texte porno pédo pouah!!
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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- issa
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Ecrit le 06 mai04, 07:31
ah ben ca va savoir ,c est ton texte pas le mien j en ai pas garder de copie tu penses bien
pour les hadith il n ya pas de mal c est simplement une revelation qui enseigne ce qui est permis de faire et ce qui ne les pas tout simplement le fait qu il parle d ejaculation ce n est pas choquant ,c est naturel les homme sont crées comme ca,on est tous né a la suite de ca et le hadith explique juste ce qu il y a lieu de faire dans ce cas tout simplement l islam couvre toutes les partie de la vie aucune question ne peut rester sans reponses (sauf bien sur celle touchant a l invisible (el gahyib)
pour les hadith il n ya pas de mal c est simplement une revelation qui enseigne ce qui est permis de faire et ce qui ne les pas tout simplement le fait qu il parle d ejaculation ce n est pas choquant ,c est naturel les homme sont crées comme ca,on est tous né a la suite de ca et le hadith explique juste ce qu il y a lieu de faire dans ce cas tout simplement l islam couvre toutes les partie de la vie aucune question ne peut rester sans reponses (sauf bien sur celle touchant a l invisible (el gahyib)
- kate
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Ecrit le 06 mai04, 21:08
Tout de même, je me demande ce qui est indiqué quand un homme a souvent des éjaculations précoces.youssef__abdouallah a écrit :kate jene sais pas si tu es coincé, mais ici en fait ,comme la plupart des hadiths est d'enseigner les choses de la religion,et ceci en fait partie (cf l'AT ).
Sagissant ici de revelation (pour nous autres musulmans du moins) il n'y a aucune honte à parler de ces choses la, au contraire,pour qui nous nous prendrions si nous le faisions pas, et oui sur cette terre nous faisons d'une partie de nos nouriture des excrements, nous transpirons, et sommes né d'une vile goutte de sperme,puis sortons du ventre de notre mere par la ou vous savez(la c mon degré perso de pudeur qui m'en empeche d'expliciter).

Ben quoi, les hadiths donnent peut-être un remède.

Les hommes que j'ai connus n'avaient pas ce problème, mais, en vieillissant par exemple, peut-être l'auront-ils ?

Modifié en dernier par kate le 08 mai04, 02:04, modifié 1 fois.
- Medhi el dar el kufr
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Ecrit le 07 mai04, 01:55
Je ne vois pas ce qu'il y a de calomnieux dans mon message c'est les faits. Mahomet regardait des gamines jouées c'est aussi rapporté dans boukhari Hadith: Volume 8, livre 73, N° 151 http://www.usc.edu/dept/MSA/fundamental ... 3.sbt.htmlyoussef__abdouallah a écrit :toujours pres à deformer les choses or de son contexte!!!!
sachez que ce hadiths fait reference à la possibilité de prier avec un vetement souillé de sperme apres l'avoir nétoyé.
Ainsi aicha argumente cela en donnant cet exemple de sa vie d'epouse avec le prophete(sws)
voila le hadith:
Le récit de `A'icha (qu'Allah soit satisfait d'elle):
D'après `Alqama, un homme passa la nuit à la maison de `A'icha. Au matin, quand il se réveilla, il se mit à laver ses habits (car il avait eu des pollutions nocturnes). L'ayant vu, `A'icha lui dit: "Si tu vois la tache, lave-la; sinon, asperge d'eau l'endroit (que tu crois souillé) de tes habits. Je me souviens encore d'avoir frotter à sec les taches (de l'éjaculation) des habits du Prophète (pbAsl) qui alla ensuite prier; vêtu de ces mêmes habits".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 434
et qd à la poupée c UN AUTRE HADITH!! :
`A'icha (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit qu’
elle jouait à la poupée chez l'Envoyé d'Allah (pbAsl). Elle a ajouté: "j'avais des amies qui venaient jouer avec moi. Quand l'Envoyé d'Allah (pbAsl) entrait, elles se cachaient de lui par timidité et l'Envoyé d'Allah (pbAsl) envoyait quelqu'un les chercher pour continuer à jouer avec moi".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 4470
et enfin pour mettre fin à toutes calomnies:
sahih muslim 116:
il a été rapporté sous l'autorité d'Ibn 'Umar que l'apôtre (que la paix et les bénédictions soient sur lui) a dit : Quand un homme appelle son frère un mecreant, il revient (au moins) à l'un d'entre eux de l'etre (vraiment).
tout comme le fait qu'elle nettoyait ses vêtements tâchés pour qu'ils puissent aller à la prière mais là la traduction différe un peu de la tienne
boukhari Volume 1, livre 4,n° 229
http://www.usc.edu/dept/MSA/fundamental ... 4.sbt.html<<Aisha a relaté : J'avais l'habitude de laver les traces de Janaba (sperme) des vêtements du prophète (Mahomet) et il avait l'habitude d'aller à la prière avec de l'eau encore dessus. (les traces d'eau étaient encore visibles).>>
Ecrit le 08 mai04, 02:00
Ne calomnions plus Mohamed. Il n'était pas pédophile. Il a juste pris sa virginité a une fillette jouant à la poupée et à la balançoire, âgée d'à peine 9 ans. Lui était un homme paraissant aussi très très jeune, malgré ses 53, il était encore beau gosse, et comme Aicha faisait déjà femme malgré son enfance encore innocente, et qu'en plus elle ne s'est pas débattue, on ne peut pas parler de pédophilie. Encore moins de viol organisé par des adultes comme dans les sectes d'aujourd'hui.
Il faut arrêter de calomnier le pauvre Mohamed. Grâce à Issa (Paix et salut sur lui aussi), nous savons maintenant que Mohamed était le plus parfait humain dans l'Histoire de l'humanité. Jamais il n'aurait pu être prophête d'Allah s'il n'avait les qualité pour ce faire. Viril comme trente hommes devant une femme comme nous le disent les hadiths, Grand chef de guerre Nabi Al Malhama, pour combattre les méchants kafiroun qui ne méritent pas de vivre où qu'ils se trouvent, bon organisateur-comptable pour gérer les biens pris aux mécréants dont une sourate lui accorde une part supérieure à celle de ses soldats etc.
Aussi Medhi Del Dar El Kufr, donne toutes les preuves que tu veux de la pédophile de Mohamed et de sa cruauté guerrière. Issa même sans avoir besoin de se fatiguer à te prouver que tu as tort décide que tu as tort. Il est trop fort. Comme Mohamed (Serrage de main et Accolade avec lui) qui n'avait pas besoin de donner des preuves. Il disait c'est comme ça et c'est tout. Seuls les infidèles mécréants n'ont pas cru! Les maudits!
Al
Il faut arrêter de calomnier le pauvre Mohamed. Grâce à Issa (Paix et salut sur lui aussi), nous savons maintenant que Mohamed était le plus parfait humain dans l'Histoire de l'humanité. Jamais il n'aurait pu être prophête d'Allah s'il n'avait les qualité pour ce faire. Viril comme trente hommes devant une femme comme nous le disent les hadiths, Grand chef de guerre Nabi Al Malhama, pour combattre les méchants kafiroun qui ne méritent pas de vivre où qu'ils se trouvent, bon organisateur-comptable pour gérer les biens pris aux mécréants dont une sourate lui accorde une part supérieure à celle de ses soldats etc.
Aussi Medhi Del Dar El Kufr, donne toutes les preuves que tu veux de la pédophile de Mohamed et de sa cruauté guerrière. Issa même sans avoir besoin de se fatiguer à te prouver que tu as tort décide que tu as tort. Il est trop fort. Comme Mohamed (Serrage de main et Accolade avec lui) qui n'avait pas besoin de donner des preuves. Il disait c'est comme ça et c'est tout. Seuls les infidèles mécréants n'ont pas cru! Les maudits!
Al
- youssef__abdouallah
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Ecrit le 08 mai04, 05:24
voyons donc tout ceci par la vie de aicha,est ce la vie d'une personne violée par un pedophile?..... :
La vie d'Aïcha (radhyallâhou'anha) est la preuve qu'une femme peut être beaucoup plus instruite que les hommes et qu'elle peut enseigner à des érudits et à des spécialistes.
C'est aussi la preuve qu'une femme peut exercer une influence sur les hommes et leur être source d'inspiration et de commandement.
C'est encore la preuve que cette même femme peut être totalement féminine et être source de plaisir, de joie et de réconfort pour son époux.
Elle n'était pas diplômée d'une université, il n'y avait pas encore de telle structure à son époque. Mais aujourd'hui, ses paroles sont étudiées dans les facultés de littérature, ses déclarations juridiques sont étudiées dans les écoles de droit, sa vie et son œuvre sont étudiées et font l'objet de recherches par les étudiants et les professeurs d'histoire de l'Islam comme elles l'ont été depuis des centaines d'années.
La plus grande partie de son vaste trésor de connaissance a été acquise quand elle était encore assez jeune. Dans sa tendre enfance, elle a été élevée par son père (Abou Bakr (radhyallâhou'anhou)) qui était considérablement aimé et respecté car il était un homme de grande connaissance, de bonnes manières et d'agréable compagnie. De plus, il était l'ami le plus proche du noble Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) qui leur rendait fréquemment visite dès les premiers jours de sa mission.
Dans sa jeunesse, déjà connue pour sa beauté frappante et sa mémoire formidable, elle s'est attirée l'affection et l'attention du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) lui-même. En tant qu'épouse et proche compagne de Mouhammad (sallallâhou 'alayhi wa sallam), elle acquît de lui des connaissances et la perspicacité qu'aucune femme n'a jamais acquise.
Aïcha (radhyallâhou'anha) est devenue la femme du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) à Makkah, mais elle est allé vivre auprès de lui qu'après l'émigration à Médine(à l'age de 14 ans).
Avant et après ses noces, elle a conservé sa gaieté naturelle et son innocence, et elle ne semblait pas du tout intimidée à l'idée d'être l'épouse de celui qui était le Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), que tous ses compagnons, y compris ses propres parents, traitaient avec plus d'amour et de respect qu'ils n'en avaient jamais témoigné à qui que ce soit.
Au sujet de son mariage, elle a rapporté que peu avant qu'elle quitta la maison de ses parents, elle sortit dans la cour pour jouer avec une amie qui passait : "J'étais en train de jouer sur une bascule et mes longs cheveux flottant au vent étaient ébouriffés…", dit-elle. "Ils vinrent, me prirent de mon jeu et me préparèrent. " Ils la vêtirent d'une robe de mariée faite de fin tissu à rayures rouges de Bahrain et ensuite sa mère l'emmena à la maison récemment construite où des femmes des Ansars attendaient devant la porte. Elles l'accueillirent en disant : "Pour toujours et dans la joie, soit la bienvenue !"
Alors, en présence du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), souriant, un bol de lait fut amené. Le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) en but lui-même et en offrit à Aicha (radhyallâhou'anha). Elle refusa timidement mais il insista, elle but et offrit le bol à sa sœur Asma (radhyallâhou'anha) qui était assise à ses côtés. D'autres en burent aussi et ce fut simple et solennel. Il n'y eut pas de fête de mariage.
Son mariage avec le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) ne changea pas son caractère enjoué. Ses jeunes amies venaient régulièrement lui rendre visite dans son propre appartement.
"J'étais en train de jouer avec mes poupées", dit-elle, "avec les filles qui étaient mes amies ; le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) entra et celles-ci se sauvèrent hors de la maison. Il sortit les rechercher et les ramena, car il était satisfait pour ma sécurité qu'elles soient là."
Parfois il disait : "Restez où vous êtes" avant qu'elles n'aient eu le temps de partir, et il se joignait aussi à leurs jeux.
Aicha (radhyallâhou'anha) dit :
Un jour le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) entra alors que j'étais en train de jouer avec mes poupées - il y avait également un cheval ailé parmi celles-ci- , et il dit : "O Aicha, quel est ce jeu ?" "Ce sont les chevaux de Salomon" dis-je, ce qui le fit rire.
Parfois il entrait et se cachait avec son manteau pour ne pas déranger Aicha (radhyallâhou'anha) et ses amies.
La vie d'Aicha (radhyallâhou'anha) à Madinah eut aussi des moments plus sérieux et tourmentés. Un jour, son père et deux compagnons qui étaient restés avec lui attrapèrent une dangereuse fièvre qui était fréquente à Madinah à certaines saisons. Un matin, Aicha (radhyallâhou'anha) vint lui rendre visite et fut consternée de trouver les trois hommes couchés, complètement faibles et épuisés. Elle demanda à son père comment il allait et il lui répondit sous forme de vers mais elle ne comprit pas ce qu'il disait. Les deux compagnons lui répondirent également en vers qui lui semblaient n'être que du babillage inintelligible. Elle fut profondément troublée et retourna chez elle pour dire au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) : "Ils délirent, ils n'ont plus leurs esprits, à cause de la fièvre". Il lui demanda ce qu'ils avaient dit, et il fut quelque peu étonné quand elle répéta presque mot pour mot les paroles qu'ils avaient prononcées et qui avaient un sens, bien qu'elle ne l'avait pas complètement saisi alors.
C'était une démonstration de la puissante capacité de sa mémoire, qui, après que les années passèrent, put préserver beaucoup de paroles inestimables du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam).
Parmi les épouses du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) à Madinah, c'était clair qu'Aicha (radhyallâhou'anha) était celle qu'il aimait le plus.
De temps en temps, l'un de ses compagnons demandait : "O Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), qui aimes-tu le plus au monde ?" Il ne donnait jamais la même réponse à cette question car il ressentait un grand amour pour ses filles et leurs enfants, pour Abu Bakr, pour Ali, pour Zayd et son fils Usamah. Mais de ses épouses, la seule qu'il nommait était Aicha (radhyallâhou'anha). Elle l'aimait aussi beaucoup en retour, et voulait souvent être rassurée quant à son amour pour elle.
Une fois elle lui demanda "Comment est ton amour pour moi ?". Il lui répondit : "Comme le nœud de la corde", voulant ainsi dire qu'il était fort et sûr. A maintes reprises ensuite elle lui demanda comment était le nœud, il lui répondait : "Alâ haaliha - de la même façon…"
Ainsi aimait-elle le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), et son amour était "jaloux" ; elle ne pouvait supporter l'idée que les attentions du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) puissent être données à d'autres plus qu'elle ne jugeait suffisant.
Elle lui demanda : "O Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), parle-moi de toi-même. Si tu étais entre les deux pentes d'une vallée dont l'une avait été donnée en pâture tandis que l'autre ne l'avait jamais été, laquelle choisirais-tu pour faire paître ton troupeau ?" "Sur celle qui n'a jamais été donnée en pâture", répondit-il. Elle dit : "…Et bien je ne suis pas comme tes autres épouses, chacune d'elle avait déjà été mariée sauf moi." Le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) sourit et ne dit rien.
De sa jalousie Aicha dit des années plus tard : Je n'étais jalouse d'aucune autre épouse du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) comme je l'ai été de Khadîdja (radhyallâhou'anha) parce qu'il faisait constamment allusion à elle, et parce que Dieu lui avait ordonné d'annoncer à celle-ci la bonne nouvelle d'une demeure au Paradis faite de pierres précieuses. Et chaque fois qu'il sacrifiait un mouton, il en envoyait un beau morceau à celles qui avaient été ses amies intimes. Plusieurs fois je lui dis : "C'est comme s'il n'y avait eu d'autres femmes au monde que Khadîdja."
Une fois, alors qu'Aicha (radhyallâhou'anha) s'était plaint et avait demandé à son époux pourquoi il parlait tant d'une "vieille femme Qouraïchite" (elle faisait par là allusion àKhadîdja), le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) fut blessé et lui dit : "Elle fut l'épouse qui a cru en moi quand d'autres m'ont rejeté. Quand les gens m'accusaient de mentir, elle a affirmé ma sincérité. Quand j'ai été abandonné, elle a dépensé sa richesse pour soulager le poids de ma douleur."
En dépit de son sentiment de jalousie qui néanmoins n'était pas de nature destructrice, Aicha (radhyallâhou'anha) était vraiment une âme généreuse et patiente.
Elle supportait avec le reste de la famille du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) la pauvreté et la faim, qui, souvent, durèrent longtemps. Pendant des jours interminables, aucun feu n'était allumé dans la maison du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) qui était modestement meublée pour cuisiner ou cuire le pain, et ils vivaient simplement de dattes et d'eau.
La pauvreté ne lui a causé ni détresse ni humiliation. Et la suffisance, quand elle est venue, n'a pas altéré son style de vie.
Une fois, le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) demeura loin de ses épouses pendant un mois car elles l'avaient attristé en lui demandant ce qu'il n'avait pas. C'était après l'expédition de Khaybar, quand une hausse des richesses aiguisa l'appétit de ceux qui étaient présents. De retour de cette retraite qu'il s'était lui-même imposé, il se rendit en premier à l'appartement d'Aicha (radhyallâhou'anha). Elle fut enchantée de le voir mais il lui annonça qu'il avait reçu une révélation qui lui ordonnait de leur proposer deux options. Il récita alors les versets suivants :
"O Prophète ! Dis à tes femmes : Si vous désirez la vie de ce monde et son faste, venez ! Je vous procurerai quelques avantages puis je vous donnerai un généreux congé. Si vous recherchez Dieu, son Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) et la demeure dernière, sachez que Dieu a préparé une récompense sans limite pour celles d'entre vous qui font le bien." (Sourate 33 / Versets 28-29)
Aicha (radhyallâhou'anha) répondit : "En effet, je désire Dieu, Son Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) et la demeure dernière." Et sa réponse fut suivie par toutes les autres.
Elle s'est tenue à son choix pendant la vie du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) et après.
Plus tard quand les musulmans ont été gratifiés par d'énormes richesses, elle reçut un cadeau de cent milles dirhams. Elle jeûnait quand elle reçut cet argent… Elle distribua alors la somme entière aux pauvres et aux nécessiteux bien qu'elle n'ait aucune nourriture chez elle. Peu après, sa servante lui dit "Tu aurai pu acheter de la viande pour un dirham -et ne pas distribuer ainsi l'intégralité de l'argent reçu- , viande avec laquelle tu aurai pu rompre le jeûne…" "Si je m'en étais souvenu je l'aurais fait", répondit-elle.
L'affection du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) pour Aicha (radhyallâhou'anha) dura jusqu'au dernier moment de sa vie. A la fin de sa maladie, il restait chez Aicha (radhyallâhou'anha), suivant la suggestion de ses épouses.
La plupart du temps il reposait sur une couche, la tête sur la poitrine ou les genoux d'Aicha (radhyallâhou'anha).
Elle prit le Siwâk (bâton utilisé pour se brosser les dents) de son frère, le mâcha pour le ramollir et le donna au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam). Malgré sa faiblesse, il se nettoya les dents vigoureusement avec.
Peu de temps après il perdit connaissance et Aicha (radhyallâhou'anha) pensa que c'était les prémisses de la mort, mais au bout d'une heure il ouvrit les yeux.
Aicha (radhyallâhou'anha) a préservé pour nous ces moments de la mort de la créature la plus honoré de Dieu, Son bien-aimé messager (sallallâhou 'alayhi wa sallam), puisse-t-Il répandre Ses meilleures bénédictions sur lui.
Quand il rouvrit les yeux, Aicha (radhyallâhou'anha) se souvint qu'il lui disait : "Aucun Prophète ne mourut avant que ne lui soit montrée sa place au Paradis, et qu'il n'ait eu le choix entre vivre et mourir."
"Il ne nous choisira pas maintenant…" se dit-elle. Alors elle l'entendit murmurer : "Avec la communion suprême au Paradis, avec ceux sur qui Dieu a répandu ses faveurs, les Prophètes, les martyrs et les justes…"
Elle l'entendit encore murmurer : "O Seigneur, avec la suprême communion - al malaoul a'lâ …" Et ce fut les derniers mots qu'elle l'entendit prononcer.
Petit à petit sa tête devient plus lourde sur sa poitrine, jusqu'à ce que d'autres dans la chambre commencèrent à pleurer, Aicha (radhyallâhou'anha) posa alors sa tête sur un oreiller et se joignit à leurs pleurs.
Dans le sol de la chambre d'Aicha (radhyallâhou'anha), près du divan où il se trouvait, une tombe fut creusée, dans laquelle on enterra le Sceau des Prophètes. Ce fut une occasion de grand bouleversement et une grande douleur.
Aicha (radhyallâhou'anha) survécut au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) presque 50 ans. Elle avait été son épouse pendant dix ans.
Beaucoup de son temps, elle l'a passé à apprendre et comprendre les deux plus importantes sources de la guidée de Dieu : le Coran et la Sounnah du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam). Elle était l'une des trois épouses (les autres étant Hafsa et Oum Salamah (radhiyallâhou'anhouma)) à avoir mémorisé le Coran. Comme Hafsa (radhyallâhou'anha) elle eut son propre exemplaire du Coran, écrit après la mort du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam).
En ce qui concerne les hadiths ou les récits du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), Aicha (radhyallâhou'anha) fut une des quatre personnes (les autres étant Abou Hourayrah, Abdoullah ibn Oumar, et Anas ibn Malik (radhiyallâhou'anhoum)) à avoir transmis plus de 2 000 récits.
Beaucoup concernent certains des aspects les plus intimes du comportement personnel du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), dont seule quelqu'un dans la situation d'Aicha (radhyallâhou'anha) pouvait avoir eu connaissance.
Le plus important est que sa connaissance des hadiths fut transmise à l'écrit par au moins trois personnes, dont son neveu Ourwah, qui devint un des plus grands savants de la génération suivant celle des compagnons.
Beaucoup de compagnons instruits et de leurs successeurs tirèrent profit de la connaissance d'Aicha (radhyallâhou'anha).
Abou Moussa al-Ash'ari a indiqué que "si nous, compagnons du Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), avions quelques difficultés sur une question, nous interrogions Aicha (radhyallâhou'anha) à son sujet."
Son neveu Ourwah affirma qu'elle était non seulement compétente en matière de fiqh (jurisprudence) mais aussi en matière de médecine et de poésie.
Plusieurs des compagnons âgés du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) sont venus chez elle lui demander conseil au sujet de questions relatives à l'héritage, qui nécessitent un esprit mathématique très habile.
Les savants la considérèrent comme l'un des premiers fouqaha (juristes) de l'Islam, au même titre que Oumar ibn al-Khattab, Ali et Abdoullah ibn Abbas (radhiyallâhou'anhoum).
(…)
Aicha (radhyallâhou'anha) a non seulement possédé un grand savoir, mais elle a participé activement à l'éducation et à la réforme sociale.
En tant que professeur elle avait un discours de style clair et persuasif ; et la puissance de son éloquence a été décrite en des termes superlatifs par al-Ahnaf qui a dit : "J'ai entendu des discours de Abou Bakr, de Oumar, de Uthman et de Ali (radhiyallâhou'anhoum) jusqu'à ce jour, mais je n'ai pas entendu de discours plus persuasif et plus beau de la bouche d'une autre personne que de la bouche de Aicha (radhyallâhou'anha)."
Les hommes et les femmes venaient de partout pour profiter de sa connaissance. On dit que le nombre de femmes était plus important que celui des hommes.
En plus de répondre aux questions, elle prit des garçons et des filles, dont certains étaient orphelins, sous sa tutelle, et les éduqua avec ses soins et ses conseils, ceci en plus de leurs parents, qui avaient reçu d'elle l'instruction. Sa maison devint ainsi une école et une université.
Certains de ses étudiants étaient exceptionnels. Nous avons déjà mentionné son neveu Ourwah en tant que distingué rapporteur de hadiths.
Parmi ses élèves femmes il y avait Oumrah bint Abdir Rahman. Elle est considérée par les érudits comme un rapporteur de hadiths digne de confiance. Elle était la secrétaire de Aicha (radhyallâhou'anha), recevant et répondant aux lettres qui lui était adressée.
L'exemple de Aicha (radhyallâhou'anha) qui favorisait l'éducation et en particulier l'éducation des femmes musulmanes en droit et dans les sciences islamiques est un exemple à suivre.
Après Khadîdja al-Kubra (la grande) et Fâtimah Az-Zahra (la resplendissante) (radhiyallâhou'anhouma), Aicha As-Siddiqah (la véridique) (radhyallâhou'anha) est considérée comme la meilleure femme de Islam.
En raison de la force de sa personnalité, elle était un meneur dans chaque domaine de la connaissance, dans la société, dans la politique et dans la guerre.
Elle a souvent regretté sa participation à la guerre mais a vécu assez longtemps pour regagner la position de femme la plus respectée de son temps.
Elle est morte en 58 après l'hégire, pendant le mois de Ramadan et pendant qu'elle enseignait.
Elle a été enterrée dans le (cimetière qui a pour nom) Jannat al-Baqi, dans la ville lumineuse (Madina Mounawwarah), à côté d'autres compagnons du prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam).
La vie d'Aïcha (radhyallâhou'anha) est la preuve qu'une femme peut être beaucoup plus instruite que les hommes et qu'elle peut enseigner à des érudits et à des spécialistes.
C'est aussi la preuve qu'une femme peut exercer une influence sur les hommes et leur être source d'inspiration et de commandement.
C'est encore la preuve que cette même femme peut être totalement féminine et être source de plaisir, de joie et de réconfort pour son époux.
Elle n'était pas diplômée d'une université, il n'y avait pas encore de telle structure à son époque. Mais aujourd'hui, ses paroles sont étudiées dans les facultés de littérature, ses déclarations juridiques sont étudiées dans les écoles de droit, sa vie et son œuvre sont étudiées et font l'objet de recherches par les étudiants et les professeurs d'histoire de l'Islam comme elles l'ont été depuis des centaines d'années.
La plus grande partie de son vaste trésor de connaissance a été acquise quand elle était encore assez jeune. Dans sa tendre enfance, elle a été élevée par son père (Abou Bakr (radhyallâhou'anhou)) qui était considérablement aimé et respecté car il était un homme de grande connaissance, de bonnes manières et d'agréable compagnie. De plus, il était l'ami le plus proche du noble Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) qui leur rendait fréquemment visite dès les premiers jours de sa mission.
Dans sa jeunesse, déjà connue pour sa beauté frappante et sa mémoire formidable, elle s'est attirée l'affection et l'attention du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) lui-même. En tant qu'épouse et proche compagne de Mouhammad (sallallâhou 'alayhi wa sallam), elle acquît de lui des connaissances et la perspicacité qu'aucune femme n'a jamais acquise.
Aïcha (radhyallâhou'anha) est devenue la femme du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) à Makkah, mais elle est allé vivre auprès de lui qu'après l'émigration à Médine(à l'age de 14 ans).
Avant et après ses noces, elle a conservé sa gaieté naturelle et son innocence, et elle ne semblait pas du tout intimidée à l'idée d'être l'épouse de celui qui était le Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), que tous ses compagnons, y compris ses propres parents, traitaient avec plus d'amour et de respect qu'ils n'en avaient jamais témoigné à qui que ce soit.
Au sujet de son mariage, elle a rapporté que peu avant qu'elle quitta la maison de ses parents, elle sortit dans la cour pour jouer avec une amie qui passait : "J'étais en train de jouer sur une bascule et mes longs cheveux flottant au vent étaient ébouriffés…", dit-elle. "Ils vinrent, me prirent de mon jeu et me préparèrent. " Ils la vêtirent d'une robe de mariée faite de fin tissu à rayures rouges de Bahrain et ensuite sa mère l'emmena à la maison récemment construite où des femmes des Ansars attendaient devant la porte. Elles l'accueillirent en disant : "Pour toujours et dans la joie, soit la bienvenue !"
Alors, en présence du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), souriant, un bol de lait fut amené. Le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) en but lui-même et en offrit à Aicha (radhyallâhou'anha). Elle refusa timidement mais il insista, elle but et offrit le bol à sa sœur Asma (radhyallâhou'anha) qui était assise à ses côtés. D'autres en burent aussi et ce fut simple et solennel. Il n'y eut pas de fête de mariage.
Son mariage avec le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) ne changea pas son caractère enjoué. Ses jeunes amies venaient régulièrement lui rendre visite dans son propre appartement.
"J'étais en train de jouer avec mes poupées", dit-elle, "avec les filles qui étaient mes amies ; le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) entra et celles-ci se sauvèrent hors de la maison. Il sortit les rechercher et les ramena, car il était satisfait pour ma sécurité qu'elles soient là."
Parfois il disait : "Restez où vous êtes" avant qu'elles n'aient eu le temps de partir, et il se joignait aussi à leurs jeux.
Aicha (radhyallâhou'anha) dit :
Un jour le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) entra alors que j'étais en train de jouer avec mes poupées - il y avait également un cheval ailé parmi celles-ci- , et il dit : "O Aicha, quel est ce jeu ?" "Ce sont les chevaux de Salomon" dis-je, ce qui le fit rire.
Parfois il entrait et se cachait avec son manteau pour ne pas déranger Aicha (radhyallâhou'anha) et ses amies.
La vie d'Aicha (radhyallâhou'anha) à Madinah eut aussi des moments plus sérieux et tourmentés. Un jour, son père et deux compagnons qui étaient restés avec lui attrapèrent une dangereuse fièvre qui était fréquente à Madinah à certaines saisons. Un matin, Aicha (radhyallâhou'anha) vint lui rendre visite et fut consternée de trouver les trois hommes couchés, complètement faibles et épuisés. Elle demanda à son père comment il allait et il lui répondit sous forme de vers mais elle ne comprit pas ce qu'il disait. Les deux compagnons lui répondirent également en vers qui lui semblaient n'être que du babillage inintelligible. Elle fut profondément troublée et retourna chez elle pour dire au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) : "Ils délirent, ils n'ont plus leurs esprits, à cause de la fièvre". Il lui demanda ce qu'ils avaient dit, et il fut quelque peu étonné quand elle répéta presque mot pour mot les paroles qu'ils avaient prononcées et qui avaient un sens, bien qu'elle ne l'avait pas complètement saisi alors.
C'était une démonstration de la puissante capacité de sa mémoire, qui, après que les années passèrent, put préserver beaucoup de paroles inestimables du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam).
Parmi les épouses du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) à Madinah, c'était clair qu'Aicha (radhyallâhou'anha) était celle qu'il aimait le plus.
De temps en temps, l'un de ses compagnons demandait : "O Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), qui aimes-tu le plus au monde ?" Il ne donnait jamais la même réponse à cette question car il ressentait un grand amour pour ses filles et leurs enfants, pour Abu Bakr, pour Ali, pour Zayd et son fils Usamah. Mais de ses épouses, la seule qu'il nommait était Aicha (radhyallâhou'anha). Elle l'aimait aussi beaucoup en retour, et voulait souvent être rassurée quant à son amour pour elle.
Une fois elle lui demanda "Comment est ton amour pour moi ?". Il lui répondit : "Comme le nœud de la corde", voulant ainsi dire qu'il était fort et sûr. A maintes reprises ensuite elle lui demanda comment était le nœud, il lui répondait : "Alâ haaliha - de la même façon…"
Ainsi aimait-elle le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), et son amour était "jaloux" ; elle ne pouvait supporter l'idée que les attentions du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) puissent être données à d'autres plus qu'elle ne jugeait suffisant.
Elle lui demanda : "O Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), parle-moi de toi-même. Si tu étais entre les deux pentes d'une vallée dont l'une avait été donnée en pâture tandis que l'autre ne l'avait jamais été, laquelle choisirais-tu pour faire paître ton troupeau ?" "Sur celle qui n'a jamais été donnée en pâture", répondit-il. Elle dit : "…Et bien je ne suis pas comme tes autres épouses, chacune d'elle avait déjà été mariée sauf moi." Le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) sourit et ne dit rien.
De sa jalousie Aicha dit des années plus tard : Je n'étais jalouse d'aucune autre épouse du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) comme je l'ai été de Khadîdja (radhyallâhou'anha) parce qu'il faisait constamment allusion à elle, et parce que Dieu lui avait ordonné d'annoncer à celle-ci la bonne nouvelle d'une demeure au Paradis faite de pierres précieuses. Et chaque fois qu'il sacrifiait un mouton, il en envoyait un beau morceau à celles qui avaient été ses amies intimes. Plusieurs fois je lui dis : "C'est comme s'il n'y avait eu d'autres femmes au monde que Khadîdja."
Une fois, alors qu'Aicha (radhyallâhou'anha) s'était plaint et avait demandé à son époux pourquoi il parlait tant d'une "vieille femme Qouraïchite" (elle faisait par là allusion àKhadîdja), le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) fut blessé et lui dit : "Elle fut l'épouse qui a cru en moi quand d'autres m'ont rejeté. Quand les gens m'accusaient de mentir, elle a affirmé ma sincérité. Quand j'ai été abandonné, elle a dépensé sa richesse pour soulager le poids de ma douleur."
En dépit de son sentiment de jalousie qui néanmoins n'était pas de nature destructrice, Aicha (radhyallâhou'anha) était vraiment une âme généreuse et patiente.
Elle supportait avec le reste de la famille du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) la pauvreté et la faim, qui, souvent, durèrent longtemps. Pendant des jours interminables, aucun feu n'était allumé dans la maison du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) qui était modestement meublée pour cuisiner ou cuire le pain, et ils vivaient simplement de dattes et d'eau.
La pauvreté ne lui a causé ni détresse ni humiliation. Et la suffisance, quand elle est venue, n'a pas altéré son style de vie.
Une fois, le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) demeura loin de ses épouses pendant un mois car elles l'avaient attristé en lui demandant ce qu'il n'avait pas. C'était après l'expédition de Khaybar, quand une hausse des richesses aiguisa l'appétit de ceux qui étaient présents. De retour de cette retraite qu'il s'était lui-même imposé, il se rendit en premier à l'appartement d'Aicha (radhyallâhou'anha). Elle fut enchantée de le voir mais il lui annonça qu'il avait reçu une révélation qui lui ordonnait de leur proposer deux options. Il récita alors les versets suivants :
"O Prophète ! Dis à tes femmes : Si vous désirez la vie de ce monde et son faste, venez ! Je vous procurerai quelques avantages puis je vous donnerai un généreux congé. Si vous recherchez Dieu, son Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) et la demeure dernière, sachez que Dieu a préparé une récompense sans limite pour celles d'entre vous qui font le bien." (Sourate 33 / Versets 28-29)
Aicha (radhyallâhou'anha) répondit : "En effet, je désire Dieu, Son Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) et la demeure dernière." Et sa réponse fut suivie par toutes les autres.
Elle s'est tenue à son choix pendant la vie du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) et après.
Plus tard quand les musulmans ont été gratifiés par d'énormes richesses, elle reçut un cadeau de cent milles dirhams. Elle jeûnait quand elle reçut cet argent… Elle distribua alors la somme entière aux pauvres et aux nécessiteux bien qu'elle n'ait aucune nourriture chez elle. Peu après, sa servante lui dit "Tu aurai pu acheter de la viande pour un dirham -et ne pas distribuer ainsi l'intégralité de l'argent reçu- , viande avec laquelle tu aurai pu rompre le jeûne…" "Si je m'en étais souvenu je l'aurais fait", répondit-elle.
L'affection du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) pour Aicha (radhyallâhou'anha) dura jusqu'au dernier moment de sa vie. A la fin de sa maladie, il restait chez Aicha (radhyallâhou'anha), suivant la suggestion de ses épouses.
La plupart du temps il reposait sur une couche, la tête sur la poitrine ou les genoux d'Aicha (radhyallâhou'anha).
Elle prit le Siwâk (bâton utilisé pour se brosser les dents) de son frère, le mâcha pour le ramollir et le donna au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam). Malgré sa faiblesse, il se nettoya les dents vigoureusement avec.
Peu de temps après il perdit connaissance et Aicha (radhyallâhou'anha) pensa que c'était les prémisses de la mort, mais au bout d'une heure il ouvrit les yeux.
Aicha (radhyallâhou'anha) a préservé pour nous ces moments de la mort de la créature la plus honoré de Dieu, Son bien-aimé messager (sallallâhou 'alayhi wa sallam), puisse-t-Il répandre Ses meilleures bénédictions sur lui.
Quand il rouvrit les yeux, Aicha (radhyallâhou'anha) se souvint qu'il lui disait : "Aucun Prophète ne mourut avant que ne lui soit montrée sa place au Paradis, et qu'il n'ait eu le choix entre vivre et mourir."
"Il ne nous choisira pas maintenant…" se dit-elle. Alors elle l'entendit murmurer : "Avec la communion suprême au Paradis, avec ceux sur qui Dieu a répandu ses faveurs, les Prophètes, les martyrs et les justes…"
Elle l'entendit encore murmurer : "O Seigneur, avec la suprême communion - al malaoul a'lâ …" Et ce fut les derniers mots qu'elle l'entendit prononcer.
Petit à petit sa tête devient plus lourde sur sa poitrine, jusqu'à ce que d'autres dans la chambre commencèrent à pleurer, Aicha (radhyallâhou'anha) posa alors sa tête sur un oreiller et se joignit à leurs pleurs.
Dans le sol de la chambre d'Aicha (radhyallâhou'anha), près du divan où il se trouvait, une tombe fut creusée, dans laquelle on enterra le Sceau des Prophètes. Ce fut une occasion de grand bouleversement et une grande douleur.
Aicha (radhyallâhou'anha) survécut au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) presque 50 ans. Elle avait été son épouse pendant dix ans.
Beaucoup de son temps, elle l'a passé à apprendre et comprendre les deux plus importantes sources de la guidée de Dieu : le Coran et la Sounnah du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam). Elle était l'une des trois épouses (les autres étant Hafsa et Oum Salamah (radhiyallâhou'anhouma)) à avoir mémorisé le Coran. Comme Hafsa (radhyallâhou'anha) elle eut son propre exemplaire du Coran, écrit après la mort du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam).
En ce qui concerne les hadiths ou les récits du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), Aicha (radhyallâhou'anha) fut une des quatre personnes (les autres étant Abou Hourayrah, Abdoullah ibn Oumar, et Anas ibn Malik (radhiyallâhou'anhoum)) à avoir transmis plus de 2 000 récits.
Beaucoup concernent certains des aspects les plus intimes du comportement personnel du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), dont seule quelqu'un dans la situation d'Aicha (radhyallâhou'anha) pouvait avoir eu connaissance.
Le plus important est que sa connaissance des hadiths fut transmise à l'écrit par au moins trois personnes, dont son neveu Ourwah, qui devint un des plus grands savants de la génération suivant celle des compagnons.
Beaucoup de compagnons instruits et de leurs successeurs tirèrent profit de la connaissance d'Aicha (radhyallâhou'anha).
Abou Moussa al-Ash'ari a indiqué que "si nous, compagnons du Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), avions quelques difficultés sur une question, nous interrogions Aicha (radhyallâhou'anha) à son sujet."
Son neveu Ourwah affirma qu'elle était non seulement compétente en matière de fiqh (jurisprudence) mais aussi en matière de médecine et de poésie.
Plusieurs des compagnons âgés du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) sont venus chez elle lui demander conseil au sujet de questions relatives à l'héritage, qui nécessitent un esprit mathématique très habile.
Les savants la considérèrent comme l'un des premiers fouqaha (juristes) de l'Islam, au même titre que Oumar ibn al-Khattab, Ali et Abdoullah ibn Abbas (radhiyallâhou'anhoum).
(…)
Aicha (radhyallâhou'anha) a non seulement possédé un grand savoir, mais elle a participé activement à l'éducation et à la réforme sociale.
En tant que professeur elle avait un discours de style clair et persuasif ; et la puissance de son éloquence a été décrite en des termes superlatifs par al-Ahnaf qui a dit : "J'ai entendu des discours de Abou Bakr, de Oumar, de Uthman et de Ali (radhiyallâhou'anhoum) jusqu'à ce jour, mais je n'ai pas entendu de discours plus persuasif et plus beau de la bouche d'une autre personne que de la bouche de Aicha (radhyallâhou'anha)."
Les hommes et les femmes venaient de partout pour profiter de sa connaissance. On dit que le nombre de femmes était plus important que celui des hommes.
En plus de répondre aux questions, elle prit des garçons et des filles, dont certains étaient orphelins, sous sa tutelle, et les éduqua avec ses soins et ses conseils, ceci en plus de leurs parents, qui avaient reçu d'elle l'instruction. Sa maison devint ainsi une école et une université.
Certains de ses étudiants étaient exceptionnels. Nous avons déjà mentionné son neveu Ourwah en tant que distingué rapporteur de hadiths.
Parmi ses élèves femmes il y avait Oumrah bint Abdir Rahman. Elle est considérée par les érudits comme un rapporteur de hadiths digne de confiance. Elle était la secrétaire de Aicha (radhyallâhou'anha), recevant et répondant aux lettres qui lui était adressée.
L'exemple de Aicha (radhyallâhou'anha) qui favorisait l'éducation et en particulier l'éducation des femmes musulmanes en droit et dans les sciences islamiques est un exemple à suivre.
Après Khadîdja al-Kubra (la grande) et Fâtimah Az-Zahra (la resplendissante) (radhiyallâhou'anhouma), Aicha As-Siddiqah (la véridique) (radhyallâhou'anha) est considérée comme la meilleure femme de Islam.
En raison de la force de sa personnalité, elle était un meneur dans chaque domaine de la connaissance, dans la société, dans la politique et dans la guerre.
Elle a souvent regretté sa participation à la guerre mais a vécu assez longtemps pour regagner la position de femme la plus respectée de son temps.
Elle est morte en 58 après l'hégire, pendant le mois de Ramadan et pendant qu'elle enseignait.
Elle a été enterrée dans le (cimetière qui a pour nom) Jannat al-Baqi, dans la ville lumineuse (Madina Mounawwarah), à côté d'autres compagnons du prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam).
Modifié en dernier par youssef__abdouallah le 08 mai04, 05:30, modifié 1 fois.
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Les mariages forcés ?
Fatwa de Cheikh el Islam Ibn Taymiyyah Rahimahullah. Extrait de "Al Masaa'il ul-Maardeeniyyah", Traduit par Assabyle.coM
Est-ce qu'un père peut forcer sa fille vierge qui a atteint la puberté à se marier ? Deux opinions bien connues sont rapportées à ce sujet par Ahmad :
1. Qu'il peut la forcer. C'est aussi l'opinion de Maalik, ash-Shaafi'i et d'autres.
2. Qu'il ne peut pas. C'est aussi l'opinion de Abou Hanifah et d'autres, et c'est l'opinion correcte.
Les gens ont beaucoup divergé sur la raison permettant la contrainte : soit c'est en raison de la virginité, soit parce que la fille est mineure, ou alors une combinaison des deux. L'opinion la plus proche de la vérité est qu'elle soit mineure, tandis que personne ne peut forcer une vierge adulte au mariage. Abou Hourayrah a rapporté que le Prophète a dit :
"Une femme qui n'est pas vierge ne peut pas être mariée sans son commandement, et une vierge ne peut pas être mariée sans sa permission, et une permission suffisante est le fait qu'elle garde le silence ( à cause de sa timidité naturelle)" [Al Boukhari, Mouslim et d'autres]
Ainsi, le Prophète interdit de forcer une fille vierge au mariage sans sa permission, que l'on soit son père ou qui que ce soit d'autre. De plus, Aicha a dit qu'elle avait demandé au Prophète : "Dans le cas d'une jeune fille que les parents marient, sa permission devrait-elle être demandée ou pas ? " Le prophète répondit : 'oui, elle doit donner sa permission'. Aicha dit ensuite : '"Mais une fille vierge sera trop timide, O Messager d'Allah" Il répondit :"Son silence est [considéré comme] sa permission " [Al Boukhari, Mouslim, et autres]
Ceci s'applique au père aussi bien qu'aux autres. De plus, l'Islam ne donne pas au père le droit d'utiliser quoi que ce soit des richesses de sa fille sans sa permission ; Comment serait-il alors possible qu'il puisse être autorisé à décider sans la permission de sa fille, comment son corps (qui est bien plus important que sa richesse) devrait être utilisé, particulièrement quand elle s'oppose à cela et qu'elle est mature pour décider pour elle-même ?
Aussi, il y a évidence et consensus en Islam sur le fait de restreindre la liberté de contrôle d'une personne mineure sur sa richesse ou sa personne. Cependant, faire de la virginité une raison pour la restriction, contredit la base Islamique.
Quant à la différence entre une personne non vierge et une personne vierge, dans le hadith du Prophète , ce n'est pas une différenciation entre la contrainte et la non contrainte ; la différence entre les deux cas est que :
1. La non vierge donne ses instructions pour le mariage alors que la vierge donne sa permission et que
2. Le silence d'une fille vierge est considéré comme son accord, sa permission.
La raison est qu'une fille vierge serait trop timide pour discuter au sujet du mariage, donc on ne lui propose pas directement à elle une offre de mariage, mais plutôt à son Wali (responsable) qui demande la permission à la fille. Donc elle donne ensuite son accord et non l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Et quant à une fille non vierge, elle n'aurait plus la timidité de la virginité, ainsi elle peut parler au sujet du mariage, on peut lui proposer une offre de mariage directement à elle et elle donne à son Wali l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Ainsi, le Wali est exécuteur d'ordre dans le cas d'une fille non vierge et il est demandeur de permission dans le cas d'une fille vierge. C'est ce que les mots du Prophète indiquent.
Et quant à la forcer à se marier malgré sa volonté, cela contredirait les fondements et la raison.
Allah n'a pas autorisé un Wali à la forcer à vendre ou louer sa propriété sans sa permission. Il ne l'a pas autorisé non plus à la forcer à manger ou boire ou porter ce qu'elle ne veut pas. Comment pourrait-Il alors l'obliger à accompagner et copuler avec une personne dont elle déteste la compagnie ? Alors que Allah a placé entre les deux époux Amour et Bénédiction ? Si une telle compagnie arrive malgré sa haine et sa répulsion, où est l'amour et la bénédiction
Fatwa de Cheikh el Islam Ibn Taymiyyah Rahimahullah. Extrait de "Al Masaa'il ul-Maardeeniyyah", Traduit par Assabyle.coM
Est-ce qu'un père peut forcer sa fille vierge qui a atteint la puberté à se marier ? Deux opinions bien connues sont rapportées à ce sujet par Ahmad :
1. Qu'il peut la forcer. C'est aussi l'opinion de Maalik, ash-Shaafi'i et d'autres.
2. Qu'il ne peut pas. C'est aussi l'opinion de Abou Hanifah et d'autres, et c'est l'opinion correcte.
Les gens ont beaucoup divergé sur la raison permettant la contrainte : soit c'est en raison de la virginité, soit parce que la fille est mineure, ou alors une combinaison des deux. L'opinion la plus proche de la vérité est qu'elle soit mineure, tandis que personne ne peut forcer une vierge adulte au mariage. Abou Hourayrah a rapporté que le Prophète a dit :
"Une femme qui n'est pas vierge ne peut pas être mariée sans son commandement, et une vierge ne peut pas être mariée sans sa permission, et une permission suffisante est le fait qu'elle garde le silence ( à cause de sa timidité naturelle)" [Al Boukhari, Mouslim et d'autres]
Ainsi, le Prophète interdit de forcer une fille vierge au mariage sans sa permission, que l'on soit son père ou qui que ce soit d'autre. De plus, Aicha a dit qu'elle avait demandé au Prophète : "Dans le cas d'une jeune fille que les parents marient, sa permission devrait-elle être demandée ou pas ? " Le prophète répondit : 'oui, elle doit donner sa permission'. Aicha dit ensuite : '"Mais une fille vierge sera trop timide, O Messager d'Allah" Il répondit :"Son silence est [considéré comme] sa permission " [Al Boukhari, Mouslim, et autres]
Ceci s'applique au père aussi bien qu'aux autres. De plus, l'Islam ne donne pas au père le droit d'utiliser quoi que ce soit des richesses de sa fille sans sa permission ; Comment serait-il alors possible qu'il puisse être autorisé à décider sans la permission de sa fille, comment son corps (qui est bien plus important que sa richesse) devrait être utilisé, particulièrement quand elle s'oppose à cela et qu'elle est mature pour décider pour elle-même ?
Aussi, il y a évidence et consensus en Islam sur le fait de restreindre la liberté de contrôle d'une personne mineure sur sa richesse ou sa personne. Cependant, faire de la virginité une raison pour la restriction, contredit la base Islamique.
Quant à la différence entre une personne non vierge et une personne vierge, dans le hadith du Prophète , ce n'est pas une différenciation entre la contrainte et la non contrainte ; la différence entre les deux cas est que :
1. La non vierge donne ses instructions pour le mariage alors que la vierge donne sa permission et que
2. Le silence d'une fille vierge est considéré comme son accord, sa permission.
La raison est qu'une fille vierge serait trop timide pour discuter au sujet du mariage, donc on ne lui propose pas directement à elle une offre de mariage, mais plutôt à son Wali (responsable) qui demande la permission à la fille. Donc elle donne ensuite son accord et non l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Et quant à une fille non vierge, elle n'aurait plus la timidité de la virginité, ainsi elle peut parler au sujet du mariage, on peut lui proposer une offre de mariage directement à elle et elle donne à son Wali l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Ainsi, le Wali est exécuteur d'ordre dans le cas d'une fille non vierge et il est demandeur de permission dans le cas d'une fille vierge. C'est ce que les mots du Prophète indiquent.
Et quant à la forcer à se marier malgré sa volonté, cela contredirait les fondements et la raison.
Allah n'a pas autorisé un Wali à la forcer à vendre ou louer sa propriété sans sa permission. Il ne l'a pas autorisé non plus à la forcer à manger ou boire ou porter ce qu'elle ne veut pas. Comment pourrait-Il alors l'obliger à accompagner et copuler avec une personne dont elle déteste la compagnie ? Alors que Allah a placé entre les deux époux Amour et Bénédiction ? Si une telle compagnie arrive malgré sa haine et sa répulsion, où est l'amour et la bénédiction
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Ecrit le 08 mai04, 08:45
1) question est ce que Abou bakr son père était opposé à ce mariage avant que le prophète O miracle d'allah est eu l'idée de lui proposer une sourate ?youssef__abdouallah a écrit :voyons donc tout ceci par la vie de aicha,est ce la vie d'une personne violée par un pedophile?..... :
La vie d'Aïcha (radhyallâhou'anha) est la preuve qu'une femme peut être beaucoup plus instruite que les hommes et qu'elle peut enseigner à des érudits et à des spécialistes.
C'est aussi la preuve qu'une femme peut exercer une influence sur les hommes et leur être source d'inspiration et de commandement.
C'est encore la preuve que cette même femme peut être totalement féminine et être source de plaisir, de joie et de réconfort pour son époux.
Elle n'était pas diplômée d'une université, il n'y avait pas encore de telle structure à son époque. Mais aujourd'hui, ses paroles sont étudiées dans les facultés de littérature, ses déclarations juridiques sont étudiées dans les écoles de droit, sa vie et son œuvre sont étudiées et font l'objet de recherches par les étudiants et les professeurs d'histoire de l'Islam comme elles l'ont été depuis des centaines d'années.
La plus grande partie de son vaste trésor de connaissance a été acquise quand elle était encore assez jeune. Dans sa tendre enfance, elle a été élevée par son père (Abou Bakr (radhyallâhou'anhou)) qui était considérablement aimé et respecté car il était un homme de grande connaissance, de bonnes manières et d'agréable compagnie. De plus, il était l'ami le plus proche du noble Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) qui leur rendait fréquemment visite dès les premiers jours de sa mission.
Dans sa jeunesse, déjà connue pour sa beauté frappante et sa mémoire formidable, elle s'est attirée l'affection et l'attention du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) lui-même. En tant qu'épouse et proche compagne de Mouhammad (sallallâhou 'alayhi wa sallam), elle acquît de lui des connaissances et la perspicacité qu'aucune femme n'a jamais acquise.
Aïcha (radhyallâhou'anha) est devenue la femme du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) à Makkah, mais elle est allé vivre auprès de lui qu'après l'émigration à Médine(à l'age de 14 ans).
Avant et après ses noces, elle a conservé sa gaieté naturelle et son innocence, et elle ne semblait pas du tout intimidée à l'idée d'être l'épouse de celui qui était le Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), que tous ses compagnons, y compris ses propres parents, traitaient avec plus d'amour et de respect qu'ils n'en avaient jamais témoigné à qui que ce soit.
Au sujet de son mariage, elle a rapporté que peu avant qu'elle quitta la maison de ses parents, elle sortit dans la cour pour jouer avec une amie qui passait : "J'étais en train de jouer sur une bascule et mes longs cheveux flottant au vent étaient ébouriffés…", dit-elle. "Ils vinrent, me prirent de mon jeu et me préparèrent. " Ils la vêtirent d'une robe de mariée faite de fin tissu à rayures rouges de Bahrain et ensuite sa mère l'emmena à la maison récemment construite où des femmes des Ansars attendaient devant la porte. Elles l'accueillirent en disant : "Pour toujours et dans la joie, soit la bienvenue !"
Alors, en présence du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), souriant, un bol de lait fut amené. Le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) en but lui-même et en offrit à Aicha (radhyallâhou'anha). Elle refusa timidement mais il insista, elle but et offrit le bol à sa sœur Asma (radhyallâhou'anha) qui était assise à ses côtés. D'autres en burent aussi et ce fut simple et solennel. Il n'y eut pas de fête de mariage.
Son mariage avec le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) ne changea pas son caractère enjoué. Ses jeunes amies venaient régulièrement lui rendre visite dans son propre appartement.
"J'étais en train de jouer avec mes poupées", dit-elle, "avec les filles qui étaient mes amies ; le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) entra et celles-ci se sauvèrent hors de la maison. Il sortit les rechercher et les ramena, car il était satisfait pour ma sécurité qu'elles soient là."
Parfois il disait : "Restez où vous êtes" avant qu'elles n'aient eu le temps de partir, et il se joignait aussi à leurs jeux.
Aicha (radhyallâhou'anha) dit :
Un jour le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) entra alors que j'étais en train de jouer avec mes poupées - il y avait également un cheval ailé parmi celles-ci- , et il dit : "O Aicha, quel est ce jeu ?" "Ce sont les chevaux de Salomon" dis-je, ce qui le fit rire.
Parfois il entrait et se cachait avec son manteau pour ne pas déranger Aicha (radhyallâhou'anha) et ses amies.
La vie d'Aicha (radhyallâhou'anha) à Madinah eut aussi des moments plus sérieux et tourmentés. Un jour, son père et deux compagnons qui étaient restés avec lui attrapèrent une dangereuse fièvre qui était fréquente à Madinah à certaines saisons. Un matin, Aicha (radhyallâhou'anha) vint lui rendre visite et fut consternée de trouver les trois hommes couchés, complètement faibles et épuisés. Elle demanda à son père comment il allait et il lui répondit sous forme de vers mais elle ne comprit pas ce qu'il disait. Les deux compagnons lui répondirent également en vers qui lui semblaient n'être que du babillage inintelligible. Elle fut profondément troublée et retourna chez elle pour dire au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) : "Ils délirent, ils n'ont plus leurs esprits, à cause de la fièvre". Il lui demanda ce qu'ils avaient dit, et il fut quelque peu étonné quand elle répéta presque mot pour mot les paroles qu'ils avaient prononcées et qui avaient un sens, bien qu'elle ne l'avait pas complètement saisi alors.
C'était une démonstration de la puissante capacité de sa mémoire, qui, après que les années passèrent, put préserver beaucoup de paroles inestimables du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam).
Parmi les épouses du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) à Madinah, c'était clair qu'Aicha (radhyallâhou'anha) était celle qu'il aimait le plus.
De temps en temps, l'un de ses compagnons demandait : "O Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), qui aimes-tu le plus au monde ?" Il ne donnait jamais la même réponse à cette question car il ressentait un grand amour pour ses filles et leurs enfants, pour Abu Bakr, pour Ali, pour Zayd et son fils Usamah. Mais de ses épouses, la seule qu'il nommait était Aicha (radhyallâhou'anha). Elle l'aimait aussi beaucoup en retour, et voulait souvent être rassurée quant à son amour pour elle.
Une fois elle lui demanda "Comment est ton amour pour moi ?". Il lui répondit : "Comme le nœud de la corde", voulant ainsi dire qu'il était fort et sûr. A maintes reprises ensuite elle lui demanda comment était le nœud, il lui répondait : "Alâ haaliha - de la même façon…"
Ainsi aimait-elle le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), et son amour était "jaloux" ; elle ne pouvait supporter l'idée que les attentions du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) puissent être données à d'autres plus qu'elle ne jugeait suffisant.
Elle lui demanda : "O Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), parle-moi de toi-même. Si tu étais entre les deux pentes d'une vallée dont l'une avait été donnée en pâture tandis que l'autre ne l'avait jamais été, laquelle choisirais-tu pour faire paître ton troupeau ?" "Sur celle qui n'a jamais été donnée en pâture", répondit-il. Elle dit : "…Et bien je ne suis pas comme tes autres épouses, chacune d'elle avait déjà été mariée sauf moi." Le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) sourit et ne dit rien.
De sa jalousie Aicha dit des années plus tard : Je n'étais jalouse d'aucune autre épouse du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) comme je l'ai été de Khadîdja (radhyallâhou'anha) parce qu'il faisait constamment allusion à elle, et parce que Dieu lui avait ordonné d'annoncer à celle-ci la bonne nouvelle d'une demeure au Paradis faite de pierres précieuses. Et chaque fois qu'il sacrifiait un mouton, il en envoyait un beau morceau à celles qui avaient été ses amies intimes. Plusieurs fois je lui dis : "C'est comme s'il n'y avait eu d'autres femmes au monde que Khadîdja."
Une fois, alors qu'Aicha (radhyallâhou'anha) s'était plaint et avait demandé à son époux pourquoi il parlait tant d'une "vieille femme Qouraïchite" (elle faisait par là allusion àKhadîdja), le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) fut blessé et lui dit : "Elle fut l'épouse qui a cru en moi quand d'autres m'ont rejeté. Quand les gens m'accusaient de mentir, elle a affirmé ma sincérité. Quand j'ai été abandonné, elle a dépensé sa richesse pour soulager le poids de ma douleur."
En dépit de son sentiment de jalousie qui néanmoins n'était pas de nature destructrice, Aicha (radhyallâhou'anha) était vraiment une âme généreuse et patiente.
Elle supportait avec le reste de la famille du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) la pauvreté et la faim, qui, souvent, durèrent longtemps. Pendant des jours interminables, aucun feu n'était allumé dans la maison du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) qui était modestement meublée pour cuisiner ou cuire le pain, et ils vivaient simplement de dattes et d'eau.
La pauvreté ne lui a causé ni détresse ni humiliation. Et la suffisance, quand elle est venue, n'a pas altéré son style de vie.
Une fois, le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) demeura loin de ses épouses pendant un mois car elles l'avaient attristé en lui demandant ce qu'il n'avait pas. C'était après l'expédition de Khaybar, quand une hausse des richesses aiguisa l'appétit de ceux qui étaient présents. De retour de cette retraite qu'il s'était lui-même imposé, il se rendit en premier à l'appartement d'Aicha (radhyallâhou'anha). Elle fut enchantée de le voir mais il lui annonça qu'il avait reçu une révélation qui lui ordonnait de leur proposer deux options. Il récita alors les versets suivants :
"O Prophète ! Dis à tes femmes : Si vous désirez la vie de ce monde et son faste, venez ! Je vous procurerai quelques avantages puis je vous donnerai un généreux congé. Si vous recherchez Dieu, son Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) et la demeure dernière, sachez que Dieu a préparé une récompense sans limite pour celles d'entre vous qui font le bien." (Sourate 33 / Versets 28-29)
Aicha (radhyallâhou'anha) répondit : "En effet, je désire Dieu, Son Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) et la demeure dernière." Et sa réponse fut suivie par toutes les autres.
Elle s'est tenue à son choix pendant la vie du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) et après.
Plus tard quand les musulmans ont été gratifiés par d'énormes richesses, elle reçut un cadeau de cent milles dirhams. Elle jeûnait quand elle reçut cet argent… Elle distribua alors la somme entière aux pauvres et aux nécessiteux bien qu'elle n'ait aucune nourriture chez elle. Peu après, sa servante lui dit "Tu aurai pu acheter de la viande pour un dirham -et ne pas distribuer ainsi l'intégralité de l'argent reçu- , viande avec laquelle tu aurai pu rompre le jeûne…" "Si je m'en étais souvenu je l'aurais fait", répondit-elle.
L'affection du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) pour Aicha (radhyallâhou'anha) dura jusqu'au dernier moment de sa vie. A la fin de sa maladie, il restait chez Aicha (radhyallâhou'anha), suivant la suggestion de ses épouses.
La plupart du temps il reposait sur une couche, la tête sur la poitrine ou les genoux d'Aicha (radhyallâhou'anha).
Elle prit le Siwâk (bâton utilisé pour se brosser les dents) de son frère, le mâcha pour le ramollir et le donna au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam). Malgré sa faiblesse, il se nettoya les dents vigoureusement avec.
Peu de temps après il perdit connaissance et Aicha (radhyallâhou'anha) pensa que c'était les prémisses de la mort, mais au bout d'une heure il ouvrit les yeux.
Aicha (radhyallâhou'anha) a préservé pour nous ces moments de la mort de la créature la plus honoré de Dieu, Son bien-aimé messager (sallallâhou 'alayhi wa sallam), puisse-t-Il répandre Ses meilleures bénédictions sur lui.
Quand il rouvrit les yeux, Aicha (radhyallâhou'anha) se souvint qu'il lui disait : "Aucun Prophète ne mourut avant que ne lui soit montrée sa place au Paradis, et qu'il n'ait eu le choix entre vivre et mourir."
"Il ne nous choisira pas maintenant…" se dit-elle. Alors elle l'entendit murmurer : "Avec la communion suprême au Paradis, avec ceux sur qui Dieu a répandu ses faveurs, les Prophètes, les martyrs et les justes…"
Elle l'entendit encore murmurer : "O Seigneur, avec la suprême communion - al malaoul a'lâ …" Et ce fut les derniers mots qu'elle l'entendit prononcer.
Petit à petit sa tête devient plus lourde sur sa poitrine, jusqu'à ce que d'autres dans la chambre commencèrent à pleurer, Aicha (radhyallâhou'anha) posa alors sa tête sur un oreiller et se joignit à leurs pleurs.
Dans le sol de la chambre d'Aicha (radhyallâhou'anha), près du divan où il se trouvait, une tombe fut creusée, dans laquelle on enterra le Sceau des Prophètes. Ce fut une occasion de grand bouleversement et une grande douleur.
Aicha (radhyallâhou'anha) survécut au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) presque 50 ans. Elle avait été son épouse pendant dix ans.
Beaucoup de son temps, elle l'a passé à apprendre et comprendre les deux plus importantes sources de la guidée de Dieu : le Coran et la Sounnah du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam). Elle était l'une des trois épouses (les autres étant Hafsa et Oum Salamah (radhiyallâhou'anhouma)) à avoir mémorisé le Coran. Comme Hafsa (radhyallâhou'anha) elle eut son propre exemplaire du Coran, écrit après la mort du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam).
En ce qui concerne les hadiths ou les récits du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), Aicha (radhyallâhou'anha) fut une des quatre personnes (les autres étant Abou Hourayrah, Abdoullah ibn Oumar, et Anas ibn Malik (radhiyallâhou'anhoum)) à avoir transmis plus de 2 000 récits.
Beaucoup concernent certains des aspects les plus intimes du comportement personnel du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam), dont seule quelqu'un dans la situation d'Aicha (radhyallâhou'anha) pouvait avoir eu connaissance.
Le plus important est que sa connaissance des hadiths fut transmise à l'écrit par au moins trois personnes, dont son neveu Ourwah, qui devint un des plus grands savants de la génération suivant celle des compagnons.
Beaucoup de compagnons instruits et de leurs successeurs tirèrent profit de la connaissance d'Aicha (radhyallâhou'anha).
Abou Moussa al-Ash'ari a indiqué que "si nous, compagnons du Messager de Dieu (sallallâhou 'alayhi wa sallam), avions quelques difficultés sur une question, nous interrogions Aicha (radhyallâhou'anha) à son sujet."
Son neveu Ourwah affirma qu'elle était non seulement compétente en matière de fiqh (jurisprudence) mais aussi en matière de médecine et de poésie.
Plusieurs des compagnons âgés du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) sont venus chez elle lui demander conseil au sujet de questions relatives à l'héritage, qui nécessitent un esprit mathématique très habile.
Les savants la considérèrent comme l'un des premiers fouqaha (juristes) de l'Islam, au même titre que Oumar ibn al-Khattab, Ali et Abdoullah ibn Abbas (radhiyallâhou'anhoum).
(…)
Aicha (radhyallâhou'anha) a non seulement possédé un grand savoir, mais elle a participé activement à l'éducation et à la réforme sociale.
En tant que professeur elle avait un discours de style clair et persuasif ; et la puissance de son éloquence a été décrite en des termes superlatifs par al-Ahnaf qui a dit : "J'ai entendu des discours de Abou Bakr, de Oumar, de Uthman et de Ali (radhiyallâhou'anhoum) jusqu'à ce jour, mais je n'ai pas entendu de discours plus persuasif et plus beau de la bouche d'une autre personne que de la bouche de Aicha (radhyallâhou'anha)."
Les hommes et les femmes venaient de partout pour profiter de sa connaissance. On dit que le nombre de femmes était plus important que celui des hommes.
En plus de répondre aux questions, elle prit des garçons et des filles, dont certains étaient orphelins, sous sa tutelle, et les éduqua avec ses soins et ses conseils, ceci en plus de leurs parents, qui avaient reçu d'elle l'instruction. Sa maison devint ainsi une école et une université.
Certains de ses étudiants étaient exceptionnels. Nous avons déjà mentionné son neveu Ourwah en tant que distingué rapporteur de hadiths.
Parmi ses élèves femmes il y avait Oumrah bint Abdir Rahman. Elle est considérée par les érudits comme un rapporteur de hadiths digne de confiance. Elle était la secrétaire de Aicha (radhyallâhou'anha), recevant et répondant aux lettres qui lui était adressée.
L'exemple de Aicha (radhyallâhou'anha) qui favorisait l'éducation et en particulier l'éducation des femmes musulmanes en droit et dans les sciences islamiques est un exemple à suivre.
Après Khadîdja al-Kubra (la grande) et Fâtimah Az-Zahra (la resplendissante) (radhiyallâhou'anhouma), Aicha As-Siddiqah (la véridique) (radhyallâhou'anha) est considérée comme la meilleure femme de Islam.
En raison de la force de sa personnalité, elle était un meneur dans chaque domaine de la connaissance, dans la société, dans la politique et dans la guerre.
Elle a souvent regretté sa participation à la guerre mais a vécu assez longtemps pour regagner la position de femme la plus respectée de son temps.
Elle est morte en 58 après l'hégire, pendant le mois de Ramadan et pendant qu'elle enseignait.
Elle a été enterrée dans le (cimetière qui a pour nom) Jannat al-Baqi, dans la ville lumineuse (Madina Mounawwarah), à côté d'autres compagnons du prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam).
Comme tu dis il aimait bien joué avec les petites filles( au fait le cheikh a un peu transformé le hadith sur le prophète entrant au moment où aicha joue avec ses copines) je te laisse corriger
2)Pour le coup de faire passer le prophète pour un pauvre c'est un peu gonflé ( je reconnais qu'il a été pauvre au début de sa vie puis un peu après la mort de khadidja mais après grâce à ses pillages il se la coule douce j'ai la liste de ce qu'il possède si tu veux je te la donne le coup de la sourate le butin qui lui réserve un cinquième de toutes les razzias c'était très fort aussi)
3)Maintenant je ne veux pas nier l'amour du prophète pour cette petite fille mais il est arrivé au prophète de cogner aîcha ce que tu as oublié de mentionner
4) Je te rappelle que aicha avait six ans et mahomet 50 ans lorsqu'il a prise pour épouse, 9 ans et lui 53 ans quand il l'a consommé son<<mariage>> et toi tu n'appelles pas cela de la pédophilie. Pourquoi tu ne cites pas l'autres hadith complet lorsque mahomet est venu la chercher ?
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Ecrit le 08 mai04, 08:50
Evites de citer Assabyle, le site a déjà été sous le coup de plusieurs avertissements de la part des autorités belgesyoussef__abdouallah a écrit :Les mariages forcés ?
Fatwa de Cheikh el Islam Ibn Taymiyyah Rahimahullah. Extrait de "Al Masaa'il ul-Maardeeniyyah", Traduit par Assabyle.coM
Est-ce qu'un père peut forcer sa fille vierge qui a atteint la puberté à se marier ? Deux opinions bien connues sont rapportées à ce sujet par Ahmad :
1. Qu'il peut la forcer. C'est aussi l'opinion de Maalik, ash-Shaafi'i et d'autres.
2. Qu'il ne peut pas. C'est aussi l'opinion de Abou Hanifah et d'autres, et c'est l'opinion correcte.
Les gens ont beaucoup divergé sur la raison permettant la contrainte : soit c'est en raison de la virginité, soit parce que la fille est mineure, ou alors une combinaison des deux. L'opinion la plus proche de la vérité est qu'elle soit mineure, tandis que personne ne peut forcer une vierge adulte au mariage. Abou Hourayrah a rapporté que le Prophète a dit :
"Une femme qui n'est pas vierge ne peut pas être mariée sans son commandement, et une vierge ne peut pas être mariée sans sa permission, et une permission suffisante est le fait qu'elle garde le silence ( à cause de sa timidité naturelle)" [Al Boukhari, Mouslim et d'autres]
Ainsi, le Prophète interdit de forcer une fille vierge au mariage sans sa permission, que l'on soit son père ou qui que ce soit d'autre. De plus, Aicha a dit qu'elle avait demandé au Prophète : "Dans le cas d'une jeune fille que les parents marient, sa permission devrait-elle être demandée ou pas ? " Le prophète répondit : 'oui, elle doit donner sa permission'. Aicha dit ensuite : '"Mais une fille vierge sera trop timide, O Messager d'Allah" Il répondit :"Son silence est [considéré comme] sa permission " [Al Boukhari, Mouslim, et autres]
Ceci s'applique au père aussi bien qu'aux autres. De plus, l'Islam ne donne pas au père le droit d'utiliser quoi que ce soit des richesses de sa fille sans sa permission ; Comment serait-il alors possible qu'il puisse être autorisé à décider sans la permission de sa fille, comment son corps (qui est bien plus important que sa richesse) devrait être utilisé, particulièrement quand elle s'oppose à cela et qu'elle est mature pour décider pour elle-même ?
Aussi, il y a évidence et consensus en Islam sur le fait de restreindre la liberté de contrôle d'une personne mineure sur sa richesse ou sa personne. Cependant, faire de la virginité une raison pour la restriction, contredit la base Islamique.
Quant à la différence entre une personne non vierge et une personne vierge, dans le hadith du Prophète , ce n'est pas une différenciation entre la contrainte et la non contrainte ; la différence entre les deux cas est que :
1. La non vierge donne ses instructions pour le mariage alors que la vierge donne sa permission et que
2. Le silence d'une fille vierge est considéré comme son accord, sa permission.
La raison est qu'une fille vierge serait trop timide pour discuter au sujet du mariage, donc on ne lui propose pas directement à elle une offre de mariage, mais plutôt à son Wali (responsable) qui demande la permission à la fille. Donc elle donne ensuite son accord et non l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Et quant à une fille non vierge, elle n'aurait plus la timidité de la virginité, ainsi elle peut parler au sujet du mariage, on peut lui proposer une offre de mariage directement à elle et elle donne à son Wali l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Ainsi, le Wali est exécuteur d'ordre dans le cas d'une fille non vierge et il est demandeur de permission dans le cas d'une fille vierge. C'est ce que les mots du Prophète indiquent.
Et quant à la forcer à se marier malgré sa volonté, cela contredirait les fondements et la raison.
Allah n'a pas autorisé un Wali à la forcer à vendre ou louer sa propriété sans sa permission. Il ne l'a pas autorisé non plus à la forcer à manger ou boire ou porter ce qu'elle ne veut pas. Comment pourrait-Il alors l'obliger à accompagner et copuler avec une personne dont elle déteste la compagnie ? Alors que Allah a placé entre les deux époux Amour et Bénédiction ? Si une telle compagnie arrive malgré sa haine et sa répulsion, où est l'amour et la bénédiction
Il y a peu près deux semaines on pouvait encore lire cela http://www.assabyle.com/services/forum/ ... hp?t=19574
J'ai jamais compris comment une fille pouvait être d'accord pour se marier sans dire un mot à son époux tu peux m'expliquer s'il te plaît ?
- issa
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Ecrit le 08 mai04, 12:30
MENSONGES !!!!
la femme lors de la ceremonie de mariage doit imperativement marque son accord sans celui ci le mariage est nul donc ne vient pas me parler de mariage forcer! en tout cas pas en tant que regles islamiques! y a jamais eu de mariage forcés en europe ou amerique chretienne ???? jamais regarez ta religion avant de parler de celle des autres !(surtout sans science un oulema a dit ca et alors un tel a fait des fatwa? m en fout moi des fatwa les oulema sont des humains donc imparfait seul Allah est parfait et pour tirer son dogme il suffit de le faire dans le coran et la sounna ou y a pas de mariage forces menteur

Ecrit le 08 mai04, 12:45
Le mariage avec Aicha est un mariage forcé. Je ne vois pas comment une fillette inconsciente de 6 ans peut s'engager à épouser un homme de 50 ans. D'abord parce qu'à cet âge; on ne sait même pas ce que le mot consentement signifie, et qu'en plus, on ne rêve pas d'un vieux monsieur, mais d'un petit amoureux de son âge.
A'icha (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit:
"J'avais six ans lorsque le Prophète (pbAsl) m'épousa et neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi. Quand nous nous rendîmes à Médine, j'avais eu de la fièvre un mois durant et mes cheveux avaient poussé jusqu'à mes épaules. Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver alors que j'étais sur une balançoire, entourée de mes camarades. Quand elle m'eut appelé, je me rendis auprès d'elle sans savoir ce qu'elle voulait de moi. Elle me prit par la main, me fit rester à la porte de la maison jusqu'à ce que j'eusse pris mon souffle. Elle me fit ensuite entrer dans une maison où se trouvaient des femmes des 'Ansâr qui me dirent: "A toi le bien, la bénédiction et la meilleure fortune!". Ma mère m'ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent la tête; et se mirent à me parer. Or, rien ne m'effraya et quand l'Envoyé d'Allah (pbAsl) vint dans la matinée; elles me remirent à lui".
"Me remirent à lui "dit-elle, comme un paquet qu'on livre. elle a été donnée par des adultes à un autre adulte, alors qu'elle n'était qu'une enfant. C'est écoeurant!
Voilà un petit bikou digne de Issa :
Les mariages forcés ?
Fatwa de Cheikh el Islam Ibn Taymiyyah Rahimahullah. Extrait de "Al Masaa'il ul-Maardeeniyyah", Traduit par Assabyle.coM
Est-ce qu'un père peut forcer sa fille vierge qui a atteint la puberté à se marier ? Deux opinions bien connues sont rapportées à ce sujet par Ahmad :
1. Qu'il peut la forcer. C'est aussi l'opinion de Maalik, ash-Shaafi'i et d'autres.
2. Qu'il ne peut pas. C'est aussi l'opinion de Abou Hanifah et d'autres, et c'est l'opinion correcte.
Les gens ont beaucoup divergé sur la raison permettant la contrainte : soit c'est en raison de la virginité, soit parce que la fille est mineure, ou alors une combinaison des deux. L'opinion la plus proche de la vérité est qu'elle soit mineure, tandis que personne ne peut forcer une vierge adulte au mariage. Abou Hourayrah a rapporté que le Prophète a dit :
"Une femme qui n'est pas vierge ne peut pas être mariée sans son commandement, et une vierge ne peut pas être mariée sans sa permission, et une permission suffisante est le fait qu'elle garde le silence ( à cause de sa timidité naturelle)" [Al Boukhari, Mouslim et d'autres]
Ainsi, le Prophète interdit de forcer une fille vierge au mariage sans sa permission, que l'on soit son père ou qui que ce soit d'autre. De plus, Aicha a dit qu'elle avait demandé au Prophète : "Dans le cas d'une jeune fille que les parents marient, sa permission devrait-elle être demandée ou pas ? " Le prophète répondit : 'oui, elle doit donner sa permission'. Aicha dit ensuite : '"Mais une fille vierge sera trop timide, O Messager d'Allah" Il répondit :"Son silence est [considéré comme] sa permission " [Al Boukhari, Mouslim, et autres]
Ceci s'applique au père aussi bien qu'aux autres. De plus, l'Islam ne donne pas au père le droit d'utiliser quoi que ce soit des richesses de sa fille sans sa permission ; Comment serait-il alors possible qu'il puisse être autorisé à décider sans la permission de sa fille, comment son corps (qui est bien plus important que sa richesse) devrait être utilisé, particulièrement quand elle s'oppose à cela et qu'elle est mature pour décider pour elle-même ?
Aussi, il y a évidence et consensus en Islam sur le fait de restreindre la liberté de contrôle d'une personne mineure sur sa richesse ou sa personne. Cependant, faire de la virginité une raison pour la restriction, contredit la base Islamique.
Quant à la différence entre une personne non vierge et une personne vierge, dans le hadith du Prophète , ce n'est pas une différenciation entre la contrainte et la non contrainte ; la différence entre les deux cas est que :
1. La non vierge donne ses instructions pour le mariage alors que la vierge donne sa permission et que
2. Le silence d'une fille vierge est considéré comme son accord, sa permission.
La raison est qu'une fille vierge serait trop timide pour discuter au sujet du mariage, donc on ne lui propose pas directement à elle une offre de mariage, mais plutôt à son Wali (responsable) qui demande la permission à la fille. Donc elle donne ensuite son accord et non l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Et quant à une fille non vierge, elle n'aurait plus la timidité de la virginité, ainsi elle peut parler au sujet du mariage, on peut lui proposer une offre de mariage directement à elle et elle donne à son Wali l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Ainsi, le Wali est exécuteur d'ordre dans le cas d'une fille non vierge et il est demandeur de permission dans le cas d'une fille vierge. C'est ce que les mots du Prophète indiquent.
Et quant à la forcer à se marier malgré sa volonté, cela contredirait les fondements et la raison.
Allah n'a pas autorisé un Wali à la forcer à vendre ou louer sa propriété sans sa permission. Il ne l'a pas autorisé non plus à la forcer à manger ou boire ou porter ce qu'elle ne veut pas. Comment pourrait-Il alors l'obliger à accompagner et copuler avec une personne dont elle déteste la compagnie ? Alors que Allah a placé entre les deux époux Amour et Bénédiction ? Si une telle compagnie arrive malgré sa haine et sa répulsion, où est l'amour et la bénédiction ?
N'importe quoi vraiment! Une fillette terrorisée par un type trop vieux pour elle, avec en plus ses parents qui la donnent, où est-ce qu'elle va la trouver la force de dire non?
On sait tous que la majorité des musulmanes subissent le choix deleur mari. La majorité des cas de suicide féminin dans les pays musulmans sont consécutif à un mariage forcé. C'est généralement le père qui décide de l'époux de sa fille. Elle, elle a juste le droit de se faire engrosser ert tabasser. Les mariages d'amour au pays de Mohamed sont une denrée exotique.
Al
A'icha (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit:
"J'avais six ans lorsque le Prophète (pbAsl) m'épousa et neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi. Quand nous nous rendîmes à Médine, j'avais eu de la fièvre un mois durant et mes cheveux avaient poussé jusqu'à mes épaules. Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver alors que j'étais sur une balançoire, entourée de mes camarades. Quand elle m'eut appelé, je me rendis auprès d'elle sans savoir ce qu'elle voulait de moi. Elle me prit par la main, me fit rester à la porte de la maison jusqu'à ce que j'eusse pris mon souffle. Elle me fit ensuite entrer dans une maison où se trouvaient des femmes des 'Ansâr qui me dirent: "A toi le bien, la bénédiction et la meilleure fortune!". Ma mère m'ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent la tête; et se mirent à me parer. Or, rien ne m'effraya et quand l'Envoyé d'Allah (pbAsl) vint dans la matinée; elles me remirent à lui".
"Me remirent à lui "dit-elle, comme un paquet qu'on livre. elle a été donnée par des adultes à un autre adulte, alors qu'elle n'était qu'une enfant. C'est écoeurant!
Voilà un petit bikou digne de Issa :
Les mariages forcés ?
Fatwa de Cheikh el Islam Ibn Taymiyyah Rahimahullah. Extrait de "Al Masaa'il ul-Maardeeniyyah", Traduit par Assabyle.coM
Est-ce qu'un père peut forcer sa fille vierge qui a atteint la puberté à se marier ? Deux opinions bien connues sont rapportées à ce sujet par Ahmad :
1. Qu'il peut la forcer. C'est aussi l'opinion de Maalik, ash-Shaafi'i et d'autres.
2. Qu'il ne peut pas. C'est aussi l'opinion de Abou Hanifah et d'autres, et c'est l'opinion correcte.
Les gens ont beaucoup divergé sur la raison permettant la contrainte : soit c'est en raison de la virginité, soit parce que la fille est mineure, ou alors une combinaison des deux. L'opinion la plus proche de la vérité est qu'elle soit mineure, tandis que personne ne peut forcer une vierge adulte au mariage. Abou Hourayrah a rapporté que le Prophète a dit :
"Une femme qui n'est pas vierge ne peut pas être mariée sans son commandement, et une vierge ne peut pas être mariée sans sa permission, et une permission suffisante est le fait qu'elle garde le silence ( à cause de sa timidité naturelle)" [Al Boukhari, Mouslim et d'autres]
Ainsi, le Prophète interdit de forcer une fille vierge au mariage sans sa permission, que l'on soit son père ou qui que ce soit d'autre. De plus, Aicha a dit qu'elle avait demandé au Prophète : "Dans le cas d'une jeune fille que les parents marient, sa permission devrait-elle être demandée ou pas ? " Le prophète répondit : 'oui, elle doit donner sa permission'. Aicha dit ensuite : '"Mais une fille vierge sera trop timide, O Messager d'Allah" Il répondit :"Son silence est [considéré comme] sa permission " [Al Boukhari, Mouslim, et autres]
Ceci s'applique au père aussi bien qu'aux autres. De plus, l'Islam ne donne pas au père le droit d'utiliser quoi que ce soit des richesses de sa fille sans sa permission ; Comment serait-il alors possible qu'il puisse être autorisé à décider sans la permission de sa fille, comment son corps (qui est bien plus important que sa richesse) devrait être utilisé, particulièrement quand elle s'oppose à cela et qu'elle est mature pour décider pour elle-même ?
Aussi, il y a évidence et consensus en Islam sur le fait de restreindre la liberté de contrôle d'une personne mineure sur sa richesse ou sa personne. Cependant, faire de la virginité une raison pour la restriction, contredit la base Islamique.
Quant à la différence entre une personne non vierge et une personne vierge, dans le hadith du Prophète , ce n'est pas une différenciation entre la contrainte et la non contrainte ; la différence entre les deux cas est que :
1. La non vierge donne ses instructions pour le mariage alors que la vierge donne sa permission et que
2. Le silence d'une fille vierge est considéré comme son accord, sa permission.
La raison est qu'une fille vierge serait trop timide pour discuter au sujet du mariage, donc on ne lui propose pas directement à elle une offre de mariage, mais plutôt à son Wali (responsable) qui demande la permission à la fille. Donc elle donne ensuite son accord et non l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Et quant à une fille non vierge, elle n'aurait plus la timidité de la virginité, ainsi elle peut parler au sujet du mariage, on peut lui proposer une offre de mariage directement à elle et elle donne à son Wali l'ordre d'accomplir le mariage et il doit lui obéir.
Ainsi, le Wali est exécuteur d'ordre dans le cas d'une fille non vierge et il est demandeur de permission dans le cas d'une fille vierge. C'est ce que les mots du Prophète indiquent.
Et quant à la forcer à se marier malgré sa volonté, cela contredirait les fondements et la raison.
Allah n'a pas autorisé un Wali à la forcer à vendre ou louer sa propriété sans sa permission. Il ne l'a pas autorisé non plus à la forcer à manger ou boire ou porter ce qu'elle ne veut pas. Comment pourrait-Il alors l'obliger à accompagner et copuler avec une personne dont elle déteste la compagnie ? Alors que Allah a placé entre les deux époux Amour et Bénédiction ? Si une telle compagnie arrive malgré sa haine et sa répulsion, où est l'amour et la bénédiction ?
N'importe quoi vraiment! Une fillette terrorisée par un type trop vieux pour elle, avec en plus ses parents qui la donnent, où est-ce qu'elle va la trouver la force de dire non?
On sait tous que la majorité des musulmanes subissent le choix deleur mari. La majorité des cas de suicide féminin dans les pays musulmans sont consécutif à un mariage forcé. C'est généralement le père qui décide de l'époux de sa fille. Elle, elle a juste le droit de se faire engrosser ert tabasser. Les mariages d'amour au pays de Mohamed sont une denrée exotique.
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Ecrit le 08 mai04, 14:28
oui et bien voit comme elle etait jalouse (donc aimait le prophete saw) et apres parle de mariage force ,amusant je dois dire le pire c est que tu n en demords pas et non tres cher ami le prophete (saw)n etait pas le monstre que tu veux depeidre c etait un saint homme dont beaucoup de lettrés non musulman font leloge ca te mine hein? ca te rend malade n est pas? et bien c est comme ca que tu le veuille ou non!
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Ecrit le 08 mai04, 19:47
Honnêtement, je me demande quels sont ces lettrés non musulmans, nombreux, qui font l'éloge de ce "saint homme".issa a écrit :oui et bien voit comme elle etait jalouse (donc aimait le prophete saw) et apres parle de mariage force ,amusant je dois dire le pire c est que tu n en demords pas et non tres cher ami le prophete (saw)n etait pas le monstre que tu veux depeidre c etait un saint homme dont beaucoup de lettrés non musulman font leloge ca te mine hein? ca te rend malade n est pas? et bien c est comme ca que tu le veuille ou non!

Quant à Aicha, j'espère qu'elle n'était pas jalouse car la jalousie est toujours un symptôme d'une grande pauvreté affective. La personne jalouse tente de combler un vide intérieur où se trouvent souvent de grands sentiments d'infériorité. Le jaloux CROIT AIMER mais il ne fait que chercher sa propre sécurité intérieure. La jalousie est une forme aiguë d'autoritarisme.
La jalousie est toujours le symptôme de déséquilibre affectif.
- desertdweller
Ecrit le 08 mai04, 22:32
Mais on s’en fout de l’age de Aicha et de la pedophilie de Mohammed. Ca a eu lieu il y 1400 ans. Que Aicha soit devenue la grande heroine, qu’elle aie lave le sperme de mohammed, etc. Quand mon epouse met mes calcifs dans la laveuse a linge elle ne pose pas de questions sur l’origine des taches. Elle lave. Point barre.
Tout ce compte, ce sont sont les vieux degeulasses (le pere de mon patron par exemple http://french.faithfreedom.org/forum/vi ... highlight= pour rappel)
Qui se cachent derriere leur saint prophete pour epouser des gamine tout juste pubere, achetee a des parents trop pauvre pour dire non. Des gamines a qui les maternites doivent pratiquer des cesariennes parce que leur bassin est trop etroit.
Ca, le saint prophete de l’Islam, l’exemple pour l’humanite, en porte toute la responsabilite.
Tout ce compte, ce sont sont les vieux degeulasses (le pere de mon patron par exemple http://french.faithfreedom.org/forum/vi ... highlight= pour rappel)
Qui se cachent derriere leur saint prophete pour epouser des gamine tout juste pubere, achetee a des parents trop pauvre pour dire non. Des gamines a qui les maternites doivent pratiquer des cesariennes parce que leur bassin est trop etroit.
Ca, le saint prophete de l’Islam, l’exemple pour l’humanite, en porte toute la responsabilite.
Ecrit le 09 mai04, 00:57
Tu parles si elle a été jalouse Kate, elle a fait tout un flan quand Mohamed a débarqué avec Zayneb.
Il lui a sorti que c'était pas lui qui voulait, mais Allah qui l'avait marié au 7e Ciel avec elle. Bref, c'était Allah qui avait décidé. Il lui a perfidement demandé si elle voulait s'opposer à sa volonté pour parer à toute contestation, sachant par avance le résultat que ça aurait sur la femme dépitée. Machiavélique non?
D'ailleurs Zayneb pour la faire bisquer lui a dit , oui, toi, c'est les Hommes qui t'ont mariée à lui, mais moi, c'est mieux, c'est Allah lui même.
tu trouveras cet épisode dans la bio' de Mohamed par Al Tabari. Son hagiographe incontesté, que même Issa ne pourra pas réfuter, sauf à dire "non c'est même pas vrai" comme d'hab.
En résumé, pour épouser une fillette, c'est Allah qu'a dit, pour se prendre une nouvelle femme plus jeune cette fois, Aicha ayant vieilli depuis, c'est encore Allah qu'a dit. Lui, il a rien à se reprocher. En bon soumis, il s'exécute.
Al
Il lui a sorti que c'était pas lui qui voulait, mais Allah qui l'avait marié au 7e Ciel avec elle. Bref, c'était Allah qui avait décidé. Il lui a perfidement demandé si elle voulait s'opposer à sa volonté pour parer à toute contestation, sachant par avance le résultat que ça aurait sur la femme dépitée. Machiavélique non?
D'ailleurs Zayneb pour la faire bisquer lui a dit , oui, toi, c'est les Hommes qui t'ont mariée à lui, mais moi, c'est mieux, c'est Allah lui même.
tu trouveras cet épisode dans la bio' de Mohamed par Al Tabari. Son hagiographe incontesté, que même Issa ne pourra pas réfuter, sauf à dire "non c'est même pas vrai" comme d'hab.
En résumé, pour épouser une fillette, c'est Allah qu'a dit, pour se prendre une nouvelle femme plus jeune cette fois, Aicha ayant vieilli depuis, c'est encore Allah qu'a dit. Lui, il a rien à se reprocher. En bon soumis, il s'exécute.
Al
Modifié en dernier par Al le 09 mai04, 08:46, modifié 1 fois.
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