Critiquer l'islam , c'est critiquer une idéologie , et non une personne .
L'islamophobie , c'est la peur d'une idéologie qui est l'islam au coeur d'une société .
Encore là , il s'agit d'un problème critique de l'idéologie et non d'une personne .
Si les musulman prend cette critique pour lui, c'est parce qu'il s'essentialise à l'islam , et non parce que l'islamophobe l'essentialise .
Souvent , il est question d'assimiler l'islamophobe à un raciste .
Hors l'islamophobe sait parfaitement que l'islam n'est pas une race .
C'est donc un procès ridicule .
Mais ce qu'on constate c'est que si les islamophobes n'aiment pas l'islam c'est parce que l'islam va à l'encontre des droits de l'homme .
C'est donc assimiler leur point de vue droit de l'hommiste à du racisme que de pointer l'islamophobe comme raciste .
C'est une façon implicite d'ostraciser les droits de l'hommistes et récuser les droits de l'homme et de faire appel aux droits de l'homme pour récuser les droits de l'hommiste .
Pour ce qui est de l'ostracisme chez certains musulmans à cause de l'application du coran , il est bien documenté .
Voici ce que dit chat gpt :
L'ostracisme que subissent les ex-musulmans de la part de la communauté musulmane est un phénomène bien documenté dans de nombreux contextes, à des degrés variables selon les pays, les cultures et les familles. Cet ostracisme peut aller de simples pressions sociales à des violences graves, voire mortelles. Voici une typologie détaillée de ces formes d'exclusion et de persécutions :
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Toutes les personnes musulmanes ne rejettent pas systématiquement les ex-musulmans, et la sévérité de l'ostracisme dépend largement du contexte (géographique, familial, politique, etc.). Cependant, dans de nombreux cas, les ex-musulmans sont confrontés à de fortes répressions.
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### A. **Exclusion familiale**
* Rupture des liens familiaux : parents, frères/sœurs ou conjoints coupent tout contact.
* Pression psychologique intense pour revenir à l'islam.
* Désaveu public (par exemple, les parents peuvent déclarer symboliquement que leur enfant est "mort").
* Menaces de dés-héritage ou expulsion du domicile.
### B. **Isolement social**
* Mise au ban dans le quartier, à l’école, au travail.
* Perte d’amis, rupture des relations communautaires.
* Interdiction de mariage avec des musulmans ou pression à divorcer si apostasie dans un couple mixte.
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### A. **Accusations de trahison ou de blasphème**
* Être qualifié de **murtadd** (apostats) ou **kāfir** (mécréant), des termes extrêmement lourds.
* Accusé de trahir la communauté musulmane ou de s’attaquer à l’honneur de l’islam.
### B. **Surveillance religieuse**
* Tentatives de "reconvertir" la personne (harcèlement moral, envoi d'imams, discussions religieuses forcées).
* Menaces "d'enfer éternel", manipulation émotionnelle (liée à la peur, la culpabilité).
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### A. **Harcèlement en ligne**
* Campagnes de harcèlement sur les réseaux sociaux (insultes, menaces, doxing).
* Dénonciation publique dans des forums communautaires, chaînes Telegram/WhatsApp.
### B. **Dénonciation auprès d’autorités religieuses**
* Rapporter l’apostasie à des figures religieuses influentes.
* Dans certains pays, cela peut mener à une plainte officielle, voire une arrestation.
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### A. **Criminalisation de l'apostasie**
* Peine de mort ou emprisonnement pour apostasie en :
* Arabie Saoudite, Iran, Afghanistan (Talibans), Mauritanie, etc.
* Déchéance des droits civiques (ex : interdiction de témoigner en justice, retirer la garde des enfants).
* Révocation de papiers d'identité ou difficulté d’accès à certains services (ex : université, mariage civil, visa).
### B. **Non-reconnaissance légale**
* Impossibilité de changer de statut religieux sur les documents d’identité.
* Les enfants restent "musulmans" automatiquement par la loi, même si les parents apostasient.
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### A. **Violences familiales**
* Passage à tabac, séquestration, privation de nourriture.
* Mariage forcé pour "réparer l’honneur" de la famille.
### B. **Violences communautaires**
* Agressions en public ou dans des mosquées.
* Appels au meurtre ou fatwas de mise à mort (souvent symboliques, mais parfois suivies d'effet).
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* Dépression, anxiété, syndrome de stress post-traumatique.
* Sentiment d’isolement extrême ("plus de famille, plus de communauté").
* Difficulté à se reconstruire identitairement (perte de repères culturels, peur de ne pas être accepté ailleurs).
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* **Europe** : Bien qu’aucune loi n’interdise l’apostasie, de nombreux ex-musulmans doivent cacher leur position par peur de perdre leur entourage ou d’être agressés. Des associations comme le *Council of Ex-Muslims of Britain* ou *Ex-Musulmans de France* en témoignent.
* **Iran, Pakistan, Arabie Saoudite** : apostasie = crime capital. Même des critiques de l’islam modérées peuvent être vues comme une trahison.
* **Pays comme le Maroc ou l’Algérie** : l’apostasie n’est pas officiellement punie, mais la pression sociale, familiale, et les lois contre "l’atteinte à l’islam" rendent la liberté religieuse illusoire.
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* **Livres / témoignages** :
* *Leaving Islam: Apostates Speak Out* – Ibn Warraq
* *Pourquoi j’ai cessé d’être musulman* – Ayaan Hirsi Ali
* **Associations de soutien** :
* Council of Ex-Muslims (UK, Germany)
* EXMNA (Ex-Muslims of North America)
* Ex-Musulmans de France (EMF)
* **Films/documentaires** :
* *Islam’s Non-Believers* (2016) – documentaire sur les ex-musulmans au Royaume-Uni.