Dieu ne s'appel pas Dieu?
Posté : 25 mars20, 21:57
Pourquoi certaines Bibles utilisent-elles le nom Jéhovah (Crampons 1905), Jahvé (Jérusalème) alors que d’autre mettent l’Éternel (Segon 21), TOB...etc, pour désigner Dieu ?
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Tout simplement parce que ces termes sont des interprétations de אלהים , AElohim, dans la Genèse originale (en hébreu). Ce terne n’étant pas un nom propre, mais un nom commun désignant une fonction. Le Nom en hébreu s’ecrivant יהוה. AElohim est le moyen d’action du Nom, c’est à dire, celui qui est, a été et qui sera (l’Eternel), en caractères latins , I ou J, E, O ou W, E.
Ajouté 3 minutes 35 secondes après :l_leo a écrit : ↑25 mars20, 22:15 Tout simplement parce que ces termes sont des interprétations de אלהים , AElohim, dans la Genèse originale (en hébreu). Ce terne n’étant pas un nom propre, mais un nom commun désignant une fonction. Le Nom en hébreu s’ecrivant יהוה. AElohim est le moyen d’action du Nom (יהוה), c’est à dire, celui qui est, a été et qui sera (l’Eternel). יהוה en caractères latins , I ou J, E, O ou W, E.
Ps.
Le moyen d’action du Nom est la volonté indépendante de tout objet: la volition ( un battement identique à celui des oiseaux).
Ps.
dans Un Historique de Nom Divin, (G.Gertroux) vous trouverez toutes les manières d’écrire Le Nom.
l_leo a écrit : ↑25 mars20, 22:54 Tout simplement parce que ces termes sont des interprétations de אלהים , AElohim, dans la Genèse originale (en hébreu). Ce terne n’étant pas un nom propre, mais un nom commun désignant une fonction. Le Nom en hébreu s’ecrivant יהוה. AElohim est le moyen d’action du Nom, c’est à dire, celui qui est, a été et qui sera (l’Eternel), en caractères latins , I ou J, E, O ou W, E.
Ps.
Le moyen d’action du Nom est la volonté indépendante de tout objet: la volition ( un battement identique à celui des oiseaux).
Ps.
dans Un Historique de Nom Divin, (G.Gertroux) vous trouverez toutes les manières d’écrire Le Nom.
Ps.
La première écriture du Nom remonte à -1325 (environ) avant notre ère.
Ajouté 38 minutes 35 secondes après :
ibis=i au carré, ce qui donne i+i = i*i, soit 2+2 = 2*2, soit 4=4 si on extrapole en chiffre romain soit IV / IV on obtient bien IAbsolum dit: La meilleure référence en la matière est le dieu Thot (dieu de la connaissance) dont une des représentations est un ibis : ibis = i²
i²= i x i = -1 : Wikipedia / Unité imaginaire
Je t'invite plutôt à t'intéresser à la gématrie : Wikipedia / GematriaAlban a écrit : ↑26 mars20, 02:42
En cherchant l'ouvrage de ce Mr Gertoux, j'ai trouvé ceci:
http://areopage.net/blog/2015/04/07/le- ... toux-2015/
C'est pour cela que j'ai réinterprété l'équation, afin d'obtenir un nombre réel, c-a-d 1 et non -1, car selon mon point de vue, Dieu est un être réelAbsolum a écrit : ↑26 mars20, 02:50 i²= i x i = -1 : Wikipedia / Unité imaginaire
Je t'invite plutôt à t'intéresser à la gématrie : Wikipedia / Gematria
L’écriture est tout d’abord destinée l’esprit (la compréhension) et non à la vocalisation. En effet, les signes « alphabétiques » hébraïques ou arabes , graphes plus exactement, sont des représentations d’idées, ex. א Aleph, taureau: puissance, etc. , ce que n’évoque pas la lettre latine correspondante A.Alban a écrit : ↑26 mars20, 02:42 Plus sérieusement;
i_leo; en cherchant l'ouvrage de ce Mr Gertoux, j'ai trouvé ceci:
http://areopage.net/blog/2015/04/07/le- ... toux-2015/
Voila une chose que j'ignorais. C'est donc un peu comme les idéogrammes chinois.l_leo a écrit : ↑26 mars20, 03:32 L’écriture est tout d’abord destinée l’esprit (la compréhension) et non à la vocalisation. En effet, les signes « alphabétiques » hébraïques ou arabes , graphes plus exactement, sont des représentations d’idées, ex. א Aleph, taureau: puissance, etc. , ce que n’évoque pas la lettre latine correspondante A.
En ce qui concerne la Genèse, L. Segond traduit le Nom afin qu'il puisse compris dans son essence: l'Eternel. Or ce qui n'a pas de début ni fin, est saisi de nos jours sous forme d'une ligne droite sans début ni fin. Il y deux millénaires au Proche-Orient, l' Éternité sans début ni fin était placée sur un cycle ressemblant à celui des saisons.Alban a écrit : ↑26 mars20, 03:58 Voila une chose que j'ignorais. C'est donc un peu comme les idéogrammes chinois.
Ce qui m'inquiète en fait, c'est que des traducteurs de la Bible, remplacent (si j'ai bien compris), le nom de Dieu par un titre, quelle confiance puis-je avoir dans une telle traduction? Est ce que d'autres choses ont été modifiées?
Cela doit avoir un impacte sur les conclusions auxquels on aboutira, ce qui expliquerait les enseignements contradictoires des divers dénomination de la Chrétienté.
Je comprend mieux maintenant les difficultés qu'il y a à traduire la bible, notamment les textes hébreu à cause des différences formulation de la pensée, de la culture, etc.l_leo a écrit : ↑26 mars20, 05:39 En ce qui concerne la Genèse, L. Segond traduit le Nom afin qu'il puisse compris dans son essence: l'Eternel. Or ce qui n'a pas de début ni fin, est saisi de nos jours sous forme d'une ligne droite sans début ni fin. Il y deux millénaires au Proche-Orient, l' Éternité sans début ni fin était placée sur un cycle ressemblant à celui des saisons.
Cela me fait pensé à ce que j'ai lu quelque part, comme quoi la signification du nom de Dieu signifierait: " Je me révélerais être... ou Je deviendrais...".l_leo a écrit : ↑26 mars20, 05:39 Dans la Genèse en hébreu, les temps grammaticaux passé, présent et futur ne présentent pas l'aspect tranché actuel. Les "choses" dans la durée, celle des temps grammaticaux, peuvent être inaccomplies ou accomplies, c'est-à-dire en potentialité d'être ou tangibles, palpables.
Comment les traducteurs arrivent-ils à un consensus?l_leo a écrit : ↑26 mars20, 05:39La potentialité d'être voulant dire: en esprit, intellectuellement, en concept. Dans l'écriture , le passage de cet état au second s'exécute à travers les verbes, considérer, assigner, faire, précédés du graphe O ou W considéré comme étant le lien séparant ou réunissant ce qui n'est pas et ce qui est. Ceci pour expliquer la difficulté pour traduire le texte Genèse, ou encore passer outre afin de lui faire dire autre chose.
Concernant l'usure des mots, même dans notre propre langue le sens des mots change avec le temps, souvent en très peu de temps, alors sur plusieurs siècles...l_leo a écrit : ↑26 mars20, 05:39A cela s'ajoute, une difficulté supplémentaire, l'usure des mots à travers les siècles. En effet, les idées rassemblant deux graphes successifs pour former une racine ont évoluées. Et pour terminer, le texte fondateur de la Bible, a été écrit suivant trois "modes" différents: au sens propre, figuré et graphique.
C'est une sottise. C'est un système acrophonique où ce qui compte est le premier son de Aleph, Beth, etc.l_leo a écrit : ↑26 mars20, 03:32 L’écriture est tout d’abord destinée l’esprit (la compréhension) et non à la vocalisation. En effet, les signes « alphabétiques » hébraïques ou arabes , graphes plus exactement, sont des représentations d’idées, ex. א Aleph, taureau: puissance, etc. , ce que n’évoque pas la lettre latine correspondante A.
L’écriture comme la gravure « ancêtre » de l’écriture est destinée à la compréhension. Un idéogramme tel q’un panneau de circulation à la même destinationSaint Glinglin a écrit : ↑26 mars20, 06:56 C'est une sottise. C'est un système acrophonique où ce qui compte est le premier son de Aleph, Beth, etc.
Donc le A représente une tête de taureau, le B le plan d'une maison, le G un cou de chameau, etc.
https://www.cnrtl.fr/definition/acrophonie