ce qui est écrit est écrit et ce qui ne l'est pas ne l'est pas je ne vais pas plus loin. La femme dit :"Personne, seigneur" et rien d'autre, c'est le Christ seul qui s'exprime et il la libère en disant : "va et désormais ne pèche plus".Sous prétexte que ce n'est pas écrit tu en déduis qu'elle n'a pas exprimé de repentance,
J'ajouterai que dans ce récit le comportement de la femme est plus que curieux car elle reste stoïque elle ne se débat pas, ni ne pleure ni même essaye de plaider sa cause alors qu'elle va mourir. Et qui plus est, bien qu'Il vienne de la sauver, elle ne manifeste aucune gratitude envers Jésus.
Aucun signe de repentance donc, et pourtant cette femme exprime bien plus que de la repentance puisqu'elle reconnaît clairement que Jésus est le Seigneur en le nommant de ce terme, et par cela, abandonne l'ancienne loi à laquelle elle se soumettait pour rentrer dans la nouvelle alliance où l'amour et la miséricorde sont indissociables et remplacent l'impératif de la réciprocité.
Amis musulmans ne partez pas, cette histoire a toute sa place dans le sujet et vous concerne: qu'aurait donc répondu Mohamed aux scribes et aux pharisiens à propos du cas de cette femme convaincue d'adultère?