Mort intelligible
Posté : 31 mars18, 21:47
Quand l’homme meurt, son cadavre se dissocie, mais l’énergie qui le constitue ne disparaît pas. Sa conscience ne disparaît pas non plus.
La mort a un caractère d’irrévocabilité qui rend sa perspective digne de réflexions.
Dans l’«au-delà», l’énorme passif karmique prend la forme d’un séjour abominable, isolé, désolé, misérable…
Sur terre, l’énorme passif karmique prend la forme d’une existence abominable où les infortunes s’accumulent: famille indigne, misère, viols, chômage, maladies, infirmités, absence de médicaments pour calmer ses douleurs, crises, guerres, cataclysmes, emprisonnement, torture, esclavage, vieillesse calamiteuse…
Les chefs religieux des tribus sauvages fabulèrent l’«enfer» afin d’imposer par la trouille leurs lois politiques aux croyants naïfs. L’enfer dont parlent les religieux n’existe pas. Il s’agit d’une fabulation pathologique.
Celui qui ne parvient pas à s’entendre avec les autres sur terre en sera incapable dans l’«au-delà». Moralement fautif, il n’accède jamais aux «mondes paradisiaques» de perpétuelle quiétude. Le système karmique l’en empêche.
Dans l’«au-delà», personne ne voit Dieu car la Conscience Initiale, comme toute conscience, est un système perceptif totalement invisible. Le «contact» avec Dieu est identique dans l’«au-delà» et sur terre.
Marchander ses requêtes avec le ciel est une superstition ancestrale qu’on trouve partout sur la planète. La Conscience Initiale ne marchande jamais. Le fautif n’obtient aucun pardon de la Conscience Initiale pour ses crimes. Refus de pardonner sans juger. Nul reproche divin. Avec amour, la Conscience Initiale suit son plan. En refusant son pardon, Elle fait au coupable, à l’homme, le plus beau des cadeaux: sa liberté.
Lucifer est le «garde du corps» de la Conscience Initiale. Autre mission que lui confie la Conscience Initiale: l’enseignement des mystères du monde. Pour mieux répandre la lumière, il reste dans l’ombre. La Conscience Initiale S’est façonnée une altérité à partir d’un de Ses aspects. Telle la face cachée d’une étoile. Brillance «obscure». Ayant bénéficié de l’entière liberté d’agir, Lucifer se comporta comme toutes les créatures auxquelles est accordé ce privilège, il en abusa. La Conscience Initiale dut le mater.
Lucifer régente le diable et les démons. Il les utilise comme l’homme utilise des produits toxiques pour éliminer la vermine.
En chef de meute, à la tête d’une foule d’innombrables «démons», le diable fait le «sale boulot». Là où on lui dit, comme on lui dit. Pas ailleurs. Pas plus. Comme les «démons», le diable est une sorte de virus, pas «vivant» au sens des créatures organiques. Son existence dépend du «terrain». Si l’ensemble des gens parvenaient à ne plus outrepasser les règles divines qu’inspire la sagesse, il disparaîtrait aussitôt, automatiquement. Mais à la moindre rechute, le voici de retour.
La Conscience Initiale ne se «salit jamais les mains», les «démons» sont ravis de châtier à Sa place. Encore que rendre service à quiconque ne soit pas, chez eux, intentionnel. Quand l’ego cesse d’exercer la scélératesse, motivant leur présence, les «démons», dans l’incapacité d’interrompre leur malfaisance, retournent ce pouvoir destructeur contre eux-mêmes, et s’anéantissent. Toutefois, au moindre recommencement d’ambition malveillante par l’ego, ils resurgissent de la vacuité.
Il n’y aura jamais aucun jugement dernier. La Conscience Initiale ne juge personne. Le système karmique ne juge personne. Les êtres «libérés» ne jugent personne. Lucifer ne juge personne.
La mort a un caractère d’irrévocabilité qui rend sa perspective digne de réflexions.
Dans l’«au-delà», l’énorme passif karmique prend la forme d’un séjour abominable, isolé, désolé, misérable…
Sur terre, l’énorme passif karmique prend la forme d’une existence abominable où les infortunes s’accumulent: famille indigne, misère, viols, chômage, maladies, infirmités, absence de médicaments pour calmer ses douleurs, crises, guerres, cataclysmes, emprisonnement, torture, esclavage, vieillesse calamiteuse…
Les chefs religieux des tribus sauvages fabulèrent l’«enfer» afin d’imposer par la trouille leurs lois politiques aux croyants naïfs. L’enfer dont parlent les religieux n’existe pas. Il s’agit d’une fabulation pathologique.
Celui qui ne parvient pas à s’entendre avec les autres sur terre en sera incapable dans l’«au-delà». Moralement fautif, il n’accède jamais aux «mondes paradisiaques» de perpétuelle quiétude. Le système karmique l’en empêche.
Dans l’«au-delà», personne ne voit Dieu car la Conscience Initiale, comme toute conscience, est un système perceptif totalement invisible. Le «contact» avec Dieu est identique dans l’«au-delà» et sur terre.
Marchander ses requêtes avec le ciel est une superstition ancestrale qu’on trouve partout sur la planète. La Conscience Initiale ne marchande jamais. Le fautif n’obtient aucun pardon de la Conscience Initiale pour ses crimes. Refus de pardonner sans juger. Nul reproche divin. Avec amour, la Conscience Initiale suit son plan. En refusant son pardon, Elle fait au coupable, à l’homme, le plus beau des cadeaux: sa liberté.
Lucifer est le «garde du corps» de la Conscience Initiale. Autre mission que lui confie la Conscience Initiale: l’enseignement des mystères du monde. Pour mieux répandre la lumière, il reste dans l’ombre. La Conscience Initiale S’est façonnée une altérité à partir d’un de Ses aspects. Telle la face cachée d’une étoile. Brillance «obscure». Ayant bénéficié de l’entière liberté d’agir, Lucifer se comporta comme toutes les créatures auxquelles est accordé ce privilège, il en abusa. La Conscience Initiale dut le mater.
Lucifer régente le diable et les démons. Il les utilise comme l’homme utilise des produits toxiques pour éliminer la vermine.
En chef de meute, à la tête d’une foule d’innombrables «démons», le diable fait le «sale boulot». Là où on lui dit, comme on lui dit. Pas ailleurs. Pas plus. Comme les «démons», le diable est une sorte de virus, pas «vivant» au sens des créatures organiques. Son existence dépend du «terrain». Si l’ensemble des gens parvenaient à ne plus outrepasser les règles divines qu’inspire la sagesse, il disparaîtrait aussitôt, automatiquement. Mais à la moindre rechute, le voici de retour.
La Conscience Initiale ne se «salit jamais les mains», les «démons» sont ravis de châtier à Sa place. Encore que rendre service à quiconque ne soit pas, chez eux, intentionnel. Quand l’ego cesse d’exercer la scélératesse, motivant leur présence, les «démons», dans l’incapacité d’interrompre leur malfaisance, retournent ce pouvoir destructeur contre eux-mêmes, et s’anéantissent. Toutefois, au moindre recommencement d’ambition malveillante par l’ego, ils resurgissent de la vacuité.
Il n’y aura jamais aucun jugement dernier. La Conscience Initiale ne juge personne. Le système karmique ne juge personne. Les êtres «libérés» ne jugent personne. Lucifer ne juge personne.