L´enfer existe-t-il ?
Posté : 18 déc.17, 21:29
L´ENFER EXISTE-T-IL ?
L’enfer : qu’est-ce que c’est ? Un lieu de tourments éternels ?
Réponse de la Bible Saintes Écritures Inspirées.
Certaines versions de la Bible traduisent le mot hébreu « shéol » et le mot grec équivalent « hadès » par « enfer ». Les deux mots désignent la tombe commune aux humains (Psaume 16:10 ; Actes 2:27). Beaucoup croient en un enfer de feu (voir l’illustration tirée de l’art religieux qui accompagne cet article). Mais voyez plutôt ce que la Bible enseigne.
Ceux qui sont en enfer sont dans un état d’inconscience et ne souffrent donc pas. « Il n’y a ni œuvre, ni plan, ni connaissance, ni sagesse dans le shéol » (Ecclésiaste 9:10).
Les bons vont en enfer. Jacob et Job, deux hommes fidèles à Dieu, s’attendaient à aller en enfer (Genèse 37:35 ; Job 14:13).
La punition du péché, c’est la mort, et pas des tourments dans un enfer de feu. « Celui qui est mort a été acquitté de son péché » (Romains 6:7).
Tourmenter quelqu’un éternellement serait contraire à la justice de Dieu (Deutéronome 32:4). Quand le premier homme, Adam, a péché, Jah-Allah lui a dit que sa punition serait simplement de ne plus exister : « Tu es poussière et tu retourneras à la poussière » (Genèse 3:19). Si Jah-Allah comptait en réalité envoyer Adam dans un enfer de feu, alors il mentait.
Jah-Allah n’a jamais songé à punir qui que ce soit par des tourments éternels. L’idée que Jah-Allah punit des individus en les envoyant dans les flammes de l’enfer est contraire à ce que la Bible enseigne. La Bible enseigne en effet que « Dieu est amour » (1 Jean 4:8 ; Jérémie 7:31).
ENFER(S)
Mot par lequel des versions françaises de la Bible rendent, parfois ou toujours, le terme hébreu sheʼôl et le terme grec haïdês (AC ; Od [5 fois]). Dans la Traduction Œcuménique de la Bible, le mot “ enfers ” rend sheʼôl 29 fois. Mais ce mot n’est pas systématiquement traduit ainsi, puisqu’on trouve aussi les leçons “ séjour des morts ” 33 fois, “ fosse ” 2 fois et “ mort ” 1 fois. Quant à haïdês, il est rendu 5 fois par “ séjour des morts ”, 4 fois par “ Hadès ”, et 1 fois par “ mort ” dans les Écritures grecques chrétiennes.
D’autres versions françaises traduisent, selon les textes, le mot hébreu sheʼôl par “ sépulcre ”, “ tombe ”, “ tombeau ”, “ séjour des morts ” (AC ; Li ; Od ; Sg ; ZK), ou bien, également selon les textes, le transcrivent “ shéol ”, “ chéol ”, “ Cheol ” ou “ Schéol ”. (Ch ;Da ; Jé ; MN ; Os ; Pl ; ZK.) Par contre, des versions modernes (BFC ; PV ; S) réservent le mot “ enfer ” à la traduction du grec géénna, que la majorité des autres versions transcrivent “ géhenne ”.
Un dictionnaire (Vine’s Expository Dictionary of Old and New Testament Words, 1981, vol. 2, p. 187) fait ce commentaire sur l’emploi du mot “ enfer ” pour traduire ces termes originaux hébreu et grec : “ HADÈS [...] correspond à ‘ shéol ’ dans l’AT [Ancien Testament.] Dans l’A.V. [Authorized Version] de l’AT [Ancien Testament] et du NT [Nouveau Testament], ce terme a été rendu de manière peu heureuse par ‘ enfer ’. ”
Une encyclopédie (Collier’s Encyclopedia, 1986, vol. 12, p. 28) dit à propos de l’“ Enfer ” : “ D’abord il correspond à l’hébreu shéol de l’Ancien Testament et au grec hadès de la Septante et du Nouveau Testament. Comme à l’époque de l’Ancien Testament shéol désignait simplement le séjour des morts et ne sous-entendait pas de distinctions d’ordre moral, le mot ‘ enfer ’, tel qu’il est compris aujourd’hui, n’est pas une traduction heureuse. ”
Si le mot “ enfer ” traduit ces termes bibliques originaux de façon si peu satisfaisante, c’est en fait en raison de ce qu’il évoque aujourd’hui. Concernant le mot français “ enfer ”, leDictionnaire historique de la langue française (par A. Rey, Paris, 1992, vol. 1, p. 691) explique que ce mot “ vient de l’adjectif latin classique infernus ‘ du bas, d’un lieu inférieur ’ ”. À l’origine, par conséquent, le mot “ enfer ” n’évoquait pas la chaleur ou les tourments, mais simplement un ‘ lieu en bas, en dessous ’. Le dictionnaire précité montre que “ de la valeur étymologique du mot ‘ lieu inférieur ’ vient en moyen français le sens technique de ‘ réceptacle au bas d’un moulin ’ ”.
Aujourd’hui, le sens donné au mot “ enfer ” est celui que mettent en scène Dante dans laDivine Comédie et J. Milton dans Paradis perdu. Cette signification est complètement étrangère à la définition originale du terme. Pourtant, l’idée de tourments dans un “ enfer ” de feu précéda de beaucoup Dante et Milton. Une encyclopédie (Grolier Universal Encyclopedia, 1971, vol. 9, p. 205) déclare à l’entrée “ Enfer ” : “ Les hindous et les bouddhistes voient l’enfer comme un lieu de purification spirituelle qui aboutit à un rétablissement final. La tradition islamique le considère comme un lieu de punition éternelle. ” La notion de souffrance après la mort figure parmi les enseignements religieux païens des anciens peuples babylonien et égyptien. Les croyances babyloniennes et assyriennes décrivaient “ le monde d’en bas [...] comme un lieu plein d’horreurs, [...] dominé par des dieux et des démons particulièrement puissants et violents ”. Les textes sacrés de l’Égypte antique, bien que n’enseignant pas que les victimes brûlaient à jamais, voient bel et bien dans l’ “ autre-monde ” des ‘ brasiers ’ réservés aux “ morts-errants ”. — The Religion of Babylonia and Assyria, par Morris Jastrow Jr, 1898, p. 581 ; Le livre des morts des anciens Égyptiens, par P. Barguet, Paris, 1967, p. 102, 104, 131, 195, 200, 201, 219.
L’“ enfer de feu ” est un des enseignements fondamentaux de la chrétienté depuis de nombreux siècles. On comprend qu’une encyclopédie (The Encyclopedia Americana, 1956, vol. XIV, p. 81) ait déclaré : “ Le fait que les premiers traducteurs de la Bible ont invariablement rendu par enfer le mot hébreu shéol ainsi que les termes grecs hadès et géhenne a été cause d’une grande confusion et d’interprétations erronées. La simple transcription de ces mots, par les traducteurs des éditions révisées de la Bible, n’a pas suffi à dissiper la confusion et les fausses conceptions. ” Néanmoins, en transcrivant ces mots et en les rendant chaque fois de la même façon, on permet à l’étudiant de la Bible d’établir une comparaison exacte des textes où ces mots originaux apparaissent, et, sans idée préconçue, de réussir à en comprendre correctement le sens réel. — Voir ENTERREMENT,TOMBES ; GÉHENNE ; HADÈS ; SHÉOL ; TARTARE.
jahsta17.blogspot.com pour mieux comprendre et vous défendre des argumentations infondés des inquisiteurs, fachistes et Babyloniens du 21ieme siècle.abrahamistas17.blogspot.com/ Para comprender mejor y defenderte de las argumentaciones infundadas de los inquisitores ,fascistas y Babylonios del siglo 21.elcaminocorrectoalavida17.blogspot.com
L’enfer : qu’est-ce que c’est ? Un lieu de tourments éternels ?
Réponse de la Bible Saintes Écritures Inspirées.
Certaines versions de la Bible traduisent le mot hébreu « shéol » et le mot grec équivalent « hadès » par « enfer ». Les deux mots désignent la tombe commune aux humains (Psaume 16:10 ; Actes 2:27). Beaucoup croient en un enfer de feu (voir l’illustration tirée de l’art religieux qui accompagne cet article). Mais voyez plutôt ce que la Bible enseigne.
Ceux qui sont en enfer sont dans un état d’inconscience et ne souffrent donc pas. « Il n’y a ni œuvre, ni plan, ni connaissance, ni sagesse dans le shéol » (Ecclésiaste 9:10).
Les bons vont en enfer. Jacob et Job, deux hommes fidèles à Dieu, s’attendaient à aller en enfer (Genèse 37:35 ; Job 14:13).
La punition du péché, c’est la mort, et pas des tourments dans un enfer de feu. « Celui qui est mort a été acquitté de son péché » (Romains 6:7).
Tourmenter quelqu’un éternellement serait contraire à la justice de Dieu (Deutéronome 32:4). Quand le premier homme, Adam, a péché, Jah-Allah lui a dit que sa punition serait simplement de ne plus exister : « Tu es poussière et tu retourneras à la poussière » (Genèse 3:19). Si Jah-Allah comptait en réalité envoyer Adam dans un enfer de feu, alors il mentait.
Jah-Allah n’a jamais songé à punir qui que ce soit par des tourments éternels. L’idée que Jah-Allah punit des individus en les envoyant dans les flammes de l’enfer est contraire à ce que la Bible enseigne. La Bible enseigne en effet que « Dieu est amour » (1 Jean 4:8 ; Jérémie 7:31).
ENFER(S)
Mot par lequel des versions françaises de la Bible rendent, parfois ou toujours, le terme hébreu sheʼôl et le terme grec haïdês (AC ; Od [5 fois]). Dans la Traduction Œcuménique de la Bible, le mot “ enfers ” rend sheʼôl 29 fois. Mais ce mot n’est pas systématiquement traduit ainsi, puisqu’on trouve aussi les leçons “ séjour des morts ” 33 fois, “ fosse ” 2 fois et “ mort ” 1 fois. Quant à haïdês, il est rendu 5 fois par “ séjour des morts ”, 4 fois par “ Hadès ”, et 1 fois par “ mort ” dans les Écritures grecques chrétiennes.
D’autres versions françaises traduisent, selon les textes, le mot hébreu sheʼôl par “ sépulcre ”, “ tombe ”, “ tombeau ”, “ séjour des morts ” (AC ; Li ; Od ; Sg ; ZK), ou bien, également selon les textes, le transcrivent “ shéol ”, “ chéol ”, “ Cheol ” ou “ Schéol ”. (Ch ;Da ; Jé ; MN ; Os ; Pl ; ZK.) Par contre, des versions modernes (BFC ; PV ; S) réservent le mot “ enfer ” à la traduction du grec géénna, que la majorité des autres versions transcrivent “ géhenne ”.
Un dictionnaire (Vine’s Expository Dictionary of Old and New Testament Words, 1981, vol. 2, p. 187) fait ce commentaire sur l’emploi du mot “ enfer ” pour traduire ces termes originaux hébreu et grec : “ HADÈS [...] correspond à ‘ shéol ’ dans l’AT [Ancien Testament.] Dans l’A.V. [Authorized Version] de l’AT [Ancien Testament] et du NT [Nouveau Testament], ce terme a été rendu de manière peu heureuse par ‘ enfer ’. ”
Une encyclopédie (Collier’s Encyclopedia, 1986, vol. 12, p. 28) dit à propos de l’“ Enfer ” : “ D’abord il correspond à l’hébreu shéol de l’Ancien Testament et au grec hadès de la Septante et du Nouveau Testament. Comme à l’époque de l’Ancien Testament shéol désignait simplement le séjour des morts et ne sous-entendait pas de distinctions d’ordre moral, le mot ‘ enfer ’, tel qu’il est compris aujourd’hui, n’est pas une traduction heureuse. ”
Si le mot “ enfer ” traduit ces termes bibliques originaux de façon si peu satisfaisante, c’est en fait en raison de ce qu’il évoque aujourd’hui. Concernant le mot français “ enfer ”, leDictionnaire historique de la langue française (par A. Rey, Paris, 1992, vol. 1, p. 691) explique que ce mot “ vient de l’adjectif latin classique infernus ‘ du bas, d’un lieu inférieur ’ ”. À l’origine, par conséquent, le mot “ enfer ” n’évoquait pas la chaleur ou les tourments, mais simplement un ‘ lieu en bas, en dessous ’. Le dictionnaire précité montre que “ de la valeur étymologique du mot ‘ lieu inférieur ’ vient en moyen français le sens technique de ‘ réceptacle au bas d’un moulin ’ ”.
Aujourd’hui, le sens donné au mot “ enfer ” est celui que mettent en scène Dante dans laDivine Comédie et J. Milton dans Paradis perdu. Cette signification est complètement étrangère à la définition originale du terme. Pourtant, l’idée de tourments dans un “ enfer ” de feu précéda de beaucoup Dante et Milton. Une encyclopédie (Grolier Universal Encyclopedia, 1971, vol. 9, p. 205) déclare à l’entrée “ Enfer ” : “ Les hindous et les bouddhistes voient l’enfer comme un lieu de purification spirituelle qui aboutit à un rétablissement final. La tradition islamique le considère comme un lieu de punition éternelle. ” La notion de souffrance après la mort figure parmi les enseignements religieux païens des anciens peuples babylonien et égyptien. Les croyances babyloniennes et assyriennes décrivaient “ le monde d’en bas [...] comme un lieu plein d’horreurs, [...] dominé par des dieux et des démons particulièrement puissants et violents ”. Les textes sacrés de l’Égypte antique, bien que n’enseignant pas que les victimes brûlaient à jamais, voient bel et bien dans l’ “ autre-monde ” des ‘ brasiers ’ réservés aux “ morts-errants ”. — The Religion of Babylonia and Assyria, par Morris Jastrow Jr, 1898, p. 581 ; Le livre des morts des anciens Égyptiens, par P. Barguet, Paris, 1967, p. 102, 104, 131, 195, 200, 201, 219.
L’“ enfer de feu ” est un des enseignements fondamentaux de la chrétienté depuis de nombreux siècles. On comprend qu’une encyclopédie (The Encyclopedia Americana, 1956, vol. XIV, p. 81) ait déclaré : “ Le fait que les premiers traducteurs de la Bible ont invariablement rendu par enfer le mot hébreu shéol ainsi que les termes grecs hadès et géhenne a été cause d’une grande confusion et d’interprétations erronées. La simple transcription de ces mots, par les traducteurs des éditions révisées de la Bible, n’a pas suffi à dissiper la confusion et les fausses conceptions. ” Néanmoins, en transcrivant ces mots et en les rendant chaque fois de la même façon, on permet à l’étudiant de la Bible d’établir une comparaison exacte des textes où ces mots originaux apparaissent, et, sans idée préconçue, de réussir à en comprendre correctement le sens réel. — Voir ENTERREMENT,TOMBES ; GÉHENNE ; HADÈS ; SHÉOL ; TARTARE.
jahsta17.blogspot.com pour mieux comprendre et vous défendre des argumentations infondés des inquisiteurs, fachistes et Babyloniens du 21ieme siècle.abrahamistas17.blogspot.com/ Para comprender mejor y defenderte de las argumentaciones infundadas de los inquisitores ,fascistas y Babylonios del siglo 21.elcaminocorrectoalavida17.blogspot.com