Sarah a écrit :Mon Avatar, Je suis a la mode, je suis dans le ton.
Et toi, El machin marie ( tiens un nom catholique ) ton Avatar on dirais une vieille mèmère de 100 ans avec ton torchon sur la tête.
lolllll. . .la mère de Jésus s'appel Maryam. . .ok. . .pas de catholique. . .ça n'existait pas à son époque. . .c'est une femme de béni-israil. . .

qui portait un torchon sur la tête. . .
Sarah a écrit :Voilà la différence avec vous, pour nous ce n'est pas une contrainte, c'est un plaisir d'adorer Dieu.
La grande difference. . .tu peux le dire!
Les Chrétiens n'adorent pas Dieu . .désolée. . .aller de temps en temps à l'église c'est pas le top!
Quand tu te prosternera cinq fois par jour et a des heures fixe . . .quand tu jeunera tes quarantes jours. . .quant tu t'habillera convenablement, et que tu couvres tes cheveux comme te le recommande Paul. . .et enfin quand tu adorera Dieu et non pas son Prophète. . .
tu pourras dire que tu aimes Dieu et que tu l'adores comme il se doit. . .
Sarah a écrit :La récompense c'est la vie éternel près du Seigneur.
La récompense c'est un paradis aussi vaste que la terre et les cieux. . .que Dieu a préparé pour les croyants. . .D'après un hadîth qudsî, Le Tres-Haut a dit: «J'ai préparé pour mon fidèle serviteur, ce que l'oeil n'a jamais vu, l'oreille n'a jamais entendu, ce qui n'est jamais arrivé au coeur de l'homme».
délices . . .plus de crainte. . .la mort, vieillesse , maladie n'existeront plus. . .on contemplera la face de Dieu . . .car IL sera satisfait de nous . . .les vrais adorateurs. . .Car nous aurons réussi nos épreuves sur terre. . .
Sarah a écrit :Et toi, peus-tu me répondre?
Quel est ta récompense?
72 hommes pour toi toute seul ?
Ou toi avec 71 vierges pour un homme?
Pareil que sur terre. . .la femme n'aura qu'un seul mari. . .
Donne moi tes sources stp sur les 72 vièrges. . .quand on avance kelke chose. . .on met les preuves. . .
Sarah a écrit :En tout les cas tu as beaucoup d'orgueil ( et ça Dieu n'aime pas )
Pourquoi ne te dit pas supérieur à mohamet, pendant que tu y es.
nan. . .c'est juste un coup de gueul. . .pas d'orgueil. . .car il y a une porte de l'enfer destinée aux orgueilleux . . .
Les serviteurs du Tout Miséricordieux sont ceux qui marchent humblement sur terre, qui, lorsque les ignorants s'adressent à eux, disent: "Paix",
et quand ils entendent des futilités, ils s'en détournent et disent: "A nous nos actions, et à vous les vôtres. Paix sur vous. Nous ne recherchons pas les ignorants". 28.55
Et ne détourne pas ton visage des hommes, et ne foule pas la terre avec arrogance: car Allah n'aime pas le présomptueux plein de gloriole. 31.18
(Sûratu-l-Wâqiyah)
15. Ceux ci reposeront sur des sièges bien agencés,
16. Accoudés, se faisant face les uns aux autres.
17. Autour d’eux tourneront des éphèbes jouissant d’une perpétuelle jeunesse,
18. Avec coupes et aiguières, ainsi que verres à breuvages de source,
19. Dont ils n’auront ni maux de tête ni étourdissements,
20. Et avec des fruits de leur choix,
21. Ainsi qu’avec des chairs d’oiseaux dont ils sont friands.
Commentaire d’al-Qâshânî:
15. «Ceux ci reposeront sur des sièges bien agencés», c’est à dire reliés l’un à côté de l’autre; cela désigne des existences obtenues par pur don divin, et spécialement destinées à chacun d’eux, conformément à une parole prophétique disant: «Ils séjourneront sur des estrades de lumière», ou encore des existences disposées selon les rangs des Attributs (Çifât).
16. «Accoudés», se montrant à découvert entre eux, du fait qu’ils occupent alors des positions spirituelles (rutab) qui correspondent à leurs degrés de réalisation effective (maqâmât); «se faisant face les uns aux autres», en tant qu’égaux en dignité et n’ayant jamais de voile entre eux dans la Source de l’Unicité (’Aynu l Wahdah) dans laquelle ils se trouvent du fait de leur réalisation de l’Essence même (Dhât), et en tant que libres de se manifester par tout mode attributif de leur choix du fait qu’ils ont totalisé l’Amour essentiel (Mahabbatu- dh-dhâtiyyah), et qu’ainsi ils ne sont plus jamais voilés par les Attributs à l’égard de l’Essence ni par l’Essence à l’égard des Attributs.
17. «Autour d’eux tourneront des éphèbes perpétuellement jeunes», c’est à dire ils seront servis [selon une interprétation correspondant au point de vue microcosmique] par leurs facultés spirituelles (quwâhum ar-rûhaniyyah) restées à jamais sous le régime de leurs essences (bi dawlati dhawâlihim); ou encore [selon une autre interprétation, d’ordre généalogique, qu’on peut considérer comme intermédiaire entre les deux points de vue microcosmique et macrocosmique], ils seront servis par des jeunes êtres qualifiés d’entre les êtres de désir spirituel attachés à eux par un effet de la puissance de désir de ceux ci, acception qui correspondrait [d’une certaine façon, au cas des êtres paradisiaques mentionnés] à: «Ceux qui auront eu la foi et qui auront été suivis avec la foi par leurs descendants, Nous les réunirons avec leurs descendants» (LII, 21); enfin [selon un point de vue proprement macrocosmique], ils seront servis par des êtres angéliques du Malakût céleste.
18. «Avec coupes et aiguières, ainsi que verres à breuvages de source», emblèmes [les premières mentionnées] des «vins» (khumûr) de la volonté spirituelle (irâdah), de la connaissance (ma’rifah), de l’amour (mahabbah), du désir passionnel (’ishq) et de la saveur éprouvée (dhawq), ainsi qu’emblèmes [les verres] des «eaux» correspondant aux formes de sagesse et de science transcendantes (miyâhu-l-hikam wa-l-’ulûm).
19. «Dont ils n’auront ni maux de tête», parce que les breuvages dont il s’agit sont tous pure saveur n’entraînant aucune souffrance ou trouble, et parce que s’agissant d’êtres parvenus à l’Union (Wâçilûn) ceux ci auront éprouvé la saveur fraîche de la Certitude (Yaqîn) et auront bu de la source de Camphre, car l’Amour de l’Union (Mahabbatu-l-Wuçûl) est dépourvu de la douleur du désir et de la peur de la perte; «ni étourdissements», c’est à dire ils ne perdront pas leurs facultés de discernement et d’intelligence sous l’effet d’une ivresse (sukr) et n’en seront pas obnubilés, parce qu’ils sont des êtres de lucidité (çahw), non voilés par l’Essence à l’égard des Attributs, ce qui provoquerait l’«ivresse» et les exposerait à être vaincus par leur hâl.
20. «Et avec des fruits» qui sont leurs expériences réalisatrices et intuitives «de leur choix», c’est à dire qu’ils en choisiront les meilleurs, car tout en trouvant tous les fruits, ils n’en prendront que les plus purs, les plus beaux, les plus nobles et les plus sublimes.
21. «Ainsi qu’avec des chairs d’oiseaux dont ils sont friands», qui sont les subtilités des formes de sagesse et les finesses des idées transcendantes qui servent à les fortifier.
22. [Ils auront] aussi des hûr aux grands yeux noirs,
23. Telles des perles bien gardées [ou thésaurisées],
24. En récompense de ce qu’ils auront fait.
25. Ils n’y entendront ni bavardages, ni incriminations
26. Mais seulement une parole: Paix! Paix! [ou une parole de paix, de paix!]
Commentaire d’al-Qâshânî:
22. «Ils auront aussi des hûr aux grands yeux noirs», qui sont des épiphanies de l’ordre des Attributs divins et des puretés simples de l’ordre du Jabarût, ainsi que des esprits purs cohabitant leurs degrés paradisiaques.
23. «Telles des perles» sereines de pureté et de clarté, «bien gardées» dans des coquilles, ou «thésaurisées» du fait qu’elles se trouvent dans les intériorités et les trésors de l’invisible, soustraites aux profanes exotériques.
24. «En récompense de ce qu’ils auront fait», quand ils se trouvaient en état de droite orientation, en fait d’½uvres divines voulues pour elles-mêmes ou rapportées à leur récompense; ou encore «en récompense de ce qu’ils auront fait» pendant leur marche initiatique (sulûk), comme ½uvres purificatrices et clarifiantes.
25. «Ils n’y entendront ni bavardages», c’est à-dire paroles sans mesure et propos futiles, du fait qu’ils sont des êtres de réalisation (ahlu-t-tahqîq) qui observent soigneusement devant Allah les règles de la convenance spirituelle; «ni incriminations», c’est-à dire des actes détestables comme les médisances et les mensonges, etc.
26. «Mais seulement une parole de paix, de paix», c’est à dire une parole qui est en elle même paix, exempte de défauts, pure de redondances et superfétations, et aussi une parole [operative]: Paix! Paix!, qui préserve l’auditeur de vices et de défauts, lui assure au contraire la joie et l’honneur, et met en évidence sa perfection et son excellence, ces êtres ne parlant alors que de connaissances et de réalités pures, ne prononçant que des salutations vivifiantes et de subtilités spirituelles; l’interprétation de ce verset est faite pour correspondre aux deux manières de comprendre son texte sous le rapport de la syntaxe.
Sheikh Muhammed Salih Al-Munajjid (
www.islam-qa.com)
Voici le commentaire du soufi Abder-razzaq al-Qashani, dans son grand commentaire au Coran:
34. «Ils auront aussi des couches élevées», qui symbolisent des constitutions excellentes et des formes illuminatives psychiques acquises par des ½uvres de vertu. Ces acquisitions sont élevées par rapport au degré des formes corporelles; elles dépassent la région inférieure de l’être vers le niveau de la «poitrine» (çadr), qui constitue la région supérieure de l’âme psychique (nafs). Il peut s’agir également de hûr d’entre les compagnes paradisiaques, c’est à dire des forces du Malakût rattachées aux Compagnons de la Droite et qui leur sont égales en degré. Ceci dit pour correspondre à la double acception du terme coranique furush [qu’on interprète comme désignant soit des «lits», soit des «épouses»].
35. «[Leurs compagnes] Nous les avons ½uvrées d’une façon à part», merveilleuse, lumineuse, et les avons faites séparées de toute matérialité grossière, pures des taches de la nature individuelle et des souillures du monde élémentaire.
36. «Nous les avons instituées vierges», c’est à dire non affectées par le contact des réalités de nature individuelle, ni par l’attouchement des êtres naturels et extérieurs soumis aux habitudes routinières, âmes fourvoyées dans la matérialité grossière.
37-38. «Chéries de leurs époux», sachant se rendre aimées de leurs époux, et étant aimées bien par ceux ci, par leur pureté et par la beauté de leur substance, ainsi que par la constance de leur attachement à eux. Elles sont dites «d’un âge égal» parce que, étant de même degré ontologique que leurs époux, elles occupent les mêmes rangs que ceux ci et possèdent la substance de l’éternité.
39. «Ceux ci sont nombreux parmi les Premiers», parce que les Bien Aimés (Mahbûbûn) viennent chez les Compagnons de la Droite dans leurs Paradis lors de leurs mouvements d’approches (tadânî) d’Allah et des montées (taraqqî) dans les degrés, et aussi lors de leurs penchements et de leurs retours vers les Attributs (Çifât); ils se mélangent alors avec les Compagnons de la Droite et ceux ci se trouvent alors inclus de ce fait dans leurs rangs.
40. «Et nombreux aussi parmi les Derniers», du fait que la plupart des Amants (Muhibbûn) sont des compagnons de la Droite et restent avec les Attributs, sans avoir l’amour de l’Essence Absolue (Dhât). Si nous interprétons les Premiers et les Derniers comme concernant les générations initiales et celles finales de la communauté muhammadienne, l’application en apparaît ici sans difficultés du fait que les Compagnons de la Droite sont nombreux dans les génération ultimes, au contraire des Devançants (Sâbiqûn).