Inti a écrit :On ne peut pas parler de Nice et ses victimes sans aussi donner une place à cet enfant pris par ....pas des djihadistes, ni des pro régimes Assad mais par des rebelles syriens "porteurs de libération et d'émancipation". On peut accuser a raison les méfaits de la géo politique occidentale sur le moyen orient que cela ne changera rien au fait que des musulmans tuent des musulmans, même a Nice, au nom d'un idéal supérieur.
Peu importe l'hypocrisie du monde occidental sur ses relations diplomatiques et économiques ...la culture arabo musulmane est due pour un grand, très grand examen de conscience. Dommage qu'il n'y a pas eu d'adultes sensés et courageux pour prendre la défense de cet enfant.
Bon maintenant vous pouvez retourner chasser vos pokémons avec vos enfants.

Ces sauvages musulmans sont soutenus par "les leaders du monde libre", les pays qui "apportent la démocratie et la civilisation" aux contrée non-civilisées dirigées par les barbares.

En soutenant des barbares encore plus pire qui veulent instauré la barbarie de Mohammed !
Des rebelles syriens «modérés» se seraient filmés en train de décapiter un enfant à Alep
Selon des vidéos diffusées sur internet, des rebelles syriens auraient égorgé un enfant d'une dizaine d'années dans la ville d'Alep, au motif qu'il serait un combattant palestinien pro-gouvernement.
Dans une vidéo mise en ligne dans la journée du 19 juillet, cinq hommes peuvent être observés en train de poser à l'arrière d'un pick-up rouge, aux côtés d'un enfant d'environ 10 ans, visiblement effrayé et dont une main est ensanglantée.
L'un des adultes, qui saisit le garçon par les cheveux dans cette vidéo, affirme que celui-ci est un combattant de Liwa al-Quds (La Brigade de Jérusalem), une milice palestinienne soutenant le gouvernement syrien.
Le même homme apparaît dans une autre vidéo diffusée dans la journée, où on le voit décapiter l'enfant à l'arrière du pick-up, alors que celui-ci est allongé sur le ventre.
D'après le site pro-rebelles Enab Baladi cité par la BBC, l'enfant aurait été capturé à Handarat, dans le nord de la ville syrienne d'Alep, par les combattants d'un groupe insurgé appelé Mouvement Nour al-Din al-Zinki (ou Harakat Nour al-Din al-Zenki). La zone, qui abrite un camp non-officiel de réfugiés palestiniens du nom d'Ein El Tal, a été le théâtre d'intenses combats entre les forces pro-gouvernementales et les rebelles le 19 juillet.
Le site a également rapporté les propos publiés sur Facebook par Yasser Ibrahim Youssef, un membre du bureau politique du Mouvement Nour al-Din al-Zinki, assurant qu'une commission de justice indépendante avait été chargée d'enquêter sur cet événement sinistre.
Un groupe rebelle financé par la coalition internationale menée par les Etats-Unis
Le groupe rebelle est, déjà, dans le collimateur des ONG de défense des droits de l'Homme. Début juillet, un rapport d'Amnesty International avait fait état d'un certain nombre d'exactions commises par le Mouvement Nour al-Din al-Zinki, parmi lesquelles des actes de torture.
Dans le cadre de sa lutte contre le gouvernement syrien, la faction antigouvernementale a reçu une aide financière et militaire de la coalition internationale menée par les Etats-Unis. Le groupe avait notamment reçu des missiles anti-chars américains.
Interrogé en conférence de presse suite à la diffusion de ces vidéos choquantes, le porte-parole du département d'Etat américain – l'équivalent du ministère des Affaires étrangères en France – Mark Toner a annoncé que les Etats-Unis feraient à tout le moins une «pause», si ce n'est un arrêt permanent de l'appui octroyé à ce groupe, si l'enquête déterminait la responsabilité de membres de cette faction dans cette exaction.
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