Maximilien a écrit : ↑11 août19, 07:42
À partir de combien de participants une conversation privée devient-elle publique ? À partir de combien de bougies à table un dîner entre amis devient-il cérémoniel ? Et combien de temps met le fût du canon pour se refroidir lorsque l’obus est sorti du canon ?
Je réitère mon exemple :
Once upon a time, un homme très bon et très généreux, comme il n'aimait pas la pauvreté qu'il voyait, il décida avec son unique enfant d'adopter d'autres enfants, des fils et des filles.
Un jour un enfant qu'il avait remarqué fit la promesse solennelle devant lui et devant son fils de vouloir faire partie de sa famille et de faire sa volonté en obéissant à son fils unique.
L'homme écoutait ainsi que son fils, tout joyeux qu'ils étaient de pouvoir l'adopter, car ils étaient riches de toutes bonnes choses. Mais pour cela, il fallait que l'enfant passe un petit rituel, et fasse connaître aux autres fils et filles déjà adoptés qu'il désirait faire partie de la famille, en sa présence et en la présence de son fils.
L'enfant passe ainsi le rituel. A votre avis, l'enfant a-t-il refait une promesse ou juste fait connaître aux fils adoptifs et aux filles adoptives son engagement personnel qu'il avait déjà pris devant l'homme et son fils ? Son engagement né du désir de faire partie de cette si belle famille ?
Un homme, un jour, entend parler d'un peuple riche de bonnes choses, qui ne vit pas dans la faim et dont le pays est luxuriant. Intrigué il va s'informer auprès des gens de ce peuple, afin de mieux le connaître. Il apprend que le grand roi de ce peuple est merveilleux et qu'il fait toutes choses avec sagesse. Alors il cherche à mieux connaître ce grand roi et il apprend entre autre qu'il a un fils héritier de tout.
Par la suite il décide de rejoindre ce peuple qu'il trouve très très bon. Il va alors vers le roi pour demander audience devant lui et son assemblée. Devant le trône de la grâce du grand roi (celles où les requêtes solennelles sont faites) avec son fils à sa droite et l'assemblée de la cour, il fait sa promesse de le servir et de rejoindre son peuple, pour faire sa volonté. Ce roi aime les gens, et il ne désire qu'une chose, c'est que les gens apprennent à la connaître et son fils qu'il a mis comme ambassadeur. Le roi et le fils et toute la cour se réjouissaient de cela. Il lui dit alors : "Fais m'en la demande devant mon peuple, celle d'une bonne conscience car mon peuple est un peuple droit qui ne marche pas dans le travers des nations, et ensuite tu devras me servir tous les jours de ta vie et je te bénirai abondamment, tu n'aurais plus jamais faim, ni jamais soif et la chaleur ardente du soleil ne te frappera plus."
Que fit l'homme ? Il alla vers le peuple, et devant lui il fit sa demande d'une bonne conscience, sous le regard du roi, de son fils et de la cour du roi, afin de pouvoir servir pleinement ce roi et son fils pour la vie. C'est alors qu'on entendit une grande clameur de cris de joie qui provenaient de l'endroit où était le trône et la cour du roi ...
Moi aussi je pense à une autre conclusion possible; maximilien, vous faites du projectivisme sur les TJ, appliquant votre propre cas sur eux, afin de vous disculper quant à votre conscience qui doit être plutôt morte sous ce rapport.
