L’échec de Darwin et de ses émules
Posté : 02 avr.18, 03:07
L’échec de Darwin et de ses émules
(Partie 1)
Le propre des faux principes, selon la formule de Philippe Plancard d'Assac, est qu' "ils portent en eux les germes de leur autodestruction".
« Souvent les gens ne veulent pas voir ou entendre la vérité parce qu'ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites. »
Friedrich Nietzsche
« Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue. »
« Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé. »
A. Einstein
Opposer religion et évolution mise au crédit de la science objective revient à jouer le jeu des athées mus par une croyance ancrée qui ne dit pas son nom ! Le premier postulat à établir dans l'échange avec un athée est de lui faire admettre qu'il défend une croyance !
Je ne suis pas biologiste, mais il n’est pas besoin de l’être pour discréditer la théorie de l’évolution tant cela coule de source, c’est comme démontrer scientifiquement que le soleil se lève tous les matins, j’en suis incapable !
Le darwinisme s’inscrit en réaction à l’obscurantisme de l’Église et du despotisme de la monarchie, dans un climat d’émancipation du pouvoir financier qui entraina celui des mœurs sous l’impulsion de l’Humanisme à l’origine du protestantisme et des différentes révolutions ayant écumé l’Occident. Fort de sa position dominante, l’évolutionnisme rejette toute référence aux textes sacrés chrétiens et à l’intervention de la Providence pour expliquer tout phénomène qui passe à la loupe de l’observation scientifique. C’est la revanche de l’ancien opprimé qui va se placer à l’extrême opposé de son vieil oppresseur. L’ère du matérialisme à outrance occulte toute dimension métaphysique, quitte à s’automutiler, voire à tricher, selon le principe machiavélique, la fin justifie les moyens.
Ainsi, pour assoir son hégémonie, les tenants de la science moderne partent du postulat que seul le fait observable est pris en compte dans l’étude d’un phénomène quelconque. Aussi ancienne soit-elle, toute croyance préconçue (comprendre qui émane des religions) est donc éliminée d’office, sans même l’envisager comme une hypothèse même à caractère faible. Après tout, pourquoi pas, sauf qu’il faut rester cohérent avec ce principe, et l’assumer jusqu’au bout. Donc, nous devons distinguer dans l’étude d’un phénomène entre ce qui relève de l’observation objective et ce qui relève de l’interprétation, qui, même plausible, reste aléatoire, jusqu’à preuve du contraire.
Ainsi, la science moderne reconnait ce qu’on appelle une microévolution (intra-espèce). Après, je laisse aux clercs le soin de débattre de ces considérations annexes, de manière purement scolastique, sur la limite, souvent poreuse, entre micro et macro évolution (que j’appelle transformisme), et sur les définitions des termes à l’image de « espèce », « race », etc. Ce n’est pas mon propos, surtout ce que je ne suis pas habilité à le faire. D’ailleurs, et cela tombe bien, cela ne change rien au problème de fond, malgré les enjeux éventuels qui règnent derrière ces polémiques. Entre parenthèses, dans ce genre de débat, on peut défendre une idée fausse avec l’intelligence de trouver des failles dans l’argumentaire de l’adversaire, notamment sur la forme. Il est tout à fait possible d’avoir raison tout en étant incapable de défendre correctement sa cause. Bien que l’adversaire en abuse et appuie là où cela fait mal, et là où il a encore pied, ce n’est en définitive qu’un pavé de plus jeté dans la mare aux poissons noyés à coups de poudres aux yeux. Ces procédés ne dupent que les crédules ou les adversaires en présence qui s’enferment dans un protocole mutuel, et qui n’a d’autre effet que de gagner du terrain dans le camp ennemi. C’est de bonne guerre !
Nous concédons donc aux évolutionnistes l’existence d’une microévolution, et aussi loin qu’ils poussent la limite de ce phénomène, aucune observation sérieuse ne corrobore l’extrapolation qu’ils font pour l’étendre à la macroévolution et justifier donc le transformisme inter-espèce.
Les seuls arguments qu’ils ont en mains sont l’interprétation, la spéculation, l’extrapolation, et l’analogie hasardeuse qui, faute de preuves, restent au stade de… la croyance. Charité ordonnée commence par soi-même, l’hôpital se moque cruellement de la charité, et force est de constater que celle-ci fait preuve d’une grande générosité ! Darwin invalidait les religions fondées sur des croyances, alors que sa théorie l’est tout autant.
Il s’en prend à une croyance répandue depuis l’Antiquité, indépendamment de savoir si on y donne foi ou non, voire si elle est juste ou non, à laquelle il substitue une autre croyance qui est bien plus récente, et, tenez-vous, sous le couvert de la science. Et là, nous nous intéressons qu’à un aspect de cette théorie. Nous faisons fi de la génération spontanée qui serait à l’origine de la vie, et que nos illuminés reprochent volontiers aux catholiques imprégnés de la pensée d’Aristote, avec l’arrogance des doctes qui sied à leur statut ! Sans parler non plus du fameux et farfelu « chainon manquant » ou du facteur « hasard » qu’ils brandissent paradoxalement comme un outil scientifique pour justement occulter une invention intelligente. D’ailleurs, les néo-darwinistes se complaisent de la théorie de leur mentor sous le prétexte fallacieux qu’il n’y a rien de mieux pour la remplacer. Ils oublient, ou font semblant d’oublier, que grâce aux avancées technologiques qui ont permit d’exploiter la piste ADN, une nouvelle école de penser se dessine avec pour cheval de bataille, l’information, qui, avec l’énergie et la matière – en vogue au 19ième siècle –, composent désormais le socle de la connaissance postindustrielle.
À l’ère de l’information (ADN), à l’orée du 3ième millénaire qui sera religieux ou qui ne sera pas, la science revient aux fondamentaux, soit la prise en compte dans les phénomènes liés à la nature d’un facteur extérieur, une intelligence supérieure, peu importe qu’on l’appelle Dieu ou non, un véritable tabou dans les milieux scientifiques. Dans tous les cas, ce constat porte un coup fatal au leurre darwiniste. C’est juste une question de temps pour que l’Humanité ouvre totalement les yeux sur cette imposture qui ne dit pas son nom. La plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu'il n'existe pas ! Darwin avait observé une certaine sélection naturelle sur laquelle il fonda sa théorie. Il ne savait pas à son époque qu’il ne s’agissait que des effets d’un iceberg ayant caché sous les eaux un phénomène éminemment plus complexe. Quand le sage montre la lune, l’idiot regarde son doigt. Je sais que je ne sais pas, disait Socrate. Humble, un savant digne de ce nom, fait, au minimum, profil bas. L’homme est vraiment imbu de sa petitesse, noyé qu’il est au beau milieu d’une mer sans rivage !
À suivre…
Par : Karim Zentici
http://mizab.over-blog.com/
Pour sortir par la grande porte de cet imbroglio sémantique dans lequel veulent nous entrainer les évolutionnistes, nous disons que le transformisme est le passage d’un groupe bien défini d’êtres vivants vers un autre groupe bien défini. Nos affabulateurs qui présentent une généalogie commune à tous ces groupes, imaginent la mutation fantaisiste du poisson au reptile, du reptile à l’oiseau, du singe à l’homme, rien que cela. Selon les termes du propagandiste nazi Goebbels, plus le mensonge est gros plus il passe.
(Partie 1)
Le propre des faux principes, selon la formule de Philippe Plancard d'Assac, est qu' "ils portent en eux les germes de leur autodestruction".
« Souvent les gens ne veulent pas voir ou entendre la vérité parce qu'ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites. »
Friedrich Nietzsche
« Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue. »
« Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé. »
A. Einstein
Opposer religion et évolution mise au crédit de la science objective revient à jouer le jeu des athées mus par une croyance ancrée qui ne dit pas son nom ! Le premier postulat à établir dans l'échange avec un athée est de lui faire admettre qu'il défend une croyance !
Je ne suis pas biologiste, mais il n’est pas besoin de l’être pour discréditer la théorie de l’évolution tant cela coule de source, c’est comme démontrer scientifiquement que le soleil se lève tous les matins, j’en suis incapable !
Le darwinisme s’inscrit en réaction à l’obscurantisme de l’Église et du despotisme de la monarchie, dans un climat d’émancipation du pouvoir financier qui entraina celui des mœurs sous l’impulsion de l’Humanisme à l’origine du protestantisme et des différentes révolutions ayant écumé l’Occident. Fort de sa position dominante, l’évolutionnisme rejette toute référence aux textes sacrés chrétiens et à l’intervention de la Providence pour expliquer tout phénomène qui passe à la loupe de l’observation scientifique. C’est la revanche de l’ancien opprimé qui va se placer à l’extrême opposé de son vieil oppresseur. L’ère du matérialisme à outrance occulte toute dimension métaphysique, quitte à s’automutiler, voire à tricher, selon le principe machiavélique, la fin justifie les moyens.
Ainsi, pour assoir son hégémonie, les tenants de la science moderne partent du postulat que seul le fait observable est pris en compte dans l’étude d’un phénomène quelconque. Aussi ancienne soit-elle, toute croyance préconçue (comprendre qui émane des religions) est donc éliminée d’office, sans même l’envisager comme une hypothèse même à caractère faible. Après tout, pourquoi pas, sauf qu’il faut rester cohérent avec ce principe, et l’assumer jusqu’au bout. Donc, nous devons distinguer dans l’étude d’un phénomène entre ce qui relève de l’observation objective et ce qui relève de l’interprétation, qui, même plausible, reste aléatoire, jusqu’à preuve du contraire.
Ainsi, la science moderne reconnait ce qu’on appelle une microévolution (intra-espèce). Après, je laisse aux clercs le soin de débattre de ces considérations annexes, de manière purement scolastique, sur la limite, souvent poreuse, entre micro et macro évolution (que j’appelle transformisme), et sur les définitions des termes à l’image de « espèce », « race », etc. Ce n’est pas mon propos, surtout ce que je ne suis pas habilité à le faire. D’ailleurs, et cela tombe bien, cela ne change rien au problème de fond, malgré les enjeux éventuels qui règnent derrière ces polémiques. Entre parenthèses, dans ce genre de débat, on peut défendre une idée fausse avec l’intelligence de trouver des failles dans l’argumentaire de l’adversaire, notamment sur la forme. Il est tout à fait possible d’avoir raison tout en étant incapable de défendre correctement sa cause. Bien que l’adversaire en abuse et appuie là où cela fait mal, et là où il a encore pied, ce n’est en définitive qu’un pavé de plus jeté dans la mare aux poissons noyés à coups de poudres aux yeux. Ces procédés ne dupent que les crédules ou les adversaires en présence qui s’enferment dans un protocole mutuel, et qui n’a d’autre effet que de gagner du terrain dans le camp ennemi. C’est de bonne guerre !
Nous concédons donc aux évolutionnistes l’existence d’une microévolution, et aussi loin qu’ils poussent la limite de ce phénomène, aucune observation sérieuse ne corrobore l’extrapolation qu’ils font pour l’étendre à la macroévolution et justifier donc le transformisme inter-espèce.
Il s’en prend à une croyance répandue depuis l’Antiquité, indépendamment de savoir si on y donne foi ou non, voire si elle est juste ou non, à laquelle il substitue une autre croyance qui est bien plus récente, et, tenez-vous, sous le couvert de la science. Et là, nous nous intéressons qu’à un aspect de cette théorie. Nous faisons fi de la génération spontanée qui serait à l’origine de la vie, et que nos illuminés reprochent volontiers aux catholiques imprégnés de la pensée d’Aristote, avec l’arrogance des doctes qui sied à leur statut ! Sans parler non plus du fameux et farfelu « chainon manquant » ou du facteur « hasard » qu’ils brandissent paradoxalement comme un outil scientifique pour justement occulter une invention intelligente. D’ailleurs, les néo-darwinistes se complaisent de la théorie de leur mentor sous le prétexte fallacieux qu’il n’y a rien de mieux pour la remplacer. Ils oublient, ou font semblant d’oublier, que grâce aux avancées technologiques qui ont permit d’exploiter la piste ADN, une nouvelle école de penser se dessine avec pour cheval de bataille, l’information, qui, avec l’énergie et la matière – en vogue au 19ième siècle –, composent désormais le socle de la connaissance postindustrielle.
À l’ère de l’information (ADN), à l’orée du 3ième millénaire qui sera religieux ou qui ne sera pas, la science revient aux fondamentaux, soit la prise en compte dans les phénomènes liés à la nature d’un facteur extérieur, une intelligence supérieure, peu importe qu’on l’appelle Dieu ou non, un véritable tabou dans les milieux scientifiques. Dans tous les cas, ce constat porte un coup fatal au leurre darwiniste. C’est juste une question de temps pour que l’Humanité ouvre totalement les yeux sur cette imposture qui ne dit pas son nom. La plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu'il n'existe pas ! Darwin avait observé une certaine sélection naturelle sur laquelle il fonda sa théorie. Il ne savait pas à son époque qu’il ne s’agissait que des effets d’un iceberg ayant caché sous les eaux un phénomène éminemment plus complexe. Quand le sage montre la lune, l’idiot regarde son doigt. Je sais que je ne sais pas, disait Socrate. Humble, un savant digne de ce nom, fait, au minimum, profil bas. L’homme est vraiment imbu de sa petitesse, noyé qu’il est au beau milieu d’une mer sans rivage !
À suivre…
Par : Karim Zentici
http://mizab.over-blog.com/