Pensées pour moi-même.
Posté : 19 oct.21, 23:26
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1) La vie est bien faite, certains l'apprendront à leurs dépens.
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1) La vie est bien faite, certains l'apprendront à leurs dépens.
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Tout-à-fait.
Bonjour ronronladouceur,ronronladouceur a écrit : 21 oct.21, 09:37 Je n'ose pas trop commenter l'une ou l'autre de tes assertions vu que chacune d'elle mérite au moins un certain temps de silence, un arrêt dans le temps permettant un certain recul, le temps au moins d'y réfléchir...
Je me disais aussi que chacune pouvait avoir une certaine histoire et de ce fait, ne souffrirait pas un regard trop rapide... En ce sens, la première idée qui m'est venue ne rendrait tout probablement pas justice à la profondeur de réflexion derrière...
Avais-tu une intention particulière, des attentes par rapport à ce fil?
J'ai fait une première lecture rapide et certaines de tes assertions m'ont plus particulièrement interpellé... Comme je te l'exprimais dans mon message précédent, j'ai décidé de prendre du recul peut-être par respect de l'histoire qui pouvait entourer l'une ou l'autre... Comme toi, j'ai quelques pensées qui sont le fruit de plusieurs années de réflexion et qui relèvent d'un aboutissement, à l'image d'un fruit mûr tombant du ciel en son temps...J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 10:17 Bonjour ronronladouceur,
Ces assertions ont en effet une histoire, car elle sont tirées d'une compréhension résultante d'un long cheminement intellectuel relativement à une quête de nature quant à elle spirituelle. Il ne s'agit pas ici de fournir une argumentation ou d'en faire un système.
Comme le titre que j'ai choisi l'indique : il s'agit de pensées que je me retourne à moi-même pour mon usage personnel, mais puisque c'est aussi un partage, en effet je les exprime ici, je m'invite à prendre note d'éventuelles remarques, à les considérer et à y répondre, comme aux questions que ces pensées soulèveraient chez qui s'y attarderaient et m'en ferait part.
Quelle est cette première idée qui t'es venue ?
Ça m'intéresserait de la connaître.
J'm'interroge a écrit : 19 oct.21, 23:26 .
1) La vie est bien faite, certains l'apprendront à leurs dépens.
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à leurs dépens : par une expérience fâcheuse ou coûteuse (trouvé sur internet)...
Oui. L'on ne fait pas ce qu'on veut sans conséquence.ronronladouceur a écrit : 21 oct.21, 10:38 Et donc : La vie est ainsi faite [bien faite] que si tu ne la respectes pas, tu pourrais en subir les conséquences.
Je t'y convie.ronronladouceur a écrit : 21 oct.21, 10:38 - Je pourrai revenir sur d'autres assertions à un autre moment...
Pourquoi imprudent?J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 11:36 9) Ce serait bien imprudent de croire que la mort est pour tous une libération
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 11:36 9) Ce serait bien imprudent de croire que la mort est pour tous une libération
Ce serait bien imprudent dans le sens que cette croyance conduit à une attitude insouciante et ainsi à ne pas évaluer comme il se doit les conséquences de ses actes et positionnements, lesquels ne sont pas sans quelques conséquences pour la suite.
Oui. Pour ça il faut en avoir été informé ou l'avoir éprouvé soi-même.ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 03:04 À première vue, je me demande... Il me semble qu'il faudrait savoir ce qu'il en est de la mort pour le comprendre ainsi...
Rapidement alors :ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 03:04 Je peux en effet poser l'hypothèse que la mort n'est pas véritablement la fin mais une étape, celle qui consiste à simplement quitter une enveloppe pour se découvrir un autre corps... Se découvrant alors véritablement soi-même, comment cela ne pourrait-il pas être une libération?
Et donc, j'aurais besoin que tu m'expliques...
Il faut alors que cette croyance soit le fait de la personne qui réfléchit en ce sens. Et il m'apparaît que ce n'est pas le cas de tout le monde. J'avais lu l'assertion en comprenant le fait général (contestable) alors que ton explication fait état de cas particuliers.J'm'interroge a écrit : 22 oct.21, 08:26 Ce serait bien imprudent dans le sens que cette croyance conduit à une attitude insouciante et ainsi à ne pas évaluer comme il se doit les conséquences de ses actes et positionnements, lesquels ne sont pas sans quelques conséquences pour la suite.
D'accord. Il s'agit peut-être d'une représentation qui, pour soi, s'efface au profit d'une autre plus subtile... Je suis pas trop certain, là...À proprement parler l'esprit ne "quitte" pas le corps, déjà parce qu'il a jamais été "incorporé" comme nous pouvons le concevoir où plutôt l'imaginer faussement.
Un esprit n'est jamais "incorporé", ni donc "décorporé". Il n'"entre" pas un moment dans un corps, ni n'en "sort" à un autre.
Il ne le "quitte" donc pas à la mort physique pour se "rendre" en un autre lieu ailleurs, l'esprit ne "quitte" jamais sa matrice spirituelle, il reste un élément fonctionnel de La Source, qu'il soit en association corporelle biologique et physique ou non.
Pour ne pas se perdre de vue trop rapidement et ainsi assurer une transition en douceur. Peut-être...S'il lui est conférée une autre existence corporelle hors association corporelle biologique, ce serait alors dans le cadre d'une réalité virtuelle partagée, simulée, générée par La Source elle-même, inspirée des vécus en associations corporelles biologiques.
Ce serait, dis-je : des apparences de corporéités servant essentiellement de représentations de soi, mais pas seulement tels que nous nous percevons nous-mêmes, mais aussi peut-être tels que la Source nous voit, si l'on peut dire ainsi.
J'en comprends 'en esprit', mais selon certains repères représentationnels...Une libération ? Une libération de certaines limites corporelles biologiques certainement, mais une libération des conséquences de ses choix et positionnements en association corporelle biologique, peut-être pas... Il est possible que certaines conduites, actes, choix et positionnements lors de notre vie présente nous suivent, voire nous conduise à expérimenter un cadre virtuel adapté en conséquence...
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J'm'interroge a écrit : 22 oct.21, 08:26 Ce serait bien imprudent dans le sens que cette croyance conduit à une attitude insouciante et ainsi à ne pas évaluer comme il se doit les conséquences de ses actes et positionnements, lesquels ne sont pas sans quelques conséquences pour la suite.
Les cas particuliers peuvent être nombreux voir très fréquents et même majoritaire ou le contraire, selon l'adhésion générale aux principes universels.ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 11:01 Il faut alors que cette croyance soit le fait de la personne qui réfléchit en ce sens. Et il m'apparaît que ce n'est pas le cas de tout le monde. J'avais lu l'assertion en comprenant le fait général (contestable) alors que ton explication fait état de cas particuliers.
À proprement parler l'esprit ne "quitte" pas le corps, déjà parce qu'il a jamais été "incorporé" comme nous pouvons le concevoir où plutôt l'imaginer faussement.
Un esprit n'est jamais "incorporé", ni donc "décorporé". Il n'"entre" pas un moment dans un corps, ni n'en "sort" à un autre.
Il ne le "quitte" donc pas à la mort physique pour se "rendre" en un autre lieu ailleurs, l'esprit ne "quitte" jamais sa matrice spirituelle, il reste un élément fonctionnel de La Source, qu'il soit en association corporelle biologique et physique ou non.
L'on se représentent les choses comme l'on peut, selon sa compréhension et son imaginaire.ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 11:01 D'accord. Il s'agit peut-être d'une représentation qui, pour soi, s'efface au profit d'une autre plus subtile... Je suis pas trop certain, là...
S'il lui est conférée une autre existence corporelle hors association corporelle biologique, ce serait alors dans le cadre d'une réalité virtuelle partagée, simulée, générée par La Source elle-même, inspirée des vécus en associations corporelles biologiques.
Ce serait, dis-je : des apparences de corporéités servant essentiellement de représentations de soi, mais pas seulement tels que nous nous percevons nous-mêmes, mais aussi peut-être tels que la Source nous voit, si l'on peut dire ainsi.
Peut-être et peut-être même sûrement, si se représenter ou être représenté ainsi par une corporéité, n'est pas une finalité ou s'il y a mieux.ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 11:01 Pour ne pas se perdre de vue trop rapidement et ainsi assurer une transition en douceur. Peut-être...
Une libération ? Une libération de certaines limites corporelles biologiques certainement, mais une libération des conséquences de ses choix et positionnements en association corporelle biologique, peut-être pas... Il est possible que certaines conduites, actes, choix et positionnements lors de notre vie présente nous suivent, voire nous conduise à expérimenter un cadre virtuel adapté en conséquence...
C'est normal.ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 11:01 J'en comprends 'en esprit', mais selon certains repères représentationnels...
Dans la mesure où ce bien est relatif à soi...J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:55 10) Que ce soit en connaissance ou non, nous nous positionnons individuellement et personnellement par rapport au Bien.
J'aime bien cette façon un peu paradoxale de présenter les choses et qui surprend...11) Il est possible de changer de cap, sauf que les pervers ne le veulent pas. C'est ainsi que le Bien triomphe.
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:55 10) Que ce soit en connaissance ou non, nous nous positionnons individuellement et personnellement par rapport au Bien.
Pourrais-tu préciser ta pensée STP ?
J'm'interroge a écrit :11) Il est possible de changer de cap, sauf que les pervers ne le veulent pas. C'est ainsi que le Bien triomphe.
Justement.. Il est si grand et certains si petits, que ces derniers ne voient de Lui que leur petit atome individualiste...ronronladouceur a écrit : 23 oct.21, 11:06 J'aime bien cette façon un peu paradoxale de présenter les choses et qui surprend...
Me rappelle cette parole du dieu de Walsch : « Dieu est si grand que personne ne peut le manquer...»
Dans la mesure où ce bien est relatif à soi...J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:55 10) Que ce soit en connaissance ou non, nous nous positionnons individuellement et personnellement par rapport au Bien.
Un bien pour une personne pourrait bien être un mal pour une autre. Par exemple, je ne sais pas si un voleur volant un autre voleur voit ça comme un mal... (Je fais le lien avec ton assertion no 52 après avoir écrit mon message)...