La formation de bassins océaniques, etc. ...

Science et religion ne sont plus considérées comme incompatibles. The Daily Telegraph, Londres, 26 mai 1999.
Répondre
Nickie

Christianisme [Pentecôtiste]
Christianisme [Pentecôtiste]
Messages : 3682
Enregistré le : 21 nov.03, 20:38
Réponses : 0
Localisation : Canada

La formation de bassins océaniques, etc. ...

Ecrit le 02 mars04, 02:59

Message par Nickie »

Texte d'après: Gilles Bernier et qui est une continuité du déluge de Noé pas Cocotte.


[/b]5. La formation de nos bassins océaniques et la formation de nos continents et des chaînes de montagnes

Nous avons pris la liberté de fusionner quelques thèmes ici. Tout comme pour le commencement du déluge, la fin a aussi été provoquée par une intervention miraculeuse. Pour les auteurs, les sommets et les vallées n'étaient pas ce qu'ils a aujourd'hui (p. 40). Cela est encore basé sur les textes bibliques.

Un sixième texte for intéressant se trouve dans le livre de Psaumes. Ce passage poétique, tout comme plusieurs psaumes bibliques, contient aussi des éléments qui se présentent comme des faits historiques. En particulier, il fait semble-t-il référence aux événements du déluge de la Genèse, qu'on y croit ou non. Celà ressort en tout cas d'une lecture tout ce qu'il y a de plus naturelle du texte.

"Les eaux s'arrêtaient sur les montagnes;
Elles ont fui devant ta menace,
Elles se sont précipitées à la voix de ton tonnerre,
Des montagnes se sont élevées, des vallées se sont abailssées,
Au lieu que tu leur avais fixé" (Psaumes 104:6-8).


C'est dans une portion précise de ce texte que se trouverait un élément clé. Il ne décrirait pas le moment de la création, mais un évènement subséquent durant lequel un nouvel ordre (grec kosmos; ordre, arrangement, équilibre) est établi, "Des montagnes se sont élevées et des vallées se sont abaissées. Ainsi, "le Psaume 104:8 dit clairement que Dieu a surnaturellement soulevé les grandes chaînes de montagnes dans les étendues continentales, pour équilibrer les nouvelles profondeurs des bassins océaniques". (p. 42).

Qu'est-ce qui fait que ce ne soit pas une affirmation gratuite?

Contrairement à la théorie uniformiste selon laquelle les processus géomorphologiques à l'oeuvre actuellement (érosion, sédimentation, glaciation, volcanisme, et autres) ont toujours été essentiellement les mêmes, les auteurs démontreront par des données extérieures à la Bible que "la topographie globale telle que nous la voyons aujourd'hui n'a pas été formée par une succession de changements infinitésimaux tout au long de vastes périodes de temps..." (p. 42) L'uniformisme et ses changements très lents ne peut pas expliquer à lui seul tout les caractéristiques géologiques de la terre.

Leur lecture des événements anciens se comprend dans cette déclaration qui résume ce qui a été dit jusqu'à présent:

"Le déluge constitue une importante démarcation entre notre monde actuel, avec son cycle basiquement uniforme de semailles et de moisson, de froid et de chaleur, d'été et d'hiver, de jour et de nuit (Genèse 8:22), et "le monde qui fut" (2 Pierre 3:6-7), avec ses montagnes basses sans fossiles et sans glaces, son ciel sans pluie, son climat universellement chaud et humide et ses mers peu profondes" (p. 43).

Pour l'objection affirmant qu'en altitude (eau submergeant les sommets), les animaux auraient manqué d'oxygène, d'une part il y a le fait que les sommets ne dépassaient probablement pas quelques dizaines et centaines de mètres, mais surtout, la réponse à cette objection est que "c'est un fait élémentaire que la pression atmosphérique dépend de l'élévation relativement au niveau de la mer" (p. 50).

Pour la question de la datation du déluge, nous référons au livre lui-même.

Pour les considérations grammaticales en réponse aux objections à un déluge de portée mondiale, nous référons encore au livre (p. 66-70). Soulignons simplement que le déluge marque la jonction de deux sections du récit de la Genièse: 1) les chapitres 1 à 11 décrivent les origines universelles, tandis que 2) les chapitres 1 à 50 mènent vers les origines particulières de la nation hébraique (p. 67; nation qui jouera un rôle important pour la révélation du salut).

La
Creation Research Society fondée en 1963 dans le contexte du débat créationniste-évolutionniste au sein de la communauté scientifique américaine a inclus le déluge biblique et universel en ces mots dans sa profession de foi: "Le grand déluge décrit dans la Genèse, couramment appelé le déluge de Noé, a été événement historique, mondial dans son extension et dans ses effets" (Le monde qui a péri, p. 73).

Nous passons maintenant à une autre étape pour parler davantage des effets qu'aurait eu un déluge mondiale de l'importance de celui décrit dans le livre de la Genèse. Si celà est vrai, il devrait alors y avoir des traces de cet événement.

Y a-t-il des preuves extérieures à la Bible pour supporter un déluge global

Voici la réponse fournie par les auteurs du livre
Le monde qui a péri: "Ce point de vue (déluge global selon la Bible) peut aussi être vérifié hydrodynamiquement et paléontologiquement dans les couches fossilifères incroyablement vastes de chque continent, phénomène qui exige une interprétation catastrophiste plutôt qu'uniformiste" (p. 58).

Traces géologiques du déluge de la Genèse

Sur la base de Genèse 6:13, "... nous devons nous attendre à trouver partout sur le globe les effets géologiques de cette catastrophe hydraulique" (p. 79).

Partant des affirmations bibliques comme hypothèse de départ, les auteurs vont maintenant jouer le jeu et s'appliquer à les vérifier géologiquement. Si un déluge mondial durant lequel les eaux couvrirent la topographie d'alors pendant des mois n'est qu'une fable, alors les scientifiques athées n'ont absolument rien à craindre d'un tel exercice pour le moins amusant. Toutefois...

Nickie

Christianisme [Pentecôtiste]
Christianisme [Pentecôtiste]
Messages : 3682
Enregistré le : 21 nov.03, 20:38
Réponses : 0
Localisation : Canada

Ecrit le 02 mars04, 03:02

Message par Nickie »

L'apport majeur du Dr Morris pour mieux comprendre les effets du déluge

C'est particulièrement ici que l'expertise du Docteur Morris entre en scène. Celui-là est hydraulicien (spécialiste des forces hydrauliques sur les éléments naturels et les structures). On peut comprendre l'importance de l'apport de ce dernier dans le cas d'inverstigation des déclarations du déluge biblique.

Nous croyons important de résumer ses principales réalisations connues au moment où la version anglaise seulement du livre était disponible.

Henry M. Morris a obtenu son Doctorat en hydrologie et hydraulique de l'Université du Minnesata en 1950. Il est ensuite allé chercher deux licences en géologie et en mathématiques. Il a été durant 3 ans ingénieur hydrologue pour le gouvernement des États-Unies et 29 ans professeur-cherceur universitaire. Il a enseigné l'hydrologie de 1957 à 1970, et présidé le département du Génie civil à l'Istitut polytechnique de Virginie et à l'université d'État.

Parmi ses publications, citons que "Le Dr. Morris a gagné une réputation internationale par son livre intitulé Applied Hydraulics in Engineering (2e édit., co-auteur James M. Wiggert; New York; Ronald Press Co. 1972, 629 pp.) et pour ses nombreux articles dans ce domaine" (p. 83).

Loi de sélectivité hydrodynamique

Avec sa feuille de route, nous pouvons comprendre que le Dr. Morris soit capable de parler du sujet sans dire des absurdités. Voici en résumé l'apport majeur pour la vérification scientifique et la compréhension du phénomène qui nous intéresse:

"Le Dr. Morris a signalé qu'en accord avec la loi de sélectivité hydrodynamique, un déluge de l'ampleur de celui de la Genèse, avec son réseau incroyablement complexe de courants saturés de sédiments, devait nécessairement produire des couches horizontales superposées de matières sélectionnées par le mouvement des eaux selon leur gravité et sphéricité spécifiques."

"Alors qu'un courant ralentissait sa course et déposait sa charge, un suivant arrivait, peut-être d'une direction différencte, amenant d'autres types de matières et laissant sa charge sur la première couche sans la déranger. Ainsi, alors que divers courants se mouvaient à travers la terre durant les mois du déluge, une grande série de couches sédimentaires s'est formée à différents points du globe, atteignant dans certains cas des profondeurs de milliers de mètres (p.84).[/i]

Le Grand Canyon, où à perte de vue on observe un tel phénomène de couches horizontales de matériaux déposées les unes sur les autres du fond du canyon jusqu'è son sommet en est un exemple pour une région donne (p. 84-85).

Il y a des objections utilisant l'explication au moyen de grands affaissements et soulèvements régionaux nécessitant des millions d'années par couche de dépôts fluviaux dans une vaste mer gosynclinale. Morris répond que celà est inconcevable.

"...les strates (couches ainsi formées) n'auraient pas pu rester si uniformes et horizontales sur d'aussi grandes surfaces et pendant de si longues périodes de temps, tout en subissant des mouvements si répétés et vastes" (p.85).

Pour son argument additionnel des principes d'hydrodynamiques relativement aucreusage de méandres profonds en fonction de la dureté du sol sous-jacent, nous référons le lecteur à la page 85 du livre. En résumé, pour que le fleuve Colorado creuse profondément tout en faisant des méandres, il fallait que ce soit "alors que les couches horizontales sédimentaires étaient encore tendres et non consolidées". (John N. Moore et Slusher, cités dans Whitcomb et Morris. p. 85).

Les auteurs citent aussi le Dr. Clifford Burdic, géologue ayant étudié les formations du Grand Canyon durant des années; citation un peu trop complexe pour être cités intégralement ici car elle concerne toute la question de la théorie des âges géologiques des couches terrestres. Mentionnons simplement ce court extrait: "la formation Redwale qui appartient au mississipien inférieur, repose sur de la plaine à chaux du Cambrien muav, ce qui autrement dit représente une lacune dans le temps de plus de 50,000,000 (50 millions) d'années" (p. 88).

Il ajoute: "Nous nous attendrion (...) à trouver les effets d'une érosion très longue et peut-être des plissements et des replis avec discordance angulaire, mais que trouvons-nous vraiment? L'apparition d'une série de couches parfaitement conformes, déposée dans une succession assez rapide. Ce fait provoque assurément l'étonnement" (Dr C. Burdick, cité dans Whitcomb et Morris, p. 88).[/b]

Nickie

Christianisme [Pentecôtiste]
Christianisme [Pentecôtiste]
Messages : 3682
Enregistré le : 21 nov.03, 20:38
Réponses : 0
Localisation : Canada

Ecrit le 02 mars04, 03:49

Message par Nickie »

Que nous apprennent les couches fossilifères?

Que peut-on tirer des découvertes de la paléontologie? Un argument pour le moindre "massue" débute cette section. On n'observe actuellement aucun endroit dans le monde où se produise une fossilisation à grande échelle comme celà a été le cas dans le passé.

Fossiles marins

"Quand les poissons meurent dans les océans, ils ne coulent pas au fond et n'y deviennent pas des fossiles.." (p. 89).

Fossiles terrestres

Voici un autre argument remettant en question la conservation théorique de fossiles terrestres durant des millions d'années. Voici ce que dit Dunbar à ce sujet: "Les carcasses de buffles, éparpillées sur les plaines par millions, il y a deux générations ont é peine laissé une trace de leur présence. La chair a été dévorée par les loups ou les voutours (...) les os s'étant dissous en pussière sous les attaques des intempéries" (Carl O. Dunbar, Historical Geology, Wiley and Sons, New York, p. 39 cité dans Whithcom et Morris, p. 89).

Il y a donc un contraste évident entre le manque de fossilisation observé aujourd'hui et "la quantité quasiment incroyable de fossilisation qui s'est produit par le passé" (p. 89).

Paradoxalement, "lorsque Vitus Bering, l'explorateur danois de l'Artique visita ... de Bear, au nord de la Sibérie, dans l'Océan Artique, il explique qu'elle était composée de deux ingrédients: des restes de mamouths et du sable" (p. 90, en légende de la photo de la page 91).

Selon les explorateurs les restes de mamouths abondaient aussi en Russie: "Pall affirme qu'il n'y avait pas un seul lit de rivière en Russie, depuis le Don jusqu'au Détroit de Bering, qui n'en contint" (p. 90" Ce qui étonne davantage, c'est l'état de conservation de certains d'entre eux qui ne peut s'expliquer simplement par un refroidissment progressif: "... beaucoup d'entre eux gelés instantanément et conservés intacts et sans dommage, certains d'entre eux se tenant dbout ou agenouillés" (p. 92).

Ivan T. Sanderson, un zoologiste éminent qui a étudié le phénomène des mamouth durant plusieurs années confirme des cas semblables difficiles à expliquer sans une approche catastrophiste. Par exemple, ce mamouth conserévé debout, avec une hanche cassée mais parfait quant à son aspect extérieur, sans que sa fourrure ne soit endommagée ni déchirée, mais surtout conservé à son état frais avec des membres comme de son vivant. Même le contenu de l'estomac était intact ainsi que les renoncules sur la langue (p. 92)

Selon Whitcomb et Morris,

"... pour congeler des animaux de cette taille en évitant que de grands cristaux ne se forment dans les cellules de leur corps, des températures de 100 degré C au-dessous de zéro devaient les saisir instantanément. De telles condition peuvent très bien avoir existé en divers endroits et à de hautes latitude (c'est à dire très au nord) lors des premiers stades de l'effondrement de la voûte de vapeur antédiluvienne (Genèse 7:11)".

Charles Lyell (le père de la théorie des âges géologiques) a tenté d'expliquer cette situation par un mamouth qui aurait été surpris par un coup de froid en nageant, mais celà ne concordait pas avec les données observées. "Darwin connaissait lui aussi l'histoire et admit qu'il ne voyait aucune solution au problème" (cité par Norman Macbeth, Darwin Retried, Gambit inc., Boston, 1971. p.115, cité par Whitcomb et Morris, p. 93)

Tel qu'expliqué précédemment, le déluge aurait mis fin brusquement à un ordre équilibré selon leque il existait une sorte d'effet de serre qui ne connaissait pas les précipitations comme nous les connaissons aujourd'hui. Un tel effet de serre concorde avec l'existence de fossiles de flore tropicale et subtropicale trouvés au nord dans des régions aujourd'hui tempérée et même arctiques. La chute de cett voûte aurait alors provoqué de grands courants de vents avec des portions du globe à des températures glaciales, des courants marins et des transportements de faunes en péril (ex. hanche cassée du mamouth). Il devient intéressant ici de savoir que d'autres explorateurs ont signalé le fait inattendu que "plus on va vers le Nord, plus on trouve de restes de mamouths" (p. 91).

D'autres indices témoigneraient d'un tel déplacement soudain, massif dû à une catastrophe. "Dans le comté de Lincoln, Wyomin, des spécimens presque parfaits de poissons, de tortues, d'insectes et de mamifères ont été trouvés réunis avec d'immenses feuilles de palmiers de 2 à 2,5m. de long et 1 à 1.2 mètres de large" (p. 93).

Nickie

Christianisme [Pentecôtiste]
Christianisme [Pentecôtiste]
Messages : 3682
Enregistré le : 21 nov.03, 20:38
Réponses : 0
Localisation : Canada

Ecrit le 02 mars04, 04:07

Message par Nickie »

Énergie fossile: le charbon

Le charbon provient de l'accumulation et de la compression en un même lieu souterrain de grandes quantités de matières végétales. Chaque mètre de charbon requi plusieurs mètres de plantes compressées et quelques unes de ces couches de charbon ont de 9 à 12 mètres d'épaisseur (p. 93).

Comme pour les autres fossiles,

"..il n'existe plus aujourd'hui de processus semblable de formation de charbon et la théorie dite des "tourbière" n'est qu'une pauvre tentative de résoudre le problèe (...) Le "Dismal Swamp" de Virginie, qui est peut-être le cas le plus souvent cité d'une veine potentielle de charbon, n'a produit qu'une tourbe d'une moyenne de 2m., (...) On ne connait aucune région où le lit de tourbe, dans sa partie la plus profonde, soit devenu une mine typique de charbon. Toutes les mines de charbon semblent par conséquent avoit été formées par le passé et ne continuent pas à être formées dans le présent, alors que selon le principe de l'uniformité on s'attendrait à ce qu'elles se forment encore aujourd'hui" (p. 93-96).

Autre fait intéressant, le continent polaire occidental (côte gelée) avait autrefois un climat chaud et humide avec une abondante végétation. Celà est démontré par "la découverte de grandes quantités de charbon et de bois pétrifié" (National Geographic Magazine, fév. 1963, p. 288, 296 et nov. 1971, p. 653, cité parWhitcomb et Morris, p. 94). Certains des troncs d'arbres pétrifiés à la verticale qui se trouve dans les strates superposées du sol Arcttique, entourés de plusieurs couches de matériaux déposés et consolidés avec le temps démontrent que ces couches et les matériaux se sont superposées dans un court laps de temps.

Il a en plus été démontré expérimentalement que la formation de charbon a pu se faire en un temps très court, contrairement à la théorie uniformiste. Celà a été "démontré par les expériences du Dr. Goeroge R. Hill, du College of Mines and Mineral INdustries de l'université de l'Utah. Son rapport a été publé dans Chem Tech, mai 1972, p. 296" (p. 95).

Voci la réponse à la théorie uniformiste concernant la formation des continents et des grandes chaînes de montagnes. Nous nous contenterons de citer un extrait:

"Les grandes chaînes de montagnes donnent toute évidence d'avoir été poussées soudainement vers le heut à une époque relativement récente (...) l'uniformisme ne peut pas expliquer l'origine des géosynclinaux, l'affaissement continuel nécessaire à l'accumulation de hauteurs considérables de sédiments, les régions d'où ces grands volumes de sédiments ont dû être rodés et le soulèvement et la déformation de ces géosynclianux pour former les actuelles chaînes de montagnes. Il ne peut pas non plus expliquer l'existence de grandes pénéplaines, de canyons ou de coulées desséchées, de vallées suspendues, de chutes d'eau taries et de bassins aux rebords rocheurx" (p. 98).

En fait, le livre présente beaucoup d'autres arguments que nous ne pouvons pas exposer ici. Mais on pourrait parler encore d'autres cas où la science a erré, par exemple en disant qu'il faut de très longues périodes pour former des stalactites (ces espèces de cônes calcaires) dans les grottes. À preuve, ils fournissent une photopraphie prise sous la structure du monument du président Lincoln et montre une stalactite formée en quelques décennies. Celle-ci est encore de faible diamèetres, mais de bonne longueur lors de sa découverte, démontre que nul n'est besoin de millions d'années ou même de dizaine de milliers d'années.

Répondre
  • Sujets similaires
    Réponses
    Vues
    Dernier message

Retourner vers « Sciences et Religions »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 2 invités