Lueur des ténèbres.
Posté : 20 nov.21, 09:39
Quand la lumière s'éteint, les ténèbres m'entourent.
D'un sursaut je me défend et palpite irrégulier sans savoir comment et pourquoi.
Le vent souffle sur ma paume et délivre le spectre qui m'habite.
Nul doute je suis envahis.
Son coeur est introuvable et je pleure sa perte.
Des nuées se libère et j'entrevois la lueur qui existait.
Un rayon de soleil passe près de moi, et moi je fige encore troublé.
Qu'à cela ne tienne, plus de dents à défendre, je me noie à l'ouverture de mon âme.
Les étoiles étonnées me font un clin d'oeil, et moi, je frisonne à l'aube de te reperdre.
Déjà le temps s'est essoufflé que mes mains s'accroche à te retrouver.
Cheveux purifiés, j'entend encore ta voix au fond de l'abysse murmurer l'écho de tes battements.
Une étincelle viendra où nous serons encore vue ensemble dans un temps où la roue s'arrêtera.
Déferle en moi et en toi le chemin si précieux et pourtant, égarés nous sommes restés éloignés.
Une odeur se projette et je pleure ta perte... Ma perte...
Ô toi qui qui illumine tant de flamme, ma bougie tire sa révérence en s'écriant élève moi !
J'ai franchi l'infranchissable et s'est à moi de laver les blessures infligées.
L'étendard serpente et je ne m'y vois plus. Mon nom y est encore pourtant !
Pure est mon sommeil, dur je me réveille, le tournoiement est sans cesse défigurant la clé qui m'élèvera.
Je demande pardon de mes failles. Vertueux je serai et resterai; M'accrochant à vos voeux !
Que la volonté éternelle soit ainsi faite. Genou près de l'herbe et le regard sur la rose, transperce moi.
Les ténèbres attendront, l'abeille vole et les feuilles virevoltent ensembles.
L'éclaire surgira et remettra là où il devra être.
Reviens moi, j'ai froid sans toi; Sans toi je deviens ténèbres.
D'un sursaut je me défend et palpite irrégulier sans savoir comment et pourquoi.
Le vent souffle sur ma paume et délivre le spectre qui m'habite.
Nul doute je suis envahis.
Son coeur est introuvable et je pleure sa perte.
Des nuées se libère et j'entrevois la lueur qui existait.
Un rayon de soleil passe près de moi, et moi je fige encore troublé.
Qu'à cela ne tienne, plus de dents à défendre, je me noie à l'ouverture de mon âme.
Les étoiles étonnées me font un clin d'oeil, et moi, je frisonne à l'aube de te reperdre.
Déjà le temps s'est essoufflé que mes mains s'accroche à te retrouver.
Cheveux purifiés, j'entend encore ta voix au fond de l'abysse murmurer l'écho de tes battements.
Une étincelle viendra où nous serons encore vue ensemble dans un temps où la roue s'arrêtera.
Déferle en moi et en toi le chemin si précieux et pourtant, égarés nous sommes restés éloignés.
Une odeur se projette et je pleure ta perte... Ma perte...
Ô toi qui qui illumine tant de flamme, ma bougie tire sa révérence en s'écriant élève moi !
J'ai franchi l'infranchissable et s'est à moi de laver les blessures infligées.
L'étendard serpente et je ne m'y vois plus. Mon nom y est encore pourtant !
Pure est mon sommeil, dur je me réveille, le tournoiement est sans cesse défigurant la clé qui m'élèvera.
Je demande pardon de mes failles. Vertueux je serai et resterai; M'accrochant à vos voeux !
Que la volonté éternelle soit ainsi faite. Genou près de l'herbe et le regard sur la rose, transperce moi.
Les ténèbres attendront, l'abeille vole et les feuilles virevoltent ensembles.
L'éclaire surgira et remettra là où il devra être.
Reviens moi, j'ai froid sans toi; Sans toi je deviens ténèbres.