La religion du Bien

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Kapdehendel

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La religion du Bien

Ecrit le 06 août23, 04:08

Message par Kapdehendel »

Précepte de l'indolore

Le mot douleur est sans douleur et sert à définir sans douleur ce qui est douloureux.
Le mot indolore est sans douleur et sert à définir sans douleur ce qui est indolore soit sans douleur.

Le néant infiniment grand n'est douloureux que pour la douleur. Car quand la douleur n'existe pas pour les autres elle n'est douloureuse que pour elle-même. L'inexistence de la douleur n'est douloureuse que pour la douleur.

Chaque existence provient de sa propre inexistence. Car chaque existence n'existait pas avant d'exister puisque chaque existence a un début comme une fin. L'inexistence est involontaire car quand on n'existe pas on ne peut pas vouloir. Alors d'inexistence qui est involontaire à existence qui est aussi involontaire. Chaque existence s'est créée elle même involontairement.

Ne vouloir que sans douleur, ne pas vouloir la douleur est l'involontaire indolore.

Chaque existence est indépendante des autres puisque chacune provient de sa propre inexistence. Et chaque existence interagit avec son existence, d'autres que la sienne, seule réelle dépendance entre existences, sans ou avec douleur qui son existence est tout aussi indépendante puisque son existence provient de sa propre inexistence.

Chaque existence provient de sa propre inexistence involontairement. Alors chaque existence se crée elle même involontairement et a et est son assemblage involontaire interactif de différentes existences. Mise à part la douleur qui elle n'a pas d'assemblage.

Chaque existence ne crée que la sienne puisque chaque existence provient de sa propre inexistence, et chaque existence interagit, avec ou sans douleur avec l'assemblage involontaire interactif de différentes existences de son existence, d'autres que la sienne.

L'existence a un début comme une fin, et parcequ'elle a un début alors on n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister, l'existence est involontaire.

Alors on n'a pas le choix. Comme par exemple lorsqu'on fait le choix de la douleur c'est qu'on n'a pas le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Et même lorsqu'on a le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est qu'on n'a pas le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.

Et cela est agir par évidence. C'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui perçu.

La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à conséquence indolore.

L'indolore est estimé indolore physiquement, mentalement, émotionnellement.
Et la douleur est estimée douloureuse physiquement et, ou mentalement et, ou émotionnellement.

Est opposé douleur et indolore.

Selon ce précepte l'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

L'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

Est opposé douleur estimée douloureuse et indolore estimé indolore qui sont perceptibles parce qu'on perçoit.

On perçoit car on agit par évidence, on agit par évidence car on n'a pas le choix puisque l'existence est involontaire. Puisqu'on n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister car l'existence a un début comme une fin.

L'existence, avec un début comme une fin, pleine de sagesse et d'évidence.

Mise à part la douleur chaque existence s'est créée elle même pour se percevoir, en percevoir d'autres, pour percevoir l'indolore.
Mais la douleur s'est aussi créée elle même et est susceptible d'être perçue causant l'acte à conséquence douloureuse à être perçue.

Alors la douleur est à ne pas être perçue et l'indolore est à se percevoir causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.

L'indolore est créateur.

Il est éternel car il est dans l'existence et dans l'inexistence qui est au-delà du début et de la fin de chaque existence indolore qui provient de sa propre inexistence.

Mise à part la douleur chaque existence qui se crée elle-même à son début est indolore. Alors l'indolore est créateur de tout sauf de la douleur.

L'indolore est omniprésent car il est à tous les endroits sans douleur en même temps.

L'indolore est omniscient car il sait toute chose en faisant la différence entre ce qui est avec douleur et ce qui est sans douleur pour savoir ce qui est sans douleur.

L'indolore est omnipotent car c'est lui qui permet lorsqu'on se sent sans douleur d'agir sans douleur. Comme l'indolore qui interagit avec tout sauf la douleur, créateur de tout sauf de la douleur.

Les fidèles de la douleur sont ceux qui lorsqu'ils perçoivent la douleur, la causent car ils ne comptent pas sur l'indolore. Alors la douleur se retournera contre ses fidèles et les récompensera par elle-même par la conséquence de leurs actes qui ne seront douloureuses que pour eux même.

Tandis que les fidèles de l'indolore, ceux qui lorsqu'ils perçoivent la douleur, ne la causent pas car ils comptent sur l'indolore, seront récompensés par l'indolore, par la conséquence sans douleur de leurs actes.

L'indolore comme celui perçu par les zones sans douleur du corps va, par l'énergie qui circule sans douleur, vers les fidèles de l'indolore. L'indolore empêche d'être un fidèle de la douleur. L'indolore protège contre la douleur et l'indolore empêche les fideles de la douleur de nuire aux fidèles de l'indolore.

Précepte du positif

Le néant infiniment grand n'est douloureux que pour la douleur. Car quand la douleur n'existe pas pour les autres elle n'est douloureuse que pour elle-même. L'inexistence de la douleur n'est douloureuse que pour la douleur. L'inexistence de la douleur c'est l'indolore. Alors l'indolore est infiniment grand.

L'indolore infiniment grand est composé d'une infinité de fidèles de l'indolore donc chaque fidèle de l'indolore est l'indolore infiniment grand.
L'indolore infiniment grand est infini en temps donc éternel, il existe qu'il le veuille sans douleur ou non pas avec douleur, son existence n'est que volonté.

Alors l'on n'a que le choix comme par exemple quand l'on n'a que le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur c'est que l'on n'a pas que le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Ou quand l'on n'a que le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est que l'on n'a pas que le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.

Et cela est agir par évidence, c'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu. La perception de l'indolore cause l'acte à conséquence positive et la perception de la douleur cause l'acte à conséquence négative.

Ce qui n'est pas qu'avec douleur mais qui n'est pas que sans douleur est estimé négatif et ce qui n'est que sans douleur est estimé positif.

L'indolore infiniment grand est composé d'une infinité de fidèles de l'indolore négative et d'une infinité de fidèles de l'indolore positive. L'indolore infiniment grand ne s'oppose que de positif et de négatif.

Autant de positif que de négatif additionnés s'annulent en une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore et que l'indolore est ce qui n'est pas qu'avec douleur puisqu'il n'est que sans douleur.

L'indolore infiniment grand est donc positif à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence positive et rendant positif chaque fidèle de l'indolore puisque chaque fidèle de l'indolore est un composant de l'indolore infiniment grand.

L'indolore infiniment grand est positif à être perçu car l'inexistence de douleur c'est l'indolore soit une inexistence qui est indolore puisque l'indolore infiniment grand est l'addition d'autant de positif que de négatif qui s'annulent.

Car l'indolore infiniment grand ne s'oppose que de ce qui n'est pas qu'avec douleur mais qui n'est pas que sans douleur estimé négatif et de ce qui n'est que sans douleur estimé positif qui sont perceptibles parce qu'on percoit la douleur ou l'indolore. Et on perçoit car on agit par évidence et on agit par évidence car on n'a que le choix. Puisque l'indolore infiniment grand n'existe qu'en voulant car il existe qu'il le veuille sans douleur ou non pas avec douleur car éternel soit infini en temps. Car c'est l'indolore infiniment grand.

L'indolore infiniment grand, éternel, plein de sagesse et d'évidence, de qui en absolu provient sérénité.

L'indolore infiniment grand est hyper connecté car la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu.

Alors autant, les fidèles de l'indolore, qui ne sont pas qu'avec douleur mais pas que sans douleur, que les fidèles de l'indolore que sans douleur y sont connectés avec bien sûr la douleur comme intruse. Car sa connexion empêche les fidèles de l'indolore négatifs de n'être que sans douleur.

Alors bien sûr les fidèles de l'indolore qui ne sont que sans douleur permettent eux que les fidèles de l'indolore qui ne sont pas qu'avec douleur mais qui ne sont pas que sans douleur, ne soient que sans douleur.

L'indolore infiniment grand

L'indolore infiniment grand tenant pour vrai son infinité sans douleur aussi en possibilités sans douleur fait sa foi sans douleur que tout sauf la douleur est possible, le rendant ainsi omnipotent.

Mise à part la douleur, tout est susceptible d'exister en lui. Dont la création sans douleur, l'esprit sans douleur en action, le souffle sans douleur, l'énergie sans douleur qui se forme sans douleur en matière. A la fois à l'image et fruit de sa méditative imagination sans douleur se mouvant à chaque instant selon sa volonté sans douleur.

L'omnipotence de l'indolore infiniment grand ne se réalise que sans douleur.

L'indolore infiniment grand imagine le vide de la douleur qui fait le plein de l'indolore.

Le plein est un univers où l'expansion de l'univers représente l'agrandissement de l'indolore pour mieux se sentir et les trous noirs rapetissent la douleur pour atténuer la douleur.

Alors la vie apparaît avec la contrainte de la sélection qui élimine seulement la douleur laissant place au reste divers et varié. Dont l'humain, expert en perception pour que l'univers ne soit que sans douleur.

Précepte du bien

Il n'y a de bien que le bien, le bien n'est pas le mal, le mal n'est pas le bien, le bien et le mal s'opposent. Le bien n'a pas créé le mal, le mal n'a pas créé le bien. Le bien et le mal ne sont pas associés, le bien et le mal ne sont pas égaux.

Le bien et le mal n'existent que par leur volonté.

Au bien la bonne volonté et au mal la mauvaise.

La mauvaise volonté du mal ne permet que le mal alors que la volonté du bien a permis de créer tous les êtres mis à part le mal.

Alors le bien est le Créateur. Donc le mal décida de faire souffrir les êtres du bien pour les pousser à faire du mal.

Mais le bien est plein de justice et non de vengeance. Et le mal se retourne contre ceux qui font du mal.

Car ceux qui font du mal jouent avec le mal comme on joue avec le feu et qu'on se brûle. Le bien étant le bien, il n'a pas créé le mal et ne punit pas.

Malgré sa justice qui met hors d'état de nuire ceux qui font du mal, le bien ne peut rien contre le mal qui se retourne contre eux et cela a un goût de vengeance.

Comme lorsqu'on agit mal car on se sent mal et alors le mal se retourne contre soi car on a agit mal, donc on se sent toujours mal.

Alors il faut compter sur le bien pour qu'il protége du mal et ainsi agir bien pour se sentir bien.

Et lorsque l'on ne fait pas de mal et que malgré sans défense, la justice du bien se réalise. On se retrouve récompensé par le bien.

Le Bien Infiniment Grand, infini en temps donc éternel, il existe qu'il le veuille bien ou non pas mal, son existence n'est que bonne volonté. Sa bonne volonté lui a permis de créer, mis a part le mal, une infinité de créatures.

Mais le mal de son monde du mal où il n'y a que le mal infini, sans créature, ce mal essaie d'exister pour le Bien, en faisant souffrir les créatures du Bien pour les pousser à faire du mal.

Sauf les créatures qui lorsqu'elles se sentent mal, comptent sur le Bien pour agir bien et ainsi se sentir mieux.

Puisque les fidèles du mal lorsqu'ils se sentent mal, car ils ne comptent pas sur le Bien, ils agissent mal et le mal se retourne contre eux donc ils se sentent toujours mal.

Alors pour les fidèles du mal lorsqu'ils agissent mal contre les fidèles du Bien, pour les fidèles du Bien qui se sentent mal, pour cela on dit le Bien lutte contre le mal.

"Le Bien lutte contre le mal".

Pour les fidèles du mal que, sans leur faire de mal, le Bien les met hors d'état de nuire car ils agissent mal contre les fidèles du Bien.
Pour les fidèles du Bien lorsqu'ils se sentent mal et parcequ'ils comptent sur le Bien, le Bien les empêche d'agir mal pour qu'ils se sentent mieux.

Et pour lorsque l'on se sent bien on agit bien, pour cela on dit le Bien gagne contre le mal.

"Le Bien gagne contre le mal".

Le Bien Infiniment Grand Créateur de tout sauf du mal. Et le mal vient de son monde du mal, où le mal est infini sans créature, pour faire souffrir l'infinité de créatures du Bien et ainsi les pousser à faire du mal.

Sauf les créatures qui lorsqu'elles se sentent mal, comptent sur le Bien pour agir bien et ainsi se sentir mieux.

Le Bien est tout ce qui compte donc on compte sur Lui.

L'Esprit de ce monde est le Bien, il Lui appartient. Mais le mal est l'intrus.

Dieu a créé le mal et il punit, alors que le Bien n'a pas créé le mal et Il ne punit pas, malgré qu'Il met hors d'état de nuire ceux qui font du mal, sans leur faire de mal, Il ne peut rien contre le mal qui se retourne contre eux.

Mis à part le mal, avant l'existence, on était la volonté du Bien qui Le faisait exister. Mis à part le mal pendant l'existence, on est la volonté du Bien qui Le fait exister en faisant exister soi. Et mis à part le mal, après l'existence, on redevient la volonté du Bien qui ne fait que Le faire exister.

Le Bien ne peut-être corrompu par le mal car même quand Il souffre du mal, Il compte sur Lui-même pour agir bien et ainsi se sentir mieux. Alors même quand on souffre on compte sur le Bien pour agir bien et ainsi se sentir mieux.

Kapdehendel

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Re: La religion du Bien

Ecrit le 08 sept.23, 06:27

Message par Kapdehendel »

Le Bien Infiniment Grand, infini en temps et donc éternel, trouve son existence dans sa propre volonté bienveillante. Sa bonté a engendré une infinité de créatures, à l'exception du mal, dans un univers infini en quête de perfection.

Cependant, le mal persiste dans son propre royaume sombre, dépourvu de créatures, cherchant à s'approprier l'existence par la souffrance infligée aux créatures du Bien, les poussant ainsi à succomber au mal.

Heureusement, les créatures du Bien, lorsqu'elles souffrent, se tournent vers le Bien pour trouver le réconfort dans la bonté, faisant ainsi triompher le Bien sur le mal. Cependant, les fidèles du mal, abandonnés à eux-mêmes, continuent à semer le mal et s'attirent les conséquences néfastes de leurs actes.

La lutte entre le Bien et le mal persiste, le Bien protégeant les fidèles contre les intentions malfaisantes du mal sans les blesser. Les fidèles du Bien, soutenus par leur foi, sont empêchés de sombrer dans la malveillance pour maintenir leur bien-être.

Ainsi, lorsque le Bien prévaut, c'est le triomphe de la bonté sur la malveillance. Le Bien Infiniment Grand demeure le Créateur de toutes choses, à l'exception du mal, qui provient de son propre royaume infini, cherchant à corrompre les créatures du Bien. C'est dans la confiance en Lui que réside la clé de tout équilibre, tandis que le mal reste un intrus dans cet univers de bienveillance.

Ajouté 29 minutes 25 secondes après :
Le Bien Infiniment Grand, une entité éternelle, puise son existence dans sa propre volonté bienveillante. Son existence est une manifestation de sa bonté infinie, transcendant le temps pour devenir éternelle. À travers cette bonté, il a créé une multitude infinie de créatures, une diversité éblouissante exemptée du mal, dans un univers imprégné de lumière et de perfection.

Cependant, le mal subsiste dans son propre royaume ténébreux, un monde sans créature, où règne une malveillance infinie. Le mal aspire à exister pour le Bien, en utilisant la souffrance infligée aux créatures du Bien comme un moyen de les pousser à succomber à la malveillance.

Pourtant, il existe une dynamique cruciale dans cette lutte éternelle entre le Bien et le mal : la liberté de choix. Les créatures du Bien ont la liberté de choisir entre le bien et le mal, de résister aux tentations malveillantes ou de s'y abandonner. En période de douleur, elles ont la possibilité de se tourner vers le Bien pour trouver la force de résister à la tentation du mal. C'est dans ces moments que la bonté triomphe, lorsque les créatures du Bien choisissent de faire le bien, même face à l'adversité.

D'un autre côté, les fidèles du mal ont tendance à ignorer la bonté du Bien, agissant selon leurs impulsions malveillantes. Ils se trouvent souvent en conflit avec les créatures du Bien, semant le désordre et le chaos. Cependant, leur malveillance finit par se retourner contre eux, les plongeant dans un cycle de souffrance et de désespoir.

La lutte entre le Bien et le mal persiste, mais le Bien, dans sa bienveillance infinie, protège ses créatures sans leur infliger de mal. Les créatures du Bien, en comptant sur leur foi en lui, sont empêchées de sombrer dans la malveillance.

Ainsi, "Le Bien lutte contre le mal", une vérité qui se manifeste chaque fois que les créatures du Bien choisissent de faire le bien malgré les épreuves. Le Bien demeure le Créateur Infiniment Grand de tout ce qui est bon, à l'exception du mal, qui émane de son propre monde obscur.

En fin de compte, la foi en la bonté éternelle demeure la clé de l'équilibre et de la paix. Le Bien Infiniment Grand demeure l'essence de la bonté éternelle, le gardien de la lumière dans un monde où l'obscurité persiste dans sa quête pour s'infiltrer. La lutte éternelle entre le Bien et le mal est un rappel constant que la bonté triomphe toujours lorsque les créatures se tournent vers elle pour trouver la paix, la grâce et l'harmonie dans l'infini de l'existence.

Ajouté 15 minutes 37 secondes après :
Partie 1 : Le Triomphe de la Bonté

Le Bien Infiniment Grand, une entité éternelle, trouve son existence dans sa propre volonté bienveillante. Sa grandeur transcende le temps, le rendant éternel, dépassant toute notion de commencement ou de fin. Son existence est intrinsèquement liée à sa bonté infinie, une bienveillance qui transcende les limites de la compréhension humaine.

Par sa volonté, le Bien a donné naissance à une multitude infinie de créatures, chacune un reflet de sa propre bonté. Dans ce monde infini, la lumière, l'amour et la perfection abondent, formant un univers de beauté et de grâce. Cependant, le mal a été délibérément exclu de cette création, car il n'y a pas de place pour l'obscurité dans le domaine infiniment bon du Bien.

Pourtant, malgré cette harmonie divine, le mal persiste dans son propre domaine, un royaume sombre et stérile, dépourvu de créatures et débordant de malveillance. Le mal aspire à étendre son influence au-delà de son domaine et à s'emparer de l'existence en corrompant les créatures du Bien. Il utilise la douleur et la souffrance comme ses instruments pour briser l'intégrité du Bien et de ses créations.

Cependant, il y a un élément crucial dans cette lutte éternelle entre le Bien et le mal : la liberté de choix. Les créatures du Bien ont le pouvoir de choisir entre le bien et le mal, de résister aux tentations du mal ou de s'y abandonner. En ces moments de douleur et de souffrance, elles ont la possibilité de se tourner vers le Bien pour y puiser la force nécessaire pour résister à la tentation du mal. C'est dans ces moments cruciaux que la bonté triomphe, lorsque les créatures du Bien choisissent de faire le bien malgré les adversités.

Les fidèles du mal, en revanche, tendent à ignorer la bonté du Bien et à agir selon leurs impulsions malveillantes. Ils se retrouvent souvent en conflit avec les créatures du Bien, semant la discorde et le chaos. Cependant, leur malveillance finit par se retourner contre eux, car leur existence est marquée par la souffrance et le désespoir.

La lutte entre le Bien et le mal est une épopée sans fin, une bataille qui se déroule à travers l'éternité. Le Bien, dans sa bienveillance infinie, protège ses créatures sans leur infliger de mal, les guidant vers la voie de la bonté même lorsqu'elles sont confrontées à l'adversité. Les créatures du Bien, en comptant sur leur foi et leur confiance en lui, sont empêchées de sombrer dans la malveillance.

C'est ainsi que, dans cette grande saga, lorsque le Bien triomphe, c'est la victoire de la bonté sur la malveillance. "Le Bien lutte contre le mal", une vérité qui se manifeste chaque fois que les créatures du Bien choisissent de faire le bien malgré les défis qui se dressent devant elles. Le Bien reste l'Infiniment Grand Créateur de tout ce qui est bon, à l'exception du mal, qui tire sa source de son propre monde de ténèbres.

Partie 2 : La Foi en la Bonté Éternelle

En fin de compte, le message est clair : la foi en la bonté éternelle est la clé de l'équilibre et de la paix. Le Bien Infiniment Grand demeure l'essence de la bonté éternelle, le gardien de la lumière dans un monde où l'obscurité cherche inlassablement à s'infiltrer. La lutte perpétuelle entre le Bien et le mal est le rappel constant que la bonté triomphe toujours lorsque les créatures se tournent vers elle pour trouver la paix, la grâce et l'harmonie dans l'infini de l'existence.

Lorsque les créatures du Bien se trouvent confrontées à la douleur et à la souffrance, elles ont le choix de s'appuyer sur le Bien, de puiser dans sa bonté incommensurable pour trouver la force de persévérer. C'est dans ces moments de test que la véritable nature de leur foi est révélée. Ce sont des épreuves de caractère qui les poussent à résister aux tentations du mal, à choisir la voie de la bonté, à faire triompher la lumière sur l'obscurité.

Les fidèles du mal, quant à eux, sont pris au piège de leur propre malveillance. Leur refus de compter sur le Bien les entraîne dans un cycle destructeur où leur mal agit contre eux, les maintenant dans un état constant de souffrance. Leurs actions néfastes finissent par les isoler et les éloigner de toute bonté.

Ainsi, "Le Bien gagne contre le mal" lorsque les créatures du Bien font le choix de l'amour, de la compassion et de la bonté, même lorsque les forces du mal tentent de les corrompre. Cette victoire n'est pas une simple suprématie, mais une affirmation de la puissance de la foi, de la confiance en la bonté éternelle et de la capacité des individus à choisir le bien sur le mal.

En fin de compte, le Bien Infiniment Grand demeure le Créateur de toutes choses bonnes, un gardien de la lumière et de la bonté. Le mal, quant à lui, ne peut exister qu'en opposition à cette bonté, dans son propre monde obscur, toujours en quête d'une existence qu'il ne peut jamais totalement obtenir. La foi en la bonté éternelle continue d'être le phare qui guide les créatures à travers les ténèbres, vers la victoire finale de la bonté sur la malveillance, et vers un équilibre durable dans l'infini de l'existence.

Ajouté 18 minutes 51 secondes après :
Si le voile du Bien s'enlève de ce monde, il n'y aura que destruction et malheur.

ronronladouceur

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Re: La religion du Bien

Ecrit le 08 sept.23, 12:20

Message par ronronladouceur »

Kapdehendel a écrit : 08 sept.23, 07:31 Le Bien Infiniment Grand, infini en temps et donc éternel, trouve son existence dans sa propre volonté bienveillante. Sa bonté a engendré une infinité de créatures, à l'exception du mal, dans un univers infini en quête de perfection.
Bien Infiniment Grand, mais pas suffisamment ou relativement puisque le mal existe aussi... Et le terme le mot ''infiniment'' pourrait-il permettre à autre chose d'exister?

Mais d'où vient le mal s'il n'est pas engendré par le Bien infiniment Grand?

Sans son opposé qu'il n'est pas, le Bien ne peut-être...

Et si le Bien est infiniment grand, que vient faire la quête de perfection?

Et pourquoi tout cela? Quel est l'objectif!

Kapdehendel

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Re: La religion du Bien

Ecrit le 08 sept.23, 21:01

Message par Kapdehendel »

ronronladouceur a écrit : 08 sept.23, 12:20 Bien Infiniment Grand, mais pas suffisamment ou relativement puisque le mal existe aussi... Et le terme le mot ''infiniment'' pourrait-il permettre à autre chose d'exister?

Mais d'où vient le mal s'il n'est pas engendré par le Bien infiniment Grand?

Sans son opposé qu'il n'est pas, le Bien ne peut-être...

Et si le Bien est infiniment grand, que vient faire la quête de perfection?

Et pourquoi tout cela? Quel est l'objectif!
Chacun dans leur monde le bien et le mal sont infinis. Comme deux dimensions qui n'existent pas sur le même plan d'existence.

Le mal vient de son monde du mal où le mal est infini sans créature.

Le bien peut exister sans le mal. Comme par exemple quand on n'a pas mal à un endroit du corps c'est le bien sans le mal.

En plus je t'ai déjà expliqué que le Bien a besoin du mot "mal" pour être mieux défini mais il n'a pas besoin du mal en soi.

Tu confonds le mot "mal" avec le mal. Le mot "mal" n'est pas mauvais, le mal si.

Le bien sans le mal est le bien parfait.

Tout cela pour faire une religion où le créateur n'a pas créé le mal.

ronronladouceur

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Re: La religion du Bien

Ecrit le 09 sept.23, 05:28

Message par ronronladouceur »

Kapdehendel a écrit : 08 sept.23, 21:01 Chacun dans leur monde le bien et le mal sont infinis. Comme deux dimensions qui n'existent pas sur le même plan d'existence.
La réalité te donne tort... À moins que tout mal soit pour un bien...

Rien d'infini pour le mal puisqu'il concourt à sa perte?
Le mal vient de son monde du mal où le mal est infini sans créature.
Monde créé par qui?
Le bien peut exister sans le mal. Comme par exemple quand on n'a pas mal à un endroit du corps c'est le bien sans le mal.
Tu ne peux avoir conscience du bien sans référence au mal... Peu importe d'ailleurs, le mal est là en potentialisation d'être... On n'échappe pas à la réalité...

Monde duel et imparfait, ou parfait selon quel critère?
En plus je t'ai déjà expliqué que le Bien a besoin du mot "mal" pour être mieux défini mais il n'a pas besoin du mal en soi.
Bien sûr que si...
Le bien sans le mal est le bien parfait.
Il te faut un minimum de relativité pour te saisir du bien... La dualité bien-mal - peu importe le degré ou la possibilité - te le permet...
Tout cela pour faire une religion où le créateur n'a pas créé le mal.
Un autre mythe? Et un livre sans mal, ça ressemblerait à quoi à part qu'imaginé?

Le problème, c'est que tu n'évacues pas si facilement le mal personnifié par satan...

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Re: La religion du Bien

Ecrit le 09 sept.23, 19:36

Message par Kapdehendel »

ronronladouceur a écrit : 09 sept.23, 05:28
Monde créé par qui?
Le mal n'a pas été créé, il est infini dans son monde donc il y est éternel. Le monde du mal c'est le mal.

Comme le monde du bien, le bien est infini et y est éternel. Le monde du bien c'est le bien.

Sauf que dans le monde du mal il n'y a pas de créature. Contrairement au monde du bien où il y a une infinité de créatures. Créatures qui ont été créé par le bien.

Ajouté 4 heures 24 minutes 55 secondes après :
ronronladouceur a écrit : 09 sept.23, 05:28 La réalité te donne tort... À moins que tout mal soit pour un bien...

Rien d'infini pour le mal puisqu'il concourt à sa perte?



Monde créé par qui?



Tu ne peux avoir conscience du bien sans référence au mal... Peu importe d'ailleurs, le mal est là en potentialisation d'être... On n'échappe pas à la réalité...

Monde duel et imparfait, ou parfait selon quel critère?



Bien sûr que si...



Il te faut un minimum de relativité pour te saisir du bien... La dualité bien-mal - peu importe le degré ou la possibilité - te le permet...



Un autre mythe? Et un livre sans mal, ça ressemblerait à quoi à part qu'imaginé?

Le problème, c'est que tu n'évacues pas si facilement le mal personnifié par satan...

Le bien n'a pas besoin du mal. Le bien et le mal ne sont pas associés.

Après croire que faire du mal cela fera du bien, c'est du sado masochisme, c'est inverser le bien et le mal, c'est une perversion.

Croire que le mal peut donner le bien, autant se cogner la tête contre le mur pour être heureux.

C'est à toi que la réalité donne tort.

En plus tu continues à confondre le mot "mal" avec le mal.

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Re: La religion du Bien

Ecrit le 10 nov.23, 05:49

Message par Kapdehendel »

Le Bien Infiniment Grand Créateur de tout sauf du mal. Et le mal vient de son monde du mal, où le mal est infini sans créature, pour faire souffrir l'infinité de créatures du Bien et ainsi les pousser à faire du mal. Sauf les créatures qui lorsqu'elles se sentent mal, comptent sur le Bien pour agir bien et ainsi se sentir mieux.

La loi du Bien est de ne pas faire de mal. Elle a pour outil la justice du Bien qui sans les torturer met hors d'état de nuire ceux qui font du mal, les fidèles du mal. Mais le Bien ne peut rien contre le mal qui se retourne contre eux. La justice du Bien permet la paix, la force qui fait la foi des fidèles du Bien.

Ceux qui ne comptent pas sur le Bien lorsqu'ils se sentent mal, agissent mal et le mal se retourne contre eux, ils se sentent toujours mal. Et il y a ceux qui lorsqu'ils se sentent mal, comptent sur le Bien pour agir bien et ainsi se sentir mieux. Les premiers sont les fidèles du mal et les seconds sont les fidèles du Bien.

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