jusmon de M. & K. a écrit :
Si tu n'étais pas modo et
(censurerfranjuant)
, je te traiterais d'âne.
Il ne faut pas être très intelligent pour s'évertuer de vouloir toujours le dernier mot avec les musulmans comme tu le fais; en plus ils se fichent de ce que tu dis.
Jusmon... tu t'énerves en effet... juste comme un musulman

qui mis en face de la vérité de ses textes... qu'il n'admet pas... ne trouve comme autre solution pour se defouler que d'employer des termes incorrects envers son interlocuteur.
Et je te signale que c'est avec toi que je parle pas à un musulman... et que les houris... t'en connais un rayon... au point qu'à chaque fois que TOI tu ne sais plus quoi répondre aux musulmans tu leur parles d'elles...
Quant à l'intelligence... laissons juger celui en qui tu crois

Ce sera bien plus équitable
Et puis il n'est pas question de "vouloir" avoir raison...
mais de raison vouloir garder... 
à la lumière de l'Histoire et des textes auxquels on se réfère.
Revenons au texte donc... que tu me remets comme "preuve absolue"
jusmon de M. & K. a écrit :
" Alors Saraï, femme d'Abram, prit Agar, l'Égyptienne, sa servante, et la donna pour femme à Abram, son mari, après qu'Abram eut habité dix années dans le pays de Canaan." (Gen.16:3).
Agar fut donnée pour femme à Abraham, non comme esclave sexuelle.
Abraham consulta très certainement l'Eternel pour avoir la confirmation que prendre Agar pour femme était approuvé de Dieu.
Incroyable que je doive te reprocher aussi de ne point TOUT LIRE des textes auxquels tu crois !!!
Surtout qu'en le faisant tu me permets de te répondre de façon "intelligente" voir si le "bonnet" que tu coiffes était superflu ou tout à fait justifié :
Genèse 16
1 Saraï, l'épouse d'Abram, ne lui avait pas donné d'enfant. Mais elle avait une esclave égyptienne nommée Agar.
2 Elle dit à Abram:
---Tu vois que l'Eternel m'a empêchée d'avoir des enfants[a]. Va donc vers ma servante: peut-être aurai-je un fils par son intermédiaire. Abram suivit le conseil de sa femme.
3 Saraï, femme d'Abram, prit donc sa servante Agar et la donna pour femme à Abram, son mari. Il y avait alors dix ans qu'Abram séjournait au pays de Canaan.
4 Il s'unit à Agar et elle devint enceinte.
Quand elle vit qu'elle attendait un enfant, elle se mit à mépriser sa maîtresse.
5 Alors Saraï dit à Abram:
---C'est toi qui es responsable de l'injure qui m'est faite. J'ai poussé ma servante dans tes bras et depuis qu'elle s'est vue enceinte, elle me méprise. Que l'Eternel soit juge entre nous.
6 Abram lui répondit:
---Ta servante est en ton pouvoir. Agis envers elle comme bon te semblera.
Alors Saraï la traita si durement que celle-ci s'enfuit.
Clairement explicité que la servante sert exclusivement a faire un enfant, conformément à la coutûme de l'époque d'ailleurs.
Voici les données qui te manquent et notoirement reconnues par tout théologue informé:
Nous avons déjà évoqué les tablettes découvertes à Nuzi, ville horienne au nord-est de la Mésopotamie. Les coutumes sociales qu'elles attestent permettent de mieux comprendre certains faits et gestes d'Abraham et de ses descendants. Abraham, n'ayant pas d'enfant, avait choisi son serviteur Eliézer de Damas comme héritier (Genèse 15:2). Plusieurs textes de Nuzi mentionnent des modèles d'adoption. La loi horienne interdisait aussi la vente directe de terres, d'où le transfert par héritage. Le droit de propriété était transféré souvent sous le couvert de l'adoption d'esclaves qui devenaient héritiers des propriétaires terriens.
A Nuzi, le contrat de mariage obligeait une femme stérile à présenter à son mari une esclave pour concevoir des enfants avec elle. Si l'esclave accouchait d'un fils, la femme légitime avait le droit de le considérer comme le sien (Genèse 16:2). D'autre part, la loi de Nuzi comprenait une clause selon laquelle le fils de la femme esclave devenu héritier occuperait la deuxième place s'il naissait plus tard un fils à la femme du maître. Il ne devait cependant pas être renié et avait sa part d'héritage. Selon la loi de Nuzi, Ismaël était l'héritier d'Abraham jusqu'à la naissance d'Isaac. Il devint ensuite le deuxième fils du patriarche, mais ne pouvait pas être renié. D'où la peur d'Abraham, quand Sara chassa Agar et Ismaël (Genèse 21:8-11).
http://www.egliselutherienne.org/biblio ... MoAT_4.htm
Bonne lecture... pieuse.
Quant à la consultation auprès des autorités supérieures

"Dieu" en l'occurrence c'est sans doute encore un jusmonisme car cela n'est indiqué nulle part... ne vous en déplaise mon cher.