Lueur d'étincelle
Posté : 07 mai22, 08:38
Un voile qui désespère sa venu;
Une roue qui traverse le temps de se dire qui on est;
Avant même l'élan, la pensée qui s'éprend;
Une goute qui s'étend vers l'Infini présent;
Quand le frisson tente de se dompter;
Une page noir qui deviendra blanche;
Le premier pouls s'opère et transperce la nuit.
Une rose se pense à se déployer univers;
Un croisement d'un rien dans un néant;
Carrefour du temps qui sans le savoir ouvrait son aile;
Avant même où l'épreuve lançait sa première ligne;
Quand fur ouvrir la deuxième note;
L'étonnement se fit écho permanent;
Le premier tour de l'UN fût présent.
Magnifique enfant, autant de joies s'envolant;
La pensée qui ne savait se mis à rêver;
Comptant les notes en admirant le vide;
Un vide ne sachant le plein qui devenait naissance;
Une longue tige se fût rêve sans même une page;
Étincelante même sans lueur tiré de sa noirceur;
Le premier pas du tour le lance de l'éveil.
Une Charade savant d'avance son tourment;
S'éprenant du second souffle tu temps;
Ouvrant la marche impossible du vide d'une main;
Rêvant de courir là où l'impasse s'écriant;
Du même point de naissance, l'étincelle fusionnant;
Sans même la seconde qui se précédant;
Le premier écho se fût présent.
Une lueur se tissant sans même le temps;
Découverte incessante par fragment;
Ressentir est dès lors maintenant;
Hier n'étant que froideur sans enfant;
Maintenant que la note s'ouvre au firmament;
Une suite qui se déchaine;
Le premier souffle vers l'avant pouvant.
Ô solitude savante empoisonnante;
Le pied s'avançant sans horizon;
Ne touchant ni même le commencement;
L'effroi naissant sans même se reconnaître;
Un talon se perdant dans l'harmonie sans siège;
Un retour s'éprend à l'enfance;
Le premier chant du signe s'évadant.
Un deuxième chant fût retentissant;
Où les notes furent dansantes;
Le tournoiement s'emballant;
Où l'orteil fût pour demain;
L'encensement d'une famille virevoltant;
Là où néant devenant poussière;
Le premier spectacle fût donné.
Maintenant bien que fleurissant;
Une pupille émerveillé qui vit son premier reflet;
Une bouteille lancée d'espoir d'un touché;
Se couche l'Ombrage d'une pensée.
D'où un réveil spontanément immaculé;
La cape d'un néant qui se détache;
Le premier apparemment étant.
Là où l'image même se colorant;
Où les sens primaires se développant;
Un germe se fit entreprenant;
L'échange se compris tout en dansant;
Une écharpe se tissant sans même le temps;
Se définissant une empreinte s'agitant;
Le premier chef d'oeuvre fût concluant.
Une lumière se dessinant;
Un partage qui hissait l'avenant;
Où régnant doute et étonnement;
Dans une spirale fût reproduit l'enfant;
Là où les cendres furent transformés;
Le temps de dire maman, fût créé l'adolescence;
Le premier prenant le temps, là où l'ado pris son envol.
Maintenant qu'une étoile se fit dansante;
L'expansion même qui dressant le pouls;
L'expérience se tramant être sans conséquence;
Une création se définissant sans encombrement;
Soudainement fût empoisonnement;
Une douceur qui s'éprend dans un déchirement;
Le premier champs fût foisonné.
Maintenant que fût l'Étreinte;
Une parole résonnante dans le frisson;
Su mû dans l'horizon féérique;
Là, sans même un nom, apparu une mésange;
Comportant sciemment son don;
L'épreuve achevant la danse;
Le premier retournât enfant, là où il attend.
Dans un pas du temps du magistral;
Se révélant l'ambiance du mécréant et du chant;
Se vu l'harmonie de l'orchestre sans enchantement;
Se rappelant les premières notes;
L'épanchement se fût raisonnant;
Miroitant l'envol de second acte;
Le premier se réjouissant du retour de l'enfant.
Une roue qui traverse le temps de se dire qui on est;
Avant même l'élan, la pensée qui s'éprend;
Une goute qui s'étend vers l'Infini présent;
Quand le frisson tente de se dompter;
Une page noir qui deviendra blanche;
Le premier pouls s'opère et transperce la nuit.
Une rose se pense à se déployer univers;
Un croisement d'un rien dans un néant;
Carrefour du temps qui sans le savoir ouvrait son aile;
Avant même où l'épreuve lançait sa première ligne;
Quand fur ouvrir la deuxième note;
L'étonnement se fit écho permanent;
Le premier tour de l'UN fût présent.
Magnifique enfant, autant de joies s'envolant;
La pensée qui ne savait se mis à rêver;
Comptant les notes en admirant le vide;
Un vide ne sachant le plein qui devenait naissance;
Une longue tige se fût rêve sans même une page;
Étincelante même sans lueur tiré de sa noirceur;
Le premier pas du tour le lance de l'éveil.
Une Charade savant d'avance son tourment;
S'éprenant du second souffle tu temps;
Ouvrant la marche impossible du vide d'une main;
Rêvant de courir là où l'impasse s'écriant;
Du même point de naissance, l'étincelle fusionnant;
Sans même la seconde qui se précédant;
Le premier écho se fût présent.
Une lueur se tissant sans même le temps;
Découverte incessante par fragment;
Ressentir est dès lors maintenant;
Hier n'étant que froideur sans enfant;
Maintenant que la note s'ouvre au firmament;
Une suite qui se déchaine;
Le premier souffle vers l'avant pouvant.
Ô solitude savante empoisonnante;
Le pied s'avançant sans horizon;
Ne touchant ni même le commencement;
L'effroi naissant sans même se reconnaître;
Un talon se perdant dans l'harmonie sans siège;
Un retour s'éprend à l'enfance;
Le premier chant du signe s'évadant.
Un deuxième chant fût retentissant;
Où les notes furent dansantes;
Le tournoiement s'emballant;
Où l'orteil fût pour demain;
L'encensement d'une famille virevoltant;
Là où néant devenant poussière;
Le premier spectacle fût donné.
Maintenant bien que fleurissant;
Une pupille émerveillé qui vit son premier reflet;
Une bouteille lancée d'espoir d'un touché;
Se couche l'Ombrage d'une pensée.
D'où un réveil spontanément immaculé;
La cape d'un néant qui se détache;
Le premier apparemment étant.
Là où l'image même se colorant;
Où les sens primaires se développant;
Un germe se fit entreprenant;
L'échange se compris tout en dansant;
Une écharpe se tissant sans même le temps;
Se définissant une empreinte s'agitant;
Le premier chef d'oeuvre fût concluant.
Une lumière se dessinant;
Un partage qui hissait l'avenant;
Où régnant doute et étonnement;
Dans une spirale fût reproduit l'enfant;
Là où les cendres furent transformés;
Le temps de dire maman, fût créé l'adolescence;
Le premier prenant le temps, là où l'ado pris son envol.
Maintenant qu'une étoile se fit dansante;
L'expansion même qui dressant le pouls;
L'expérience se tramant être sans conséquence;
Une création se définissant sans encombrement;
Soudainement fût empoisonnement;
Une douceur qui s'éprend dans un déchirement;
Le premier champs fût foisonné.
Maintenant que fût l'Étreinte;
Une parole résonnante dans le frisson;
Su mû dans l'horizon féérique;
Là, sans même un nom, apparu une mésange;
Comportant sciemment son don;
L'épreuve achevant la danse;
Le premier retournât enfant, là où il attend.
Dans un pas du temps du magistral;
Se révélant l'ambiance du mécréant et du chant;
Se vu l'harmonie de l'orchestre sans enchantement;
Se rappelant les premières notes;
L'épanchement se fût raisonnant;
Miroitant l'envol de second acte;
Le premier se réjouissant du retour de l'enfant.