les mansukhs et les nasikhs
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
- Simplement moi
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- catherine
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Ecrit le 16 déc.04, 03:47
Pour les chrétiens aussi Dieu est unique. C'est un Dieu unique qui se manifeste en trois personnes.eslokehay a écrit :t sur caterine que le dieu des muslims n est pas celui des chretiens?
justement pour les musulmans non dieu est unik il n a pas d egal ni associes
Les chrétiens n'adorent pas 3 dieux mais un seul.
- catherine
- sarfati
Ecrit le 16 déc.04, 04:23
dd le cousin d'hitler le catholique à ecrit:
comme tes cousins les croisés envoyés par le caliph du christ urbain II pour cramer
20 milles juifs dans les synagogues à jerusalem la ville de la paix
comme ton cousin germain catholique hitlerqui a brulé 6 millions de juifs entre 1939 et 1945 :1 million par andesertdweller a écrit :Quand on avance des sujets qui brulent les musulmans, ?
comme tes cousins les croisés envoyés par le caliph du christ urbain II pour cramer
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Ecrit le 16 déc.04, 04:47
Je ne pense pas me tromper en disant que tu es excessif dans tes propos et cela d'un façon insistante et répétée et que tu mériterais il me semble d'après les règles de ce lieu d'échange que l'on te tire un peu les oreilles.sarfati a écrit :dd le cousin d'hitler le catholique à ecrit:
comme ton cousin germain catholique hitlerqui a brulé 6 millions de juifs entre 1939 et 1945 :1 million par an
comme tes cousins les croisés envoyés par le caliph du christ urbain II pour cramer
20 milles juifs dans les synagogues à jerusalem la ville de la paix
- catherine
Ecrit le 16 déc.04, 04:53
bof, saladin fait encore des siennes c'est tout.Simplement moi a écrit : Je ne pense pas me tromper en disant que tu es excessif dans tes propos et cela d'un façon insistante et répétée et que tu mériterais il me semble d'après les règles de ce lieu d'échange que l'on te tire un peu les oreilles.
- sarfati
Ecrit le 16 déc.04, 05:13
sa te gene pas qu'il brule pluseiurs fois les fesses de musulmans ça fais la nieme fois qu'il dit çaSimplement moi a écrit : Je ne pense pas me tromper en disant que tu es excessif dans tes propos et cela d'un façon insistante et répétée et que tu mériterais il me semble d'après les règles de ce lieu d'échange que l'on te tire un peu les oreilles.
on sait tous que les fesses des musulmans c'est son morceau preferé à maara
au banquet du diable en l'an de grace 1099 ils preferent les fesses des musulmans en merghez
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Ecrit le 16 déc.04, 05:20
Moi en effet je préfère les fesses des musulmanessarfati a écrit : sa te gene pas qu'il brule pluseiurs fois les fesses de musulmans ça fais la nieme fois qu'il dit ça
on sait tous que les fesses des musulmans c'est son morceau preferé à maara
au banquet du diable en l'an de grace 1099 ils preferent les fesses des musulmans en merghez
(et les merguez à part ! ) Je vais mettre un petit mot au père Noël... on ne sait jamais
Mais tu as mal lu... ce n'est pas les musulmans qui "brûlent" mais le sujet de la discussion a laquelle se réfère DDW... qui brûle (qui est d'actualité, qui gêne, qui est sur le tapis... etc... )
- nouredinezinki
TINTIN SALADIN & SARFATI VICTIMES DE LA CENSURE
Ecrit le 16 déc.04, 05:38<img src="http://www.free-tintin.net/dessins/or_g.jpg" align="left">Entamé en 1939, interrompu par la guerre, puis achevé en 1948, "Tintin au pays de l'or noir" n'était connu du grand public que dans sa version de 1971, largement édulcorée. L'édition de 1948, la seule et unique pour les Tintinophiles, demeurait introuvable.
Redessiné, remanié et réécrit à trois reprises, Tintin au pays de l'or noir est véritablement l'album maudit d'Hergé. Son histoire secrète, douloureuse et complexe, éclaire l'oeuvre et le travail du dessinateur sous un jour passionnant.
N'empêche, Hergé n'en a pas fini avec l'Or noir. Il décide de reprendre le fil de son intrigue moyen-orientale en 1948 dans les pages du journal Tintin. «Cette histoire reste fortement marquée tant sur le plan historique que politique, explique Etienne Pollet, spécialiste de Tintin aux éditions Casterman. Selon moi, cet épisode est même crucial dans l'oeuvre d'Hergé. Ce n'est pas par hasard s'il a été redessiné trois fois. Dans les deux premières versions, celles de 1939 et de1948, Hergé s'y montre visionnaire, abordant avec justesse les tensions tripartites entre Anglais, Arabes et Juifs au Moyen-Orient. En envoyant Tintin en Arabie, il sent intuitivement que la question pétrolière est liée à l'équilibre mondial.»
En effet, au moment où recommence cette aventure, la situation internationale reste explosive. En mai 1948, l'Etat d'Israël est apparu sur la carte du Moyen-Orient, en dépit de l'opposition farouche de tous ses voisins arabes. De fortes tensions internationales sont enregistrées en Palestine, toujours sous protectorat britannique. L'Or noir a plus que jamais une patrie, l'Arabie.
A l'orée des années 50, Hergé remanie le début de son intrigue. Dans la version de 1939, un complot allemand emmené par le docteur Müller cherchait à saboter les réserves pétrolières de l'ennemi afin de paralyser ses moyens militaires. Hergé s'appuie sur cette base scénaristique. Arrivé à Haïfa, plaque tournante pétrolière et centre de l'émigration de la Palestine, il fait arrêter Tintin par la Royal Navy. Ce passage, célèbre, a beaucoup marqué les lecteurs de l'époque.
Dans les versions de 1939 et de 1948, Tintin, encadré par deux soldats écossais au kilt reconnaissable, est soudain enlevé par un commando d'activistes de l'Irgoun qui l'ont malencontreusement confondu avec Salomon Goldstein (Finkelstein dans la version 1939), l'un des leurs.
Des modifications de taille interviennent entre la version noir et blanc, datant de 1939, et celle de 1948 en couleur. Dans la première version, après le sabotage du pipe-line par un certain professeur Smith, alias Müller, on voit apparaître des automitrailleuses anglaises envoyées d'urgence sur les lieux de l'explosion. Dans la version de 1948, ces véhicules militaires sont transformés en «équipes de secours». Tintin, abandonné dans le désert par le cheik Bab El Ehr, trouve de l'eau grâce à une baguette de sourcier bricolée à partir d'une baleine de parapluie ! Cette fantaisie hergéenne disparaît dans la version de 1948.
On pourrait penser que Tintin au pays de l'or noir en a fini avec les remaniements. C'est sans compter avec l'éditeur londonien de Tintin. A l'instar de l'Ile noire, cette aventure va donc connaître une troisième version, celle de 1971. «Les éditions Metuen trouvent que le contexte international de l'aventure, la Palestine sous mandat britannique, est trop daté», écrit Michael Farr dans Tintin, le rêve et la réalité (éditions Moulinsart). Ils souhaitent alors qu'Hergé modernise l'album dans un environnement arabe imaginaire. »
Oubliée, donc, l'arrestation de Tintin par les soldats de la Royal Navy ; fini l'enlèvement de Tintin par les membres de l'Irgoun ; exit l'apparition du commandant britannique Thorpe ! La refonte de 1971 édulcore tout le contexte de tension internationale dans le Moyen-Orient.
Bob de Moor redessine le pétrolier Speedolstar et les décors portuaires ancrés par Hergé en 1948. Hergé fait également disparaître les inscriptions arabes fantaisistes se trouvant sur la couverture et dans l'album.
«La réforme de l'Or noir s'inscrit dans la volonté d'internationaliser son oeuvre, conclut Etienne Pollet. On peut aujourd'hui le regretter. Car si tout est parfait dans la version définitive, on perd un peu le trait hergéen et cette sorte d'insouciance tant graphique que scénographique qui font le génie d'un grand créateur.»
http://www.objectiftintin.com/whatsnew_ ... 1180.lasso
Redessiné, remanié et réécrit à trois reprises, Tintin au pays de l'or noir est véritablement l'album maudit d'Hergé. Son histoire secrète, douloureuse et complexe, éclaire l'oeuvre et le travail du dessinateur sous un jour passionnant.
N'empêche, Hergé n'en a pas fini avec l'Or noir. Il décide de reprendre le fil de son intrigue moyen-orientale en 1948 dans les pages du journal Tintin. «Cette histoire reste fortement marquée tant sur le plan historique que politique, explique Etienne Pollet, spécialiste de Tintin aux éditions Casterman. Selon moi, cet épisode est même crucial dans l'oeuvre d'Hergé. Ce n'est pas par hasard s'il a été redessiné trois fois. Dans les deux premières versions, celles de 1939 et de1948, Hergé s'y montre visionnaire, abordant avec justesse les tensions tripartites entre Anglais, Arabes et Juifs au Moyen-Orient. En envoyant Tintin en Arabie, il sent intuitivement que la question pétrolière est liée à l'équilibre mondial.»
En effet, au moment où recommence cette aventure, la situation internationale reste explosive. En mai 1948, l'Etat d'Israël est apparu sur la carte du Moyen-Orient, en dépit de l'opposition farouche de tous ses voisins arabes. De fortes tensions internationales sont enregistrées en Palestine, toujours sous protectorat britannique. L'Or noir a plus que jamais une patrie, l'Arabie.
A l'orée des années 50, Hergé remanie le début de son intrigue. Dans la version de 1939, un complot allemand emmené par le docteur Müller cherchait à saboter les réserves pétrolières de l'ennemi afin de paralyser ses moyens militaires. Hergé s'appuie sur cette base scénaristique. Arrivé à Haïfa, plaque tournante pétrolière et centre de l'émigration de la Palestine, il fait arrêter Tintin par la Royal Navy. Ce passage, célèbre, a beaucoup marqué les lecteurs de l'époque.
Dans les versions de 1939 et de 1948, Tintin, encadré par deux soldats écossais au kilt reconnaissable, est soudain enlevé par un commando d'activistes de l'Irgoun qui l'ont malencontreusement confondu avec Salomon Goldstein (Finkelstein dans la version 1939), l'un des leurs.
Des modifications de taille interviennent entre la version noir et blanc, datant de 1939, et celle de 1948 en couleur. Dans la première version, après le sabotage du pipe-line par un certain professeur Smith, alias Müller, on voit apparaître des automitrailleuses anglaises envoyées d'urgence sur les lieux de l'explosion. Dans la version de 1948, ces véhicules militaires sont transformés en «équipes de secours». Tintin, abandonné dans le désert par le cheik Bab El Ehr, trouve de l'eau grâce à une baguette de sourcier bricolée à partir d'une baleine de parapluie ! Cette fantaisie hergéenne disparaît dans la version de 1948.
On pourrait penser que Tintin au pays de l'or noir en a fini avec les remaniements. C'est sans compter avec l'éditeur londonien de Tintin. A l'instar de l'Ile noire, cette aventure va donc connaître une troisième version, celle de 1971. «Les éditions Metuen trouvent que le contexte international de l'aventure, la Palestine sous mandat britannique, est trop daté», écrit Michael Farr dans Tintin, le rêve et la réalité (éditions Moulinsart). Ils souhaitent alors qu'Hergé modernise l'album dans un environnement arabe imaginaire. »
Oubliée, donc, l'arrestation de Tintin par les soldats de la Royal Navy ; fini l'enlèvement de Tintin par les membres de l'Irgoun ; exit l'apparition du commandant britannique Thorpe ! La refonte de 1971 édulcore tout le contexte de tension internationale dans le Moyen-Orient.
Bob de Moor redessine le pétrolier Speedolstar et les décors portuaires ancrés par Hergé en 1948. Hergé fait également disparaître les inscriptions arabes fantaisistes se trouvant sur la couverture et dans l'album.
«La réforme de l'Or noir s'inscrit dans la volonté d'internationaliser son oeuvre, conclut Etienne Pollet. On peut aujourd'hui le regretter. Car si tout est parfait dans la version définitive, on perd un peu le trait hergéen et cette sorte d'insouciance tant graphique que scénographique qui font le génie d'un grand créateur.»
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Ecrit le 16 déc.04, 05:48
Ce n'est pas l'avis de tous les musulmans:eslokehay a écrit :la chahada en entier dit(plus ou moins):je crois en dieu ,a muhammad comme prophete,aux prophetes(l islam parle de + de 120000 prophetes descendu sur chaque nations),au jugement dernier,au paradis ,a l enfer au anges etc je na me rapelle pas de tout
EN VRAC sur « LES MUSULMANS ACTUELS » par
DR. RASHAD KHALIFA (celui du miracle numérique du Coran auquel vous croyez tant)
- L'HOMME, SON MESSAGE ET LA VÉRITÉ
--------------------------------------------------------------------------------
Les idolâtres qui ne reconnaissent pas le premier de l'Islam comme on peut le lire dans le verset [3:18] n'ont pas le droit de prononcer la vraie Shahadah.
Ils sont tout simplement incapable de dire "Ash-hadou Allaa Elaaha Ellaa Allah" (Il n'y a de Dieu que Dieu) sans mentionner le nom de Mohammed.
Essayez avec n'importe quel idolâtre qui prétend être Musulman.
Mettez les au défi de dire : "Ash-hadou Allaa Elaaha Ellaa Allah." Ils n'y arriveront pas.
Étant donné que l'Islam est la religion d'Abraham [2:130, 135], [3:95], [4:125], [ 6:161], [12:37-38], [16:123], [22:78] & Appendice 9), la SEULE Shahadah à prononcer est "LAA ELAAHA ELLAA ALLAH (Il n'y a de dieu que Dieu). Mohammed n'était pas encore de ce monde à l'époque d'Abraham.
UN BLASPHÈME GRAVE
Il n'existe pas de blasphème plus grave que de déformer le Coran pour idolâtrer le Prophète Mohammed contre sa volonté.
Le verset 19 de la Sourate intitulé Mohammed [47:19] dit "Tu sauras qu'il n'y a de dieu que Dieu.En utilisant le style calligraphique du Coran, les éditeurs ont ajouté la phrase "Muhammad Rasoul Allah" (Mohammed est le messager de Dieu) de telle manière à ce qu'elle donne la fausse impression que c'est ce que dit le verset [47:19].
Quel blasphème !
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