La Vie : La Vie.
Posté : 13 déc.25, 00:12
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Définition :
« La Vie c’est ce qui se vit, c’est nous qui le vivons et c’est ce qui fait nos vies et notre être avec notre participation, et c’est tout ce qui nous entoure, dont on a conscience ou non. Elle s'appréhende intellectuellement comme l’ensemble des structures de possibles mutuellement compatibles, et donc des processus, qui nous permettent et nous constituent comme sujets conscients participants, avec nos vécus. Elle n’est réductible ni à l’expérience subjective, ni aux seuls processus biologiques. »
Implicitement :
- La Vie n’est pas une chose, mais elle s’interprète comme processus au sein de structures de possibles compatibles.
- Elle se définit par ce qui est vécu autant que par ce qui rend le vécu possible.
- L’existence implique une participation active, pas une simple présence passive.
- La conscience fait partie de la Vie, mais ne l’épuise pas.
- La Vie dépasse l’individu et inclut ce qui l’entoure, perçu ou non.
- Le biologique est nécessaire, mais insuffisant pour définir la Vie.
- La Vie est un réseau de possibles compatibles, pas une somme d’éléments isolés.
- Le sujet émerge de ces structures de possibles, il n’en est pas extérieur.
- Le vécu est réel sans être le fondement unique de la Vie.
- La Vie est à la fois condition de l’expérience et ce qui s’y manifeste.
- Exister, c’est être situé dans un ensemble de possibles compatibles, qu’ils soient fixes ou évolutifs.
- La Vie est relationnelle avant d’être objectivable.
Pertinence du concept de Vie :
- Intégration biologique et consciente : le concept dépasse la simple biologie en incluant le vécu et la conscience, offrant une vision plus complète de la Vie.
- Neutralité ontologique : il évite de postuler un flux ou un devenir réel, laissant ouverte la question de la stabilité ou du changement.
- Structure et possibilité : en se focalisant sur les structures de possibles compatibles, il fournit un cadre clair pour comprendre comment les individus existent et interagissent.
- Participation active : souligne le rôle du sujet dans l’existence, donnant une dimension éthique et phénoménologique à la Vie.
- Relationnel : insiste sur l’inclusion de l’environnement, perçu ou non, ce qui relie l’individu à un système plus vaste.
- Flexibilité interprétative : le processus étant interprétatif, il permet d’intégrer différentes perspectives (scientifique, philosophique, spirituelle) sans contradiction.
- Sobriété conceptuelle : évite les excès métaphysiques ou dogmatiques, se tenant à ce qui peut être défini par structures et vécus.
- Compatibilité avec l’expérience humaine : rend compte du vécu concret sans le réduire à la biologie ou à une abstraction pure.
- Base pour réflexion éthique et existentielle : en identifiant la participation et la relation comme centrales, il offre un socle pour penser responsabilité, liberté et sens.
- Transversalité : applicable à différents niveaux : individu, collectivité, écosystème, ce qui permet une lecture unifiée de la Vie dans ses multiples dimensions, sans exclure le sujet participant.
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Définition :
« La Vie c’est ce qui se vit, c’est nous qui le vivons et c’est ce qui fait nos vies et notre être avec notre participation, et c’est tout ce qui nous entoure, dont on a conscience ou non. Elle s'appréhende intellectuellement comme l’ensemble des structures de possibles mutuellement compatibles, et donc des processus, qui nous permettent et nous constituent comme sujets conscients participants, avec nos vécus. Elle n’est réductible ni à l’expérience subjective, ni aux seuls processus biologiques. »
Implicitement :
- La Vie n’est pas une chose, mais elle s’interprète comme processus au sein de structures de possibles compatibles.
- Elle se définit par ce qui est vécu autant que par ce qui rend le vécu possible.
- L’existence implique une participation active, pas une simple présence passive.
- La conscience fait partie de la Vie, mais ne l’épuise pas.
- La Vie dépasse l’individu et inclut ce qui l’entoure, perçu ou non.
- Le biologique est nécessaire, mais insuffisant pour définir la Vie.
- La Vie est un réseau de possibles compatibles, pas une somme d’éléments isolés.
- Le sujet émerge de ces structures de possibles, il n’en est pas extérieur.
- Le vécu est réel sans être le fondement unique de la Vie.
- La Vie est à la fois condition de l’expérience et ce qui s’y manifeste.
- Exister, c’est être situé dans un ensemble de possibles compatibles, qu’ils soient fixes ou évolutifs.
- La Vie est relationnelle avant d’être objectivable.
Pertinence du concept de Vie :
- Intégration biologique et consciente : le concept dépasse la simple biologie en incluant le vécu et la conscience, offrant une vision plus complète de la Vie.
- Neutralité ontologique : il évite de postuler un flux ou un devenir réel, laissant ouverte la question de la stabilité ou du changement.
- Structure et possibilité : en se focalisant sur les structures de possibles compatibles, il fournit un cadre clair pour comprendre comment les individus existent et interagissent.
- Participation active : souligne le rôle du sujet dans l’existence, donnant une dimension éthique et phénoménologique à la Vie.
- Relationnel : insiste sur l’inclusion de l’environnement, perçu ou non, ce qui relie l’individu à un système plus vaste.
- Flexibilité interprétative : le processus étant interprétatif, il permet d’intégrer différentes perspectives (scientifique, philosophique, spirituelle) sans contradiction.
- Sobriété conceptuelle : évite les excès métaphysiques ou dogmatiques, se tenant à ce qui peut être défini par structures et vécus.
- Compatibilité avec l’expérience humaine : rend compte du vécu concret sans le réduire à la biologie ou à une abstraction pure.
- Base pour réflexion éthique et existentielle : en identifiant la participation et la relation comme centrales, il offre un socle pour penser responsabilité, liberté et sens.
- Transversalité : applicable à différents niveaux : individu, collectivité, écosystème, ce qui permet une lecture unifiée de la Vie dans ses multiples dimensions, sans exclure le sujet participant.
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