Analyse du Coran
Posté : 25 août05, 09:38
Allah ne cesse d'apparaître dans le Coran comme un guerrier sans pitié. Certes il peut exercer sa magnanimité, elle relève de ses attributions mais quand? ou? avec qui? On passe au fil de l'épée, on avilit par le joug, on torture, on brûle, pille et massacre beaucoup plus qu'on ne pratique l'amour de son prochain. Et ce aussi bien dans les faits et gestes du prophète tout aussi bien que dans le livre "sacré".
Mahomet pratique allègrement les razzias lors de guerres tribales qu'il a lui même déclenchées, il envoie ses amis en première ligne pour combattre, puis à peine atteint par une pierre assiste à la débandade de ses amis dissimulé dans une tranchée, il mandate ses proches pour l'élimination de tel ou tel adversaire gênant, il massacre des juifs à la pelle, il convertit de force les Médinois, et s'ils refusent il les tue etc...
BREF!
Allah brille dans la stratégie, la tactique de guerre ou de punition - tuer entre autres - et il utilise la ruse avec brio, or cette vertu des cyniques paraît plus un vice qu'autre chose. Il recourt volontier a la violence et décide de la mort, il concocte des châtiments ignominieux pour les incrédules, il est le Maître de la vengeance, il anéantit les mécréants, il est si magnianime qu'il ne tolère pas même une croyance différente de son souhait : il punit donc ceux qui se font une idée fausse de lui...
Une sourate bien imprudente affirme que le Coran vient directement d'Allah. La preuve? L'inexistence de contradictions dans le livre divin.. Pauvres musulmans! Il ne faut pas bien longtemps pour s'apercevoir qu'elles abondent au fil des pages! A plusieurs reprises le Coran parle de lui-même en prenant plaisir à son existence : intelligemment exposé (VI, 114), clairement déroulé (XXII, 16), sans tortuosité (XXXIX, 28). Sauf que l'ouvrage fourmille de propos contradictoires : il suffit de se baisser pour les ramasser.
Par exemple, on peut y voir une invitation à tuer les incrédules (VIII, 39) et les polythéistes (IX, 5), mais éloge au verset suivant de qui leur offre asile (IX, 5) ; proposition de combattre violemment les incrédules (VIII, 39) mais célébration du pardon (VIII, 199), de l'oubli (V, 13) et de la paix (XLVV) ; justification du massacre (IV,56, IV,91, II,191-194) mais utilisation fréquente d'une sourate qui dit : tuer un homme qui n'a pas commi de violence sur terre c'est tuer tous les hommes de même en sauver un seul c'est les sauver tous (V, 32) ; justification du talion (II,178, V,38) mais y renoncer permet l'expiation de ses fautes (V, 45) ; interdiction de prendre pour amis des juifs ou des chrétiens (V, 51) mais permission pour les hommes d'épouser une femme pratiquant la religion des deux autres Livres (V, 5), à quoi s'ajoute un verset affirmant la fraternité de tous les croyants (XLIX, 10), puis proposition de discuter avec eux de manière courtoise (XXIX, 46) ; légitimation de la chasse à l'impie (IV, 91) mais célébration de l'indifférence à l'endroit de qui se détourne de Dieu (IV, 80) ; prescription du carcan au cou des infidèles (XIII, 5) mais autre verset souvent excipé pour prouver la tolérance de la religion musulmane : <<Pas de contrainte en religion!>>(II, 256) ; invocation de Dieu pour l'anéantissement des juifs et des chrétiens (IX, 30), mais promulgation d'une sentance d'amitié entre croyants quelques versets plus loin dans la même sourate (IX, 71) ; affirmation de l'égalité de tous et de toutes devant la vie et la mort (XLV, 21) mais désolation sur terre quand dans une famille naît une fille (XLIII, 17), puis confirmation qu'après la mort l'inégalité persiste : le Paradis pour certains, l'Enfer pour d'autres (LIX, 20) ; une fois le prophète enseigne que la récompense du Bien c'est le Paradis (III, 136) mais une autre fois il prétend que ladite récompense du Bien c'est... le Bien (LV, 60) ; affirmation que tout procède du vouloir de Dieu qui égare sciemment (XLV, 23) mais malgré tout l'homme est responsable de ses faites et gestes (LII, 21)...
Que penser alors? Se résoudre à l'évidence et admettre que le Coran a une origine bien humaine, trop humaine. D'ailleurs je me demande comment on pourrait croire qu'un livre qui fait le blâme de l'apostasie, qui est homophobe, antisémite, misogyne, tyrannique et qui fait l'éloge de l'ésclavagisme pourrait venir de Dieu... tout est d'une telle bassesse... comment pourrait on penser que cela viendrait de Dieu? RIDICULE!
in cauda venenum
La fin est supprimé par Proserpina:
A-10 Interdiction de poster des messages injurieux, discourtois ou ridiculisant la foi.
Merci de rester poli, et courtois... les attaques précises et délibérés contre les musulmans en général n'ont rien à faire ici du reste! Le Coran n'est pas à proprement dit la spécialité de ce forum
Mahomet pratique allègrement les razzias lors de guerres tribales qu'il a lui même déclenchées, il envoie ses amis en première ligne pour combattre, puis à peine atteint par une pierre assiste à la débandade de ses amis dissimulé dans une tranchée, il mandate ses proches pour l'élimination de tel ou tel adversaire gênant, il massacre des juifs à la pelle, il convertit de force les Médinois, et s'ils refusent il les tue etc...
BREF!
Allah brille dans la stratégie, la tactique de guerre ou de punition - tuer entre autres - et il utilise la ruse avec brio, or cette vertu des cyniques paraît plus un vice qu'autre chose. Il recourt volontier a la violence et décide de la mort, il concocte des châtiments ignominieux pour les incrédules, il est le Maître de la vengeance, il anéantit les mécréants, il est si magnianime qu'il ne tolère pas même une croyance différente de son souhait : il punit donc ceux qui se font une idée fausse de lui...
Une sourate bien imprudente affirme que le Coran vient directement d'Allah. La preuve? L'inexistence de contradictions dans le livre divin.. Pauvres musulmans! Il ne faut pas bien longtemps pour s'apercevoir qu'elles abondent au fil des pages! A plusieurs reprises le Coran parle de lui-même en prenant plaisir à son existence : intelligemment exposé (VI, 114), clairement déroulé (XXII, 16), sans tortuosité (XXXIX, 28). Sauf que l'ouvrage fourmille de propos contradictoires : il suffit de se baisser pour les ramasser.
Par exemple, on peut y voir une invitation à tuer les incrédules (VIII, 39) et les polythéistes (IX, 5), mais éloge au verset suivant de qui leur offre asile (IX, 5) ; proposition de combattre violemment les incrédules (VIII, 39) mais célébration du pardon (VIII, 199), de l'oubli (V, 13) et de la paix (XLVV) ; justification du massacre (IV,56, IV,91, II,191-194) mais utilisation fréquente d'une sourate qui dit : tuer un homme qui n'a pas commi de violence sur terre c'est tuer tous les hommes de même en sauver un seul c'est les sauver tous (V, 32) ; justification du talion (II,178, V,38) mais y renoncer permet l'expiation de ses fautes (V, 45) ; interdiction de prendre pour amis des juifs ou des chrétiens (V, 51) mais permission pour les hommes d'épouser une femme pratiquant la religion des deux autres Livres (V, 5), à quoi s'ajoute un verset affirmant la fraternité de tous les croyants (XLIX, 10), puis proposition de discuter avec eux de manière courtoise (XXIX, 46) ; légitimation de la chasse à l'impie (IV, 91) mais célébration de l'indifférence à l'endroit de qui se détourne de Dieu (IV, 80) ; prescription du carcan au cou des infidèles (XIII, 5) mais autre verset souvent excipé pour prouver la tolérance de la religion musulmane : <<Pas de contrainte en religion!>>(II, 256) ; invocation de Dieu pour l'anéantissement des juifs et des chrétiens (IX, 30), mais promulgation d'une sentance d'amitié entre croyants quelques versets plus loin dans la même sourate (IX, 71) ; affirmation de l'égalité de tous et de toutes devant la vie et la mort (XLV, 21) mais désolation sur terre quand dans une famille naît une fille (XLIII, 17), puis confirmation qu'après la mort l'inégalité persiste : le Paradis pour certains, l'Enfer pour d'autres (LIX, 20) ; une fois le prophète enseigne que la récompense du Bien c'est le Paradis (III, 136) mais une autre fois il prétend que ladite récompense du Bien c'est... le Bien (LV, 60) ; affirmation que tout procède du vouloir de Dieu qui égare sciemment (XLV, 23) mais malgré tout l'homme est responsable de ses faites et gestes (LII, 21)...
Que penser alors? Se résoudre à l'évidence et admettre que le Coran a une origine bien humaine, trop humaine. D'ailleurs je me demande comment on pourrait croire qu'un livre qui fait le blâme de l'apostasie, qui est homophobe, antisémite, misogyne, tyrannique et qui fait l'éloge de l'ésclavagisme pourrait venir de Dieu... tout est d'une telle bassesse... comment pourrait on penser que cela viendrait de Dieu? RIDICULE!
in cauda venenum
La fin est supprimé par Proserpina:
A-10 Interdiction de poster des messages injurieux, discourtois ou ridiculisant la foi.
Merci de rester poli, et courtois... les attaques précises et délibérés contre les musulmans en général n'ont rien à faire ici du reste! Le Coran n'est pas à proprement dit la spécialité de ce forum