Quel Christ suivons-nous ?
Posté : 16 mai05, 02:00
Quel Christ suivons-nous ?
Les écritures témoignent : « Je frapperai le berger et les brebis du troupeau seront dispersées. » (Mat 26 :31-35)
Lorsque Christ dit à ses disciples qu’ils trébucheraient, l’apôtre Pierre jura que cela ne lui arriverait pas, même face à la mort.
L’évènement qui devait perturber tous les disciples et provoquer leur dispersion était que Dieu frapperait le berger.
Suivre un Christ débordant de sagesse, balayant les contradicteurs d’une simple réplique, ne présentait aucune occasion d’achoppement.
Il est plus gratifiant de suivre un Roi qu’un Berger. Surtout si celui ci change brusquement d’attitude et accepte d’offrir son âme pour ses brebis.
Le témoignage de la Parole de Dieu est pourtant clair.
L’apôtre Paul écrivit : « si nous avons connu Christ selon la chair, nous ne le connaissons plus ainsi. » (2 Cor 5 :16)
Faire partie du corps de Christ revient à ressentir ses sensations d‘écrasement, d’humiliation et d’abandon et, non de force ou de certitude.
Nous n’avons pas été appelés pour occuper des positions dominantes, ni pour être vêtus d’ornements royaux physiques.
Or, je m’étonne frères que vous vous laissiez si facilement éloigner de Celui qui vous a appelés pour passer à une autre sorte de ‘bonne nouvelle’. Car, lorsque je lis avec quels moyens (Arrogance, malice, duplicité, colère, injures, menaces.) certains ‘supers apôtres’ actuels s’efforcent d’asseoir leur position, permettez-moi de m’interroger : « Ont-ils commencés à régner sans nous ? » (1 Cor 4 :8)
Cet esprit charnel, présent chez celui qui se glorifie selon la chair, ne doit pas ‘gagner’ les serviteurs de Christ.
Le manque de foi en la puissance des armes spirituelles fait croire que les armes charnelles sont quelquefois nécessaires.
Aussi, j’en fais mention avec inquiétude : « Beaucoup trébuchent et marchent en ennemi du poteau de supplice ! » (Phil 3 :18)
Il est vrai que le langage du poteau de supplice est folie pour l’homme charnel.
- « Mourir en Christ et s’en remettre à Dieu ! Quelle idée saugrenue, pense t-il !
- « Plutôt que de ‘monter à Jérusalem’ pour y souffrir, n’est-il pas préférable de se montrer ‘bon’ pour soi ?
- « N’est-on pas plus utile ‘vivants’ pour paître correctement le troupeau ?
- « Pourquoi abandonner l’autorité et le rang que nous possédons ?
(Je parle évidemment d’abandonner les méthodes charnelles citées plus haut.)
Ainsi, plus nous accorderons de la valeur à notre position, moins il sera aisé de la céder ; fut-ce à Christ. C’est pourquoi : « Il sera difficile à un ‘riche’ d’entrer dans le Royaume. »
Pour reprendre une expression de la révélation, plus nous nous croyons ‘riche’, plus un ‘collyre’ nous permettrait de voir clair ou, en d’autres termes, de prendre conscience de notre pauvreté spirituelle. (Rév. 3 :17,18)
Si maintenant, quelqu’un confesse s’être effectivement endormi et n’avoir pas pu veiller une seule ‘heure’ ;
Si, prit de court, il avoue avoir renié la ‘brebis muette’ ;
Et s’il en prend seulement conscience lors du « chant du coq » ;
Alors une fois rétabli, qu’il affermisse ses frères et paisse les petites brebis.
La verge de fer n’étant évidemment pas nécessaire à cette fin.
La Parole de Dieu se boit mais ne s’aboie pas !
On ne transforme pas un loup en agneau à l’aide d’un bâton.
Elle seule peut faire paître ensemble des êtres aussi disparates qu’une vache et un ours, ou qu’un lion et un agneau !
Elle seule sait, sans provoquer de dégâts, séparer le blé de l’ivraie !
Elle seule discerne les pensées et les réelles intentions du cœur.
Inversement, celui qui suit un faux dieu ou faux christ s’inquiète et se démène. Or, c’est précisément l’attitude de l’idolâtre. Souvenez-vous : « Il se lève tôt, va dans la forêt, coupe un morceau de bois, en fait son dieu et l’accroche solidement au mur pour lui éviter la chute. »
Eh bien, rassurons-nous, le vrai Dieu est très puissant et ne tient pas à un simple clou. Remettons Lui avec foi nos couronnes et soyons prêts à suivre l’Agneau de Dieu peu importe où il va.
Beaucoup vont s’opposer ‘bec et ongles’ à cette option et ‘plancher’ pour prouver à l’aide du grec, du latin, de l’hébreu ou grâce à je ne sais quelle ‘sagesse’, l’absurdité de passer par cette voie.
Sacré porte étroite s’il en est !
Le faux berger évite cette ‘porte‘ préférant escalader l’enclos par ailleurs !
Salutations fraternelles !
Les écritures témoignent : « Je frapperai le berger et les brebis du troupeau seront dispersées. » (Mat 26 :31-35)
Lorsque Christ dit à ses disciples qu’ils trébucheraient, l’apôtre Pierre jura que cela ne lui arriverait pas, même face à la mort.
L’évènement qui devait perturber tous les disciples et provoquer leur dispersion était que Dieu frapperait le berger.
Suivre un Christ débordant de sagesse, balayant les contradicteurs d’une simple réplique, ne présentait aucune occasion d’achoppement.
Il est plus gratifiant de suivre un Roi qu’un Berger. Surtout si celui ci change brusquement d’attitude et accepte d’offrir son âme pour ses brebis.
Le témoignage de la Parole de Dieu est pourtant clair.
L’apôtre Paul écrivit : « si nous avons connu Christ selon la chair, nous ne le connaissons plus ainsi. » (2 Cor 5 :16)
Faire partie du corps de Christ revient à ressentir ses sensations d‘écrasement, d’humiliation et d’abandon et, non de force ou de certitude.
Nous n’avons pas été appelés pour occuper des positions dominantes, ni pour être vêtus d’ornements royaux physiques.
Or, je m’étonne frères que vous vous laissiez si facilement éloigner de Celui qui vous a appelés pour passer à une autre sorte de ‘bonne nouvelle’. Car, lorsque je lis avec quels moyens (Arrogance, malice, duplicité, colère, injures, menaces.) certains ‘supers apôtres’ actuels s’efforcent d’asseoir leur position, permettez-moi de m’interroger : « Ont-ils commencés à régner sans nous ? » (1 Cor 4 :8)
Cet esprit charnel, présent chez celui qui se glorifie selon la chair, ne doit pas ‘gagner’ les serviteurs de Christ.
Le manque de foi en la puissance des armes spirituelles fait croire que les armes charnelles sont quelquefois nécessaires.
Aussi, j’en fais mention avec inquiétude : « Beaucoup trébuchent et marchent en ennemi du poteau de supplice ! » (Phil 3 :18)
Il est vrai que le langage du poteau de supplice est folie pour l’homme charnel.
- « Mourir en Christ et s’en remettre à Dieu ! Quelle idée saugrenue, pense t-il !
- « Plutôt que de ‘monter à Jérusalem’ pour y souffrir, n’est-il pas préférable de se montrer ‘bon’ pour soi ?
- « N’est-on pas plus utile ‘vivants’ pour paître correctement le troupeau ?
- « Pourquoi abandonner l’autorité et le rang que nous possédons ?
(Je parle évidemment d’abandonner les méthodes charnelles citées plus haut.)
Ainsi, plus nous accorderons de la valeur à notre position, moins il sera aisé de la céder ; fut-ce à Christ. C’est pourquoi : « Il sera difficile à un ‘riche’ d’entrer dans le Royaume. »
Pour reprendre une expression de la révélation, plus nous nous croyons ‘riche’, plus un ‘collyre’ nous permettrait de voir clair ou, en d’autres termes, de prendre conscience de notre pauvreté spirituelle. (Rév. 3 :17,18)
Si maintenant, quelqu’un confesse s’être effectivement endormi et n’avoir pas pu veiller une seule ‘heure’ ;
Si, prit de court, il avoue avoir renié la ‘brebis muette’ ;
Et s’il en prend seulement conscience lors du « chant du coq » ;
Alors une fois rétabli, qu’il affermisse ses frères et paisse les petites brebis.
La verge de fer n’étant évidemment pas nécessaire à cette fin.
La Parole de Dieu se boit mais ne s’aboie pas !
On ne transforme pas un loup en agneau à l’aide d’un bâton.
Elle seule peut faire paître ensemble des êtres aussi disparates qu’une vache et un ours, ou qu’un lion et un agneau !
Elle seule sait, sans provoquer de dégâts, séparer le blé de l’ivraie !
Elle seule discerne les pensées et les réelles intentions du cœur.
Inversement, celui qui suit un faux dieu ou faux christ s’inquiète et se démène. Or, c’est précisément l’attitude de l’idolâtre. Souvenez-vous : « Il se lève tôt, va dans la forêt, coupe un morceau de bois, en fait son dieu et l’accroche solidement au mur pour lui éviter la chute. »
Eh bien, rassurons-nous, le vrai Dieu est très puissant et ne tient pas à un simple clou. Remettons Lui avec foi nos couronnes et soyons prêts à suivre l’Agneau de Dieu peu importe où il va.
Beaucoup vont s’opposer ‘bec et ongles’ à cette option et ‘plancher’ pour prouver à l’aide du grec, du latin, de l’hébreu ou grâce à je ne sais quelle ‘sagesse’, l’absurdité de passer par cette voie.
Sacré porte étroite s’il en est !
Le faux berger évite cette ‘porte‘ préférant escalader l’enclos par ailleurs !
Salutations fraternelles !