02/16), le président Barack Obama a — pour la première fois depuis qu’il a été élu — visité une mosquée en sol américain.
Il a choisi la Société islamique de Baltimore.
Dans cette mosquée — comme dans la majorité des mosquées —, on pratique la ségrégation sexuelle. Les hommes d’un bord, les femmes de l’autre.
Le président Obama accepterait-il de prononcer un discours dans un lieu où l’on pratique la ségrégation raciale — les blancs d’un bord, les noirs de l’autre ?
Bien sûr que non. Pourquoi donne-t-il son aval, alors, à une institution qui pratique la ségrégation sexuelle ? Traiter les femmes comme des citoyens de second ordre, c’est moins pire que traiter les noirs comme des citoyens de second ordre ?
Sur le site Internet du New York Times, deux musulmanes qui militent pour une réforme de l’islam écrivent que la visite du président dans une mosquée qui pratique l’inégalité homme-femme est un pas en arrière.
« Alors que le monde libre attend une réforme de l’Islam, le président des États-Unis fait montre d’une indifférence totale envers l’égalité homme-femme en visitant une mosquée qui traite les femmes comme des citoyens inférieurs. »
« Aujourd’hui, dans la plupart des mosquées aux États-Unis, les femmes et les filles sont séparées des hommes. On les regroupe dans des sous-sols mal éclairés, ou même derrière des rideaux de douche pour qu’elles ne soient pas à la vue des hommes. Si elles sont chanceuses, elles peuvent écouter les prêches des imams grâce à un écran de télé... »
Au lieu d’appuyer les musulmans RÉFORMISTES, Barack Obama (qui a pu devenir président grâce au travail acharné des militants pour les droits civiques qui REFUSAIENT la ségrégation) appuie au contraire les fondamentalistes.
Partout dans les pays musulmans, des femmes courageuses risquent leur vie pour pouvoir être traitées à l’égal des hommes. Et pendant ce temps, Obama, lui, donne sa bénédiction aux barbus qui veulent garder les femmes dans un enclos...
Quand l’Occident va-t-il apprendre à faire respecter ses valeurs ?
Le Journal de Montréal
Aujourd’hui (3/02/16), le président Barack Obama a — pour la première fois depuis qu’il a été élu — visité une mosquée en sol américain.
Il a choisi la Société islamique de Baltimore.
Dans cette mosquée — comme dans la majorité des mosquées —, on pratique la ségrégation sexuelle. Les hommes d’un bord, les femmes de l’autre.
Le président Obama accepterait-il de prononcer un discours dans un lieu où l’on pratique la ségrégation raciale — les blancs d’un bord, les noirs de l’autre ?
Bien sûr que non. Pourquoi donne-t-il son aval, alors, à une institution qui pratique la ségrégation sexuelle ? Traiter les femmes comme des citoyens de second ordre, c’est moins pire que traiter les noirs comme des citoyens de second ordre ?
Sur le site Internet du New York Times, deux musulmanes qui militent pour une réforme de l’islam écrivent que la visite du président dans une mosquée qui pratique l’inégalité homme-femme est un pas en arrière.
« Alors que le monde libre attend une réforme de l’Islam, le président des États-Unis fait montre d’une indifférence totale envers l’égalité homme-femme en visitant une mosquée qui traite les femmes comme des citoyens inférieurs. »
« Aujourd’hui, dans la plupart des mosquées aux États-Unis, les femmes et les filles sont séparées des hommes. On les regroupe dans des sous-sols mal éclairés, ou même derrière des rideaux de douche pour qu’elles ne soient pas à la vue des hommes. Si elles sont chanceuses, elles peuvent écouter les prêches des imams grâce à un écran de télé... »
Au lieu d’appuyer les musulmans RÉFORMISTES, Barack Obama (qui a pu devenir président grâce au travail acharné des militants pour les droits civiques qui REFUSAIENT la ségrégation) appuie au contraire les fondamentalistes.
Partout dans les pays musulmans, des femmes courageuses risquent leur vie pour pouvoir être traitées à l’égal des hommes. Et pendant ce temps, Obama, lui, donne sa bénédiction aux barbus qui veulent garder les femmes dans un enclos...
Quand l’Occident va-t-il apprendre à faire respecter ses valeurs ?
Le Journal de Montréal
