Bonjour,
De deux choses, l'une : l'histoire d'Adam et Ève a fait l'objet d'un
visionnage de Jésus avec l'auréole de Dieu le Père du temps - des milliers d'années en arrière dans le passé - de ces hominidés (Adam et Éve), l'autre : l'histoire d'Adam et Ève est une
parabole de Jésus.
Pour ma part, je pense qu'il s'agit d'une combinaison des deux.
Pour comprendre le
fruit de la connaissance, il faut se pencher sur la signification du mot "connaissance" qui veut dire : "
avec la naissance".
Adam et Ève - qu'il faut bien voir en hominidés - avaient conscience de l'existence des serpents dans l'environnement de leur époque. Et en Afrique, considéré par les contemporains comme le berceau de la civilisation, on trouve des serpents venimeux, d'autres non, et surtout de grands serpents tels que le python de Seba :
Vraisemblablement dans l'épisode relaté dans la Bible - sans doute visionné par Jésus avec l'auréole - Éve, femelle hominidé, donne à Adam une pomme. De leur temps, Adam et Ève n'avaient pas de nom, c'est, on peut le penser, Dieu le Père qui a suggéré à Jésus de les appeler ainsi.
Or il s'est trouvé que la pomme était véreuse.
Dans la logique cognitive primitive, le ver dans la pomme est un bébé serpent donc la pomme donne naissance aux serpents. Voilà l'explication la plus rationnelle de la parabole de Jésus.
D'où l'idée du
fruit défendu ne pouvant être mangé puisque donnant la vie selon Jésus ! En allant plus loin, rien n'empêche de penser qu'à l'époque, la cognition étant limitée, le ver naissait d'un pépin de pomme !!
Il faut voir du temps de Jésus que la compréhension de la vie était encore archaïque, et il y a deux millénaires les sciences n'existaient pas encore, exception faite de la civilisation grecque : "Si Aristote est le fondateur de la botanique (vers 347 av. J.-C.); c'est à Théophraste que l'on doit le plus ancien ouvrage qui soit resté (l'Histoire des plantes, composé en 320 av. J.-C). A peine née, cette science a rapidement décliné." (Source :
L'histoire de la botanique)
La parabole de Jésus est d'autant plus spectaculaire que l'appendice sexuel d'un homme, sa verge, a été comparée à un serpent qui peut se dresser (similitude avec par exemple un cobra qui se dresse) ! D'où le réflexe de cacher le sexe masculin en considération du "péché" définit ainsi : "Selon le dictionnaire
Le Petit Robert (édition 2003), ce terme vient du latin
peccatum, qui signifie
faute,
erreur." (Source wikipédia :
Péché). Le péché est donc plus que tout une
erreur d'interprétation faute d'une cognition évoluée. A notre époque, c'est bien plus encore : une aberration !
Dernier point : les âges donnés dans la Bible d'individus ayant vécu plusieurs siècles est un biais du visionnage dans l'espace-temps avec l'auréole. Voyager dans l'espace-temps relativise les durées, et Jésus - tout comme Dieu le Père - ne pouvait pas mesurer les durées n'ayant pas une échelle de temps puisqu'elle est apparue avec Jésus qui en est la référence : l'an 1 de J-C. On comprend d'une part la nécessité d'une chronologie (les visionnages de Jésus étaient aléatoires, c'est pourquoi il n'y a pas de logique, jour après jour, des visionnages relatés dans le Genèse :
https://www.dieu.pub/viewtopic.php?f=97&t=65623), et d'autre part, sans échelle de temps, il était impossible de déterminer la période de vie d'un humain. On sait aujourd'hui qu'il est difficile de prolonger la vie d'un humain au delà d'une centaine d'années. On peut alors se demander si ces erreurs bibliques dans les durées de vie ont été la cause de l'instauration d'une échelle de temps à partir de Jésus.
Bonne journée.