vic a écrit : ↑25 oct.21, 01:32
Non , il y a la dernière période qui efface totalement la précédente , puisqu'elle abroge les versets pacifiques .
C'est une religion extrême .
Elle n’abroge pas puisque Jésus reviendra et qu’il est Prince de la Paix
Il n’y a pas abrogation du Coran sur lui même mais contexte
Les versets sont reliés à un contexte
L’extrême tu le trouves dans l’ascèse trop fort de certains moines par exemple mais c’est leur droit
L’Islam demande de vivre dans le monde
Une fois de plus tous les versets se contextualisent
Pas d’abrogation du Coran sur lui même
Mais du Coran sur certaines parties des écritures précédentes
Ajouté 58 secondes après :
Les oulémas affirment certes majoritairement que le Coran (2;106) justifie l'abrogation des versets antérieurs par des versets plus récents sur un même sujet. Cependant, Fakhr ad-Dîn ar-Râzî et des oulémas de l'époque moderne affirment que c'est une erreur et que dans le contexte de la révélation c'était le Coran qui abrogeait les révélations antérieures (Torah et Évangile). Ils s'appuient pour cela sur le contexte du verset qui est celui d'un réquisitoire contre les Israélites (versets 40 à 123).
Michel Cuypers récuse les deux interprétations. Dans son analyse des versets 87 à 123 de la sourate 2 dont on peut rappeler qu'il y est fait référence aux juifs principalement, il met en évidence d'une part que le Coran répète pas moins de quatre fois qu'il "confirme" les Écritures antérieures, mais surtout qu'il s'agit en fait d'abolir certains des versets de la Bible et non d'abolir purement et simplement toutes les révélations antérieures ; ici, la question de l'élection exclusive des juifs comme peuple élu "favorisé"(Coran 2,104) est abrogé par le Coran 2,106. Le Coran modifie la lettre de la Torah, pour en exclure l'idée de peuple élu exclusif. En faisant cela, il "améliore"(Coran 2,106) la Torah en la rendant universelle.
L'analyse de Geneviève Gobillot rejoint celle de Cuypers. Elle précise entre autres que « le seul passage du Coran qui donne une véritable définition de l'abrogation est, de l'avis unanime des commentateurs et des spécialistes, le verset 2,106. » Et en conclusion de son analyse, elle dit « pour finir c'est donc incontestablement le rationaliste Abu Muslim Ibn Bahr qui a le mieux saisi la question de l'abrogation des Écritures antérieures par le Coran puisque, selon lui, ce n'est pas la totalité de la Bible qui est ainsi abrogée, mais quelques passages bien précis. »
Pour résumer il y a aussi des musulmans qui pensent que l’abrogation des versets ce n’est pas l’abrogation des versets mecquois par les medinois dans le Coran mais que le Coran abroge quelques versets des écritures anciennes soit de la Bible.
Les versets « guerriers » sont liés à un contexte.
Et le contexte que nous allons vivre dans le futur est le retour de Jésus que la paix soit sur lui, parole de Dieu dans le Coran, pur et sans péché, esprit crée par le souffle divin.
Il reviendra précédé du Mahdi paix sur lui.
Son retour pour une ère de paix et de miséricorde.
Salam