L'existence de l'unité corporelle à un sens un objectif, mais les choix iréflichis dans le temps l'éloigne de son objectif celui de se contituer, de se concrétiser pour être car tout ce fait à son
insu.Il n'existe pas plusieurs chemins mais, uniquement deux passages, qui possède plusieurs niveaux, l'un progressiste qui a pour but de diriger l'homme dans les différentes étapes, qu'il va traverser au cours de son évolution, afin de le synchroniser aux principes de Dieu.
L'autre régressif, répond à un autre fondement, tendant vers le bas de l'astral alimentant et accroissant la spirale du trouble, transformant l'unité, en une entité astrale, à son service.
La rendant esclave malgré elle pour continuer de la nourrir jusqu'au jour où sonnera le glas !
Chaque sphère nous donne avec docilité strictement la subsistance que nous lui avons transmise par nos choix.
Chaque pensée, choix, action, petits ou grand engendre une énergie qui provoque soit un évaporé ou un lâché. Ils vont rejoindre l'une des deux sphères que l'unité aura choisie de nourrir.
Elle va dans le l'instant nous réinjecter à notre insu la dose de substance que nous aurons produite avec la même intensité. Ils constitueront la forme de notre futur.
Chaque subsistance que nous recevons de l'une des deux sphères reste en nous et ceci jusqu'à la fin de l'achèvement de l'évolution dans ce monde.Entre l'instant où j'entrevoyais les énergies et le moment où je tente vainement avec mes outils de trouver une façon de les apprivoiser.
J'interceptais la présence d'une esquisse irréprochable qui se dessine au fur et à mesure de mes trouvailles.
Le né est initialisé à son insu, vers une configuration qui dépend du versant donné dans les ordonnances.
Le dilemme de l'inclinaison retrace essentiellement, les acquisitions que l'enfant aura faites dans le domaine des valeurs nobles.
Chacune d'entre elles, que nous aurions préféré ignorer, renverser ou piétiner dans notre évolution.
Car trop contraignante à développer, ne pourra à son tour fermenter et engendrer que des déviants.
Ils se transformeront alors en malignités pour attendre le moment proverbial afin de se purifier dans celui qui les a fermentés dans l'illégitime.
L'énergie constituée par les choix irréfléchis est préjudiciable, nous irradiés, au fur et à mesure des euphémismes, vers le bas de l'astral.
Dans le temps elle engendre la malignité, qui génère à son tour des aphtes. Ils formeront tout autour de la quintessence une toile d'araignée, qui séquestra celui qui l'a créé.
C'est dans l'action de l'Omnipotent que se produit le miracle. Plus on se fond dans la première règle de droit, plus l'Universel nous inspire.
IL nous procure le moyen d'évoluer, sans la duperie en eurythmie de l'introductive Résolution.
Il connaît toutes nos faiblesses, y compris la fumisterie. Plus grande sera notre difformité, discordante face à la mesure originelle, plus forte sera notre complexité, à y faire face.
L'humanité après tous ces siècles, croit tout savoir, du monde et de l'univers dans lesquels elle évolue, occultant dans sa course effrénée, un élément essentiel, apprendre à se connaître de l'intérieur pour déterminer son destin.
Elle aurait le privilège alors, de voir la puissance divine en action.
Je décelais la porte de l'aurore, de la prescience. Mon être était en mesure de saisir toutes les merveilles, qui seraient miennes une fois l'édification à l'effigie de Dieu achevée.
L'auguste robustesse réside dans les trois forces énergétiques. (Et non deux.) Il a fallu persévérer pour évoluer, pour les assimiler dans l'environnement, en les distinguant dans toute chose.
Elles ont une destinée, pense, et sont douées, d'une structure agencée, différente, et supérieure à celle des capacités, que l'on détient. (Je dirai que notre niveau se situe à celle d'un enfant qui est dans sa première année maternelle, dans une classe petite section et encore je suis loin de la vérité.)
Les deux énergies que l'on peut percevoir avec la méthodologie bouddhiste représentent notre reflet elles sont le condensé de ce que nous avons produit par nos inclinaisons depuis l'aube de l'humanité.
L'une reflète notre exaltation pour notre Concepteur, la seconde notre outrecuidance. Elles se galvanisent et grandissent par rapport à nos inclinaisons.
Chaque intuition fournie par nos choix provoque soit un lâché pour l'inclinaison généreuse, soit un évaporé pour la seconde.Ils possèdent les mêmes fonctions à chaque action provoquée ils nous réinjecteront avec la même ampleur, pas une once en plus ou en moins nos produits. La troisième se conjugue par le Souffle suprême elle régule les deux énergies ainsi que celle qui nous déploie notre respiration.
Elle se trouve éloignée de notre dimension et ne peut être perçue tant que l'homme stagne dans l'éphémère.
Dieu, qui est Amour, désire l'homme libre de ses choix pour évoluer vers son étoile. Il nous délègue les dons divins et notre libre arbitre.
Ils sont les instruments qui nous permettent de nous édifier au fil de notre existence, selon le subtil et Sublime dessein.
Ils ne se situent pas dans notre intellection, mais dans nos sens. Chaque instable détient la même mesure d'énergie « souffle de Dieu ».
L'humain doit pour s'édifier en conformité avec la Volonté suprême, réagir fermement, avec rigueur contre son orgueil.
Celui qui est assis à la place de sa conscience raisonnant « sans discontinuité qu'il n'existe pas d'être plus fort et plus beau que lui. »
Nous devons acquérir le don de la conscience, qui s'obtient par un travail de rigueur et d'observance de soi.
Ces deux outils maîtrisés, nous apporterons dans le temps la réflexion, qui nous valide, la compréhension de soi.
Sans conscience, il n'y a pas de réflexion. Sans réflexion, il n'y a pas de compréhension de soi. Sans compréhension de soi, il n'y a pas d'être. Sans être, il n'y a pas d'esprit. Sans esprit, il n'y a pas d'âme. Sans âme, il n'y a pas d'effigie à l'image de Dieu.
Cordialement
Aude
Je vous salue bien bas
