Réflexion sur la peine de mort
Posté : 09 nov.25, 10:03
Bonjour,
Je profite de l'occasion pour éclairer les gens sur ce thème sensible au sujet duquel nous pouvons être "pour ou contre" pour un tas de raisons.
Contre :
- on ne doit pas ôter la vie.
- la vengeance n'est pas la justice.
- on prend le risque d'exécuter des innocents.
- on part du principe que le pire criminel peut être récupérable à terme.
Pour :
- On ne peut pas prendre le risque de relâcher prématurément un meurtrier du fait du caractère inhumain d'une condamnation à perpétuité.
- La peine de mort est la marque de la sanction ultime rendant solennelles et crédibles les autres peines.
- La peine de mort ne peut être dissuasive que si elle est exécutée dans un délais rapide et publiée dans le plus grand respect du condamné.
- Nous devons expliquer qu'elle participe à la prise conscience de la gravité du délit, aidant d'autant le condamné à avancer après cette vie dans l'autre monde.
- La peine de mort empêche le coupable de revenir tourmenter des êtres durablement traumatisés après son passage en prison.
- La peine de mort devait être systématiquement appliquées pour les crimes de vie : meurtres ou tentative de meurtre, viols, trafiquant de drogue, diffuseurs de pornographie, et pour tous désordres échappant aux possibilités d’un maintien de l’ordre ordinaire ; ou amenant le risque de faire disparaître une nation dans l’anarchie et la guerre civile, avec la désagrégation d’un gouvernement républicain, par l’exercice de la violence du fait d’une minorité politique.
D’un point de vue évangélique, la peine de mort est inscrite dans le Nouveau Testament à travers les textes référés suivants : Actes 5 :1-10, 1 Corinthiens 5 :5, les fléaux du livre de l’Apocalypse.
En effet, certains péchés se trouvent hors de portée de l'expiation de Jésus-Christ, simplement qu'en les faisant nous détruisons virtuellement notre sauveur, et une fois détruit, il ne peut donc plus rien expier et donner l'espérance d'un total repentir à l'auteur du crime. La miséricorde ne peut donc plus passer pour adoucir la justice. De ce fait, le pécheur doit mourir : le péché devenant impardonnable. Alors, la loi seule du talion doit s'appliquer pour satisfaire les exigences de la justice.
Concernant le meurtre, du fait de la gravité de ce péché, le pécheur se coupe de son Sauveur. Son péché étant impardonnable, son repentir en sera d’autant affecté et sa sensibilité émotionnelle à jamais affectée - car l’esprit n’intercèdera pas en lui pour l'aider à se repentir pleinement du fait du caractère impardonnable de la transgression. D'où la dangerosité latente des récidivistes par une conscience diminuée.
Ces gens ne se lèveront pas à la première résurrection et n'iront pas là où le Christ se trouve dans l'autre monde. Ils devront souffrir tout comme le Christ a souffert dans le séjour des morts où ils pourront expier le mieux qu'ils pourront pour être finalement sauvés. Ensuite, à la résurrection, ils recevront selon leurs œuvres dans les limites ou restrictions appropriées.
Mais, il faut bien se dire que nous sommes toujours repris par la mort au meilleur moment de notre existence, en ayant atteint le meilleur niveau éternel et intangible de justice personnelle que l’exercice de notre libre arbitre aura atteint. Le Seigneur faisant au mieux avec ce que nous sommes dans le bien comme dans le mal.
Je profite de l'occasion pour éclairer les gens sur ce thème sensible au sujet duquel nous pouvons être "pour ou contre" pour un tas de raisons.
Contre :
- on ne doit pas ôter la vie.
- la vengeance n'est pas la justice.
- on prend le risque d'exécuter des innocents.
- on part du principe que le pire criminel peut être récupérable à terme.
Pour :
- On ne peut pas prendre le risque de relâcher prématurément un meurtrier du fait du caractère inhumain d'une condamnation à perpétuité.
- La peine de mort est la marque de la sanction ultime rendant solennelles et crédibles les autres peines.
- La peine de mort ne peut être dissuasive que si elle est exécutée dans un délais rapide et publiée dans le plus grand respect du condamné.
- Nous devons expliquer qu'elle participe à la prise conscience de la gravité du délit, aidant d'autant le condamné à avancer après cette vie dans l'autre monde.
- La peine de mort empêche le coupable de revenir tourmenter des êtres durablement traumatisés après son passage en prison.
- La peine de mort devait être systématiquement appliquées pour les crimes de vie : meurtres ou tentative de meurtre, viols, trafiquant de drogue, diffuseurs de pornographie, et pour tous désordres échappant aux possibilités d’un maintien de l’ordre ordinaire ; ou amenant le risque de faire disparaître une nation dans l’anarchie et la guerre civile, avec la désagrégation d’un gouvernement républicain, par l’exercice de la violence du fait d’une minorité politique.
D’un point de vue évangélique, la peine de mort est inscrite dans le Nouveau Testament à travers les textes référés suivants : Actes 5 :1-10, 1 Corinthiens 5 :5, les fléaux du livre de l’Apocalypse.
En effet, certains péchés se trouvent hors de portée de l'expiation de Jésus-Christ, simplement qu'en les faisant nous détruisons virtuellement notre sauveur, et une fois détruit, il ne peut donc plus rien expier et donner l'espérance d'un total repentir à l'auteur du crime. La miséricorde ne peut donc plus passer pour adoucir la justice. De ce fait, le pécheur doit mourir : le péché devenant impardonnable. Alors, la loi seule du talion doit s'appliquer pour satisfaire les exigences de la justice.
Concernant le meurtre, du fait de la gravité de ce péché, le pécheur se coupe de son Sauveur. Son péché étant impardonnable, son repentir en sera d’autant affecté et sa sensibilité émotionnelle à jamais affectée - car l’esprit n’intercèdera pas en lui pour l'aider à se repentir pleinement du fait du caractère impardonnable de la transgression. D'où la dangerosité latente des récidivistes par une conscience diminuée.
Ces gens ne se lèveront pas à la première résurrection et n'iront pas là où le Christ se trouve dans l'autre monde. Ils devront souffrir tout comme le Christ a souffert dans le séjour des morts où ils pourront expier le mieux qu'ils pourront pour être finalement sauvés. Ensuite, à la résurrection, ils recevront selon leurs œuvres dans les limites ou restrictions appropriées.
Mais, il faut bien se dire que nous sommes toujours repris par la mort au meilleur moment de notre existence, en ayant atteint le meilleur niveau éternel et intangible de justice personnelle que l’exercice de notre libre arbitre aura atteint. Le Seigneur faisant au mieux avec ce que nous sommes dans le bien comme dans le mal.