Le TGV avait remplacé la locomotive à vapeur... et [censure ] Mahomet l'a remplacé par le chameau a une bosse.
Beau raisonnement qui confirme celui que j'ai tenu précédamment ici dans ce forum même... au grand scandale d'un certain Azuphel
http://www.islam-bibliographie.info/id125.htm Merci FY
Et si l'on dit que ce double enseignement, celui des Evangiles et celui du Coran, ne fut que le produit de l'état graduel d'avancement de la civilisation humaine, laquelle, par ses indéniables progrès, se prêterait avec le temps à la réception d'une doctrine toujours plus raffinée et proche de la perfection, alors on se heurte alors au fait que les propos de Jésus de Nazareth apparaissent comme plus profonds et doux que ceux de Mahomet. (« Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, … |2-16| », « En vérité je vous le dis, quiconque n'accueille pas le Royaume de Dieu en petit enfant n'y entrera pas. |2-17| » Comme la civilisation des Hommes avance, en fait de comportement, non vers la brutalité, mais vers la douceur et ce que l'on nomme, d'une manière très révélatrice, « l'humanité », alors il faut bien admettre que le Jésus des Evangiles était plus en avance que Mahomet, que celui qui rendit impossible la lapidation des femmes était plus « dans le vent de l'histoire » que celui qui ordonna et participa à de telles lapidations |2-18|.
Donc, il faut admettre aussi que cette explication, celle qui fait dépendre les degrés de la révélation divine du degré d'avancement de la civilisation humaine, n'est point admissible dans le cas d'une préexistence des Evangiles sur le Coran. Le contraire pourrait être vrai, mais l'histoire est là pour s'y opposer.
Donc, seul celui qui nie la qualité de texte révélé au Coran peut être en accord avec la logique.
On pourrait dire aussi que seule une partie des Evangiles a été falsifiée, celle, précisément, qui permet de dire que ces mêmes Evangiles sont plus doux, élevés, « humains » et civilisés que l'enseignement du Coran. Mais la pratique des chrétiens par exemple en matière de lapidation des femmes adultères, ce depuis le commencement de leur existence en tant que groupe religieux distinct, témoigne qu'ils n'ont point eu d'autre loi que celle qui sauva la pécheresse par la bouche de Jésus |2-19|). S'ils n'ont jamais rien pratiqué d'autre, c'est qu'ils n'ont jamais rien entendu ou lu qui diffère de l'épisode rapporté dans les Evangiles. Et c'est donc que ce passage de l'Evangile provient bien de l'exemple et de l'enseignement du Christ. Donc qu'il s'agissait là d'un fragment authentique du fameux « injil » que les docteurs de l'islam disent être véridique en place des quatre Evangiles canoniques. Si, donc, le véritable « injil », que les musulmans disent avoir existé, interdit en fait les châtiments de cette sorte, le Coran, qui les autorise, et Mahomet, l'homme idéal selon l'islam, qui les met en pratique, lui sont inférieurs en humanité, douceur et civilisation.