"Sagesse" de la Bible ...
Posté : 04 juil.17, 07:39
"La sagesse de la Bible est vraiment supérieure à toutes les découvertes modernes".
Si une phrase aussi crétine n'est pas l'illustration même de la Biblolâtrie que la Watchtower amène tous ses disciples à pratiquer, qu'est-ce donc ? Sagesse qu'il convient de replacer dans son contexte biblique exact :
"Supposons qu'un homme ait un fils indiscipliné et rebelle, qui ne prête pas attention à ce que lui disent ses parents, même quand ceux-ci le punissent. Le père et la mère se saisiront de lui et l'amèneront au tribunal, devant les anciens de la ville; ils leur déclareront par exemple: 'Notre fils que voici est indiscipliné et rebelle, il ne prête pas attention à ce que nous lui disons, il ne se plaît que dans la débauche et l'ivrognerie'. Alors tous les hommes de la ville lui jetteront des pierres jusqu'à ce qu'il meure. Vous ferez ainsi disparaître le mal du milieu de vous" (Deutéronome 21: 18-21).
Excellente recette pour une vie longue et heureuse, selon la Watchtower !
Tenez, encore autre chose qui crée des vies heureuses, longues, et qui préserve de la folie et des problèmes psycho-somatiques: voici une fillette (c'est forcément une fillette, puisque "pas encore fiancée" et toute fille était fiancée, dans le beau pays "de Dieu", avant ses douze ans) qui vient d'être violée par (forcément), un malade mental.
Va-t-on ici "faire disparaître le mal, du milieu du peuple", en exécutant le monstre qui, lui, ne s'est pas contenté de rentrer bourré à la maison, comme le fils de l'exemple précédent, mais a réellement violé une fillette, et a été pris sur le fait ?
"Si un homme rencontre une jeune fille qui n'est pas encore fiancée, qu'il l'oblige à coucher avec lui et qu'on les prenne sur le fait, l'homme versera au père de la jeune fille cinquante pièces d'argent [la valeur approximative d'un esclave, pour compenser le fait que la fillette ne fera plus désormais le ménage chez ses parents], et il devra épouser celle-ci, puisqu'il lui a fait violence. Durant toute sa vie, il n'aura plus le droit de la renvoyer" (Deutéronome 22: 28-29).
Non seulement le saligaud n'est pas puni, mais il va même maintenant pouvoir violer la gamine autant qu'il le voudra (et si elle refuse de se laisser faire, c'est elle qui sera alors condamnée - loi toujours en vigueur dans l'infection musulmane coranique), et la violer ainsi, à perpétuité !
Cette enfant aura désormais, comme vous l'explique la Watchtower, une pleine et entière expérience de "la sagesse de la Bible, supérieure à toutes les découvertes modernes" !
Elle vivra avec un coeur apaisé qui lui procurera une longue et joyeuse existence, n'est-ce pas ? Et en plus, il faudra qu'elle subisse les grossesses, et élève les enfants du monstre, et qu'elle s'occupe du confort de celui-ci.
Quel bonheur ! Comme la Bible et ses rabbins sont... merveilleux !
Comme le Peuple Élu est saint et admirable !
Pouvait-on aussi violer impunément les femmes mariées, et soit les garder, soit les remettre à la rue ensuite, en Israël, et ce, en accord avec la Bible "supérieure à toutes les découvertes modernes" ?
Oui, bien entendu. Il suffisait pour cela de tuer les maris dont on choisissait les femmes et de tuer aussi les parents de celle-ci.
Voyons cela.
"Lorsque vous partirez en guerre contre vos ennemis, que le Seigneur votre Dieu les livrera en votre pouvoir et que vous ferez des prisonniers, l'un de vous apercevra peut-être parmi eux une jolie femme; s'il en tombe amoureux et désire l'épouser, il pourra l'emmener chez lui [c'est-à-dire chez sa femme actuelle].
On rasera la tête de la femme, lui coupera les ongles, ôtera les vêtements de la prisonnière contre d'autres [négation absolue de la personne et de la dignité humaines] et elle résidera dorénavant chez cet homme.
Elle portera le deuil de son père et de sa mère durant une lunaison [il fallait donc bien les tuer précédemment et incendier leur maison, sinon elle aurait eu un toit où se réfugier, et il aurait fallu payer sa dot... alors, l'égorgement des parents évitait ces situations fastidieuses].
Ensuite seulement [notez la délicatesse de la chose, et la supériorité morale incontestable, de la Bible] l'homme pourra s'approcher d'elle et la prendre pour femme [c'est-à-dire la violer et, en plus, en faire sa domestique].
Si plus tard, elle cesse de lui plaire, il lui rendra sa liberté [traduire: il la remettra à la rue, pour qu'elle y passe une douce et heureuse vieillesse, qu'elle pourra donc consacrer à la louange du Dieu d'Israël et à l'appréciation de son amour, car toute haine envers son tortionnaire et le Dieu qui le fait se conduire ainsi, serait nuisible à son psychisme et au bon état de son système cardio-vasculaire, comme nous l'avons vu plus haut]" (Deutéronome 21: 10-14).
Voilà. C'est cela, la Bible. Tout au moins lue comme la Watchtower la lit: littéralement, à appliquer aux faits matériels, charnels ou historiques.
Si une phrase aussi crétine n'est pas l'illustration même de la Biblolâtrie que la Watchtower amène tous ses disciples à pratiquer, qu'est-ce donc ? Sagesse qu'il convient de replacer dans son contexte biblique exact :
"Supposons qu'un homme ait un fils indiscipliné et rebelle, qui ne prête pas attention à ce que lui disent ses parents, même quand ceux-ci le punissent. Le père et la mère se saisiront de lui et l'amèneront au tribunal, devant les anciens de la ville; ils leur déclareront par exemple: 'Notre fils que voici est indiscipliné et rebelle, il ne prête pas attention à ce que nous lui disons, il ne se plaît que dans la débauche et l'ivrognerie'. Alors tous les hommes de la ville lui jetteront des pierres jusqu'à ce qu'il meure. Vous ferez ainsi disparaître le mal du milieu de vous" (Deutéronome 21: 18-21).
Excellente recette pour une vie longue et heureuse, selon la Watchtower !
Tenez, encore autre chose qui crée des vies heureuses, longues, et qui préserve de la folie et des problèmes psycho-somatiques: voici une fillette (c'est forcément une fillette, puisque "pas encore fiancée" et toute fille était fiancée, dans le beau pays "de Dieu", avant ses douze ans) qui vient d'être violée par (forcément), un malade mental.
Va-t-on ici "faire disparaître le mal, du milieu du peuple", en exécutant le monstre qui, lui, ne s'est pas contenté de rentrer bourré à la maison, comme le fils de l'exemple précédent, mais a réellement violé une fillette, et a été pris sur le fait ?
"Si un homme rencontre une jeune fille qui n'est pas encore fiancée, qu'il l'oblige à coucher avec lui et qu'on les prenne sur le fait, l'homme versera au père de la jeune fille cinquante pièces d'argent [la valeur approximative d'un esclave, pour compenser le fait que la fillette ne fera plus désormais le ménage chez ses parents], et il devra épouser celle-ci, puisqu'il lui a fait violence. Durant toute sa vie, il n'aura plus le droit de la renvoyer" (Deutéronome 22: 28-29).
Non seulement le saligaud n'est pas puni, mais il va même maintenant pouvoir violer la gamine autant qu'il le voudra (et si elle refuse de se laisser faire, c'est elle qui sera alors condamnée - loi toujours en vigueur dans l'infection musulmane coranique), et la violer ainsi, à perpétuité !
Cette enfant aura désormais, comme vous l'explique la Watchtower, une pleine et entière expérience de "la sagesse de la Bible, supérieure à toutes les découvertes modernes" !
Elle vivra avec un coeur apaisé qui lui procurera une longue et joyeuse existence, n'est-ce pas ? Et en plus, il faudra qu'elle subisse les grossesses, et élève les enfants du monstre, et qu'elle s'occupe du confort de celui-ci.
Quel bonheur ! Comme la Bible et ses rabbins sont... merveilleux !
Comme le Peuple Élu est saint et admirable !
Pouvait-on aussi violer impunément les femmes mariées, et soit les garder, soit les remettre à la rue ensuite, en Israël, et ce, en accord avec la Bible "supérieure à toutes les découvertes modernes" ?
Oui, bien entendu. Il suffisait pour cela de tuer les maris dont on choisissait les femmes et de tuer aussi les parents de celle-ci.
Voyons cela.
"Lorsque vous partirez en guerre contre vos ennemis, que le Seigneur votre Dieu les livrera en votre pouvoir et que vous ferez des prisonniers, l'un de vous apercevra peut-être parmi eux une jolie femme; s'il en tombe amoureux et désire l'épouser, il pourra l'emmener chez lui [c'est-à-dire chez sa femme actuelle].
On rasera la tête de la femme, lui coupera les ongles, ôtera les vêtements de la prisonnière contre d'autres [négation absolue de la personne et de la dignité humaines] et elle résidera dorénavant chez cet homme.
Elle portera le deuil de son père et de sa mère durant une lunaison [il fallait donc bien les tuer précédemment et incendier leur maison, sinon elle aurait eu un toit où se réfugier, et il aurait fallu payer sa dot... alors, l'égorgement des parents évitait ces situations fastidieuses].
Ensuite seulement [notez la délicatesse de la chose, et la supériorité morale incontestable, de la Bible] l'homme pourra s'approcher d'elle et la prendre pour femme [c'est-à-dire la violer et, en plus, en faire sa domestique].
Si plus tard, elle cesse de lui plaire, il lui rendra sa liberté [traduire: il la remettra à la rue, pour qu'elle y passe une douce et heureuse vieillesse, qu'elle pourra donc consacrer à la louange du Dieu d'Israël et à l'appréciation de son amour, car toute haine envers son tortionnaire et le Dieu qui le fait se conduire ainsi, serait nuisible à son psychisme et au bon état de son système cardio-vasculaire, comme nous l'avons vu plus haut]" (Deutéronome 21: 10-14).
Voilà. C'est cela, la Bible. Tout au moins lue comme la Watchtower la lit: littéralement, à appliquer aux faits matériels, charnels ou historiques.