medico a écrit :donne moi une preuve biblique de tes affirmations !
merci d'avance.
Cette doctrine est là pour votre salut, pour votre union à Dieu. La bible n'est qu'une semence de ce nouveau testament, si cette semence ne s'accroit pas, elle ne porte pas de fruit.
Voici le mieux que je peut faire pour vous convaincre en fait de référence biblique.
L'olivier français
Tout d’abord, je ne veux pas prétendre de tout savoir et de tout comprendre ou de prétendre de n’avoir nul besoin des lumières des autres. Mais, je me sens forcé de vous relancer encore une fois au sujet de la France.
Alors, je le répète, il n’y a pas une centaine de peuples de Dieu sur la terre mais un seul et Notre-Seigneur veut ici les enfants de Son peuple, soit les Français. D’ailleurs, l’émergence des différentes races de la terre, au temps de la tour de Babel, n’est pas une bénédiction du bon Dieu, mais un châtiment. Alors, les enfants des nations de la terre deviennent comme des païens car pour eux devenir Français fait partie de leur conversion et de leur unification. Il ne faut pas voir cette façon de parler comme une marque de mépris envers les personnes des autres races, mais sans cette unification, il n’y aura pas d’unité chrétienne et c’est la Nouvelle-France qui sera ce point de convergence pour toutes les nations.
Pour comprendre, saint Paul dira que « …tous ceux qui descendent d'Israël ne sont pas Israélites; et ceux qui sont de la race d'Abraham ne sont pas tous ses enfants; mais Dieu lui dit: C'est d'Isaac que sortira la race qui portera ton nom. C'est-à-dire que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu; mais ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la postérité. »
Épître de saint Paul aux Romains IX, 6-8
Autrement dit, tous ceux qui descendent de la France ne sont pas tous Français et ceux qui sont de la race de Clovis ne sont pas tous ses enfants c’est-à-dire que ce ne sont pas les Français selon la chair qui sont les enfants du peuple de Dieu mais ce sont les enfants des promesses faites à la France qui sont regardés comme la postérité et les promesses faites à la France, elles sont pour nous tous.
Alors, ceux qui détiennent ces promesses sont les véritables Français et ces promesses sont accessible à tous les habitants de la terre qui veulent s’unir à la Nouvelle-France. Qu’il saisisse, celui qui peut saisir. Ainsi, « Ce que je dis, frères, c'est que la chair et le sang ne peuvent posséder le royaume de Dieu, et la corruption ne possédera pas non plus l'incorruptibilité. »
1er Épître de saint Paul aux Corinthiens XV, 50.
De plus, nous pouvons lire, dans l’évangile, l’histoire d’une femme chananéenne, païenne et syrophénicienne d’origine qui alla à la rencontre de Jésus pour obtenir du secours pour sa fille et Notre-Seigneur lui répondra : «Je ne suis envoyé que pour les brebis de la maison d’Israël qui se sont perdues.»
Saint Matthieu XV, 24 c’est-à-dire que comme Jésus, nous sommes envoyés que pour les brebis de la maison de France qui se sont perdues. Alors, la païenne supplie encore Jésus et Celui-ci répond : « Laisse d’abord les enfants se rassasier, repartit Jésus. Il ne convient pas de prendre le pain des enfants et de le jeter aux chiens ».
Saint Marc VII, 27
Autrement dit, pour nous cela signifie que les enfants perdues de la maison de France doivent recevoir le pain de la grâce divine en premier et qu’il ne convient pas de le donner aux autres nations. La chananéenne approuve en disant : « C’est vrai, Seigneur! dit-elle; mais les petits chiens, sous la table de leurs maîtres, mangent les miettes que les enfants laissent tomber. »
Saint Matthieu XV, 27 c’est-à-dire que lorsque les enfants perdues de la maison de France seront rassasiés des grâces divines, il tombera des bénédictions sur les autres nations, soit les miettes et toutes les nations qui se convertiront à la nation française recevront eux aussi ce pain de grâce divine car ils deviendront eux aussi les enfants du peuple de Dieu, soit des Français. Alors, cessons de courir après les miettes, mais plutôt après le pain des enfants.
Lors de la Révolution française, les enfants du peuple de Dieu, soit les Français, sont tombés de leur table les réduisant à l’état de païens comme toutes les autres nations. La France de Dieu devint alors une France selon la chair, soit la République française. Et nous pourrions dire comme saint Paul : « Je dis donc: Ne se sont-ils heurtés que pour tomber? Loin de là! Mais par leur faute, le salut est venu aux païens [ou aux autres nations], de manière à exciter leur émulation. Si leur faute a été la richesse du monde, et leur diminution la richesse des païens [ou des autres nations] , combien plus en sera-t il de leur plénitude! Car je vous le dis, à vous, païens: Tant que je serai l'Apôtre des gentils [ou des autres nations] ,j'honorerai mon ministère, dans l'espoir de provoquer l'émulation de ceux de ma chair [soit les Français selon la chair], et d'en sauver quelques-uns. Car si leur perte a été la réconciliation du monde, que sera leur admission [ou leur intégration], sinon une résurrection d'entre les morts?
Épître de saint Paul aux Romains XI, 11-15.
Donc, la chute des Français fera fortune aux autres nations en attirants ici dans notre royaume des personnes de toutes les nationalités. Alors, mon espérance c’est que par notre conversion à la race française selon Dieu cela excitera l’émulation et la conversion des brebis perdues de la maison de France qui à leur tour suscitera l’émulation et la conversion de la République française. Ainsi, cette République redeviendra la France de Dieu par son intégration à la Nouvelle-France. Et cette Nouvelle-France suscitera l’émulation et la conversion de toutes les autres nations. Comme dit saint Paul, se sera une résurrection d’entre les morts.
« […] Quelquefois, un vieil arbre est coupé dans la forêt ; il ne reste plus que le tronc ; mais un rejeton pousse au printemps et les années le développent et le font grandir ; il devient lui-même un arbre magnifique et l’honneur de la forêt. Priez pour la France, Ma fille, priez beaucoup, ne cessez point de prier ! » Message de Jésus, sur la France, le 20 novembre 1843, dans une apparition à Marie Lataste, religieuse du Sacré-Cœur.
Ensuite, saint Paul continue en disant :
« Si les prémices sont saintes, la masse l'est aussi; et si la racine est sainte, les branches le sont aussi. Si quelques-unes des branches [ou toutes les branches jusqu’au tronc] ont été brisées [soit toute la France], et si toi, qui étais un olivier sauvage [soit d’une autre nationalité], tu as été greffé parmi elles [ou au rejeton, soit la Nouvelle-France] , et mis en participation avec la racine et la sève de l'olivier [soit la Nouvelle-France] , ne te glorifie pas aux dépens des branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que la racine [la Nouvelle-France] te porte. Mais, diras-tu, les branches ont été brisées, afin que je fusse greffé. Bien, c'est à cause de leur incrédulité qu'elles ont été brisées; et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'enorgueillis pas, mais crains. Car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, Il ne t'épargnera peut-être pas non plus. Vois donc la bonté et la sévérité de Dieu: Sa sévérité envers ceux qui sont tombés; envers toi la bonté de Dieu, si tu demeures ferme dans cette bonté; autrement tu seras retranché, toi aussi. Eux de même, s'ils ne persistent pas dans l'incrédulité, ils seront greffés; car Dieu est puissant pour les greffer de nouveau. En effet, si tu as été coupé sur un olivier sauvage de sa nature[soit d’une autre nation] , et greffé, contre ta nature, sur l'olivier franc [soit la Nouvelle-France] , à combien plus forte raison ceux qui sont les branches naturelles seront-ils greffés sur leur propre olivier? [soit la Nouvelle-France] Car je ne veux pas, mes frères, que vous ignoriez ce mystère (afin que vous ne soyez point sages à vos propres yeux): c'est qu'une partie d'Israël [ou toute la France] est tombée dans l'aveuglement, jusqu'à ce que la plénitude des païens [ou des nations] soit entrée. »
Épître de saint Paul aux Romains XI, 16-25.
Alors, « …De même donc qu'autrefois vous-mêmes vous n'avez pas cru à Dieu, et que vous avez maintenant obtenu miséricorde à cause de leur incrédulité; eux de même n'ont pas cru maintenant, à cause de la miséricorde dont vous avez été l'objet, afin qu'eux aussi ils obtiennent miséricorde. Car Dieu a tout enfermé dans l'incrédulité, afin de faire miséricorde à tous. »
Épître de saint Paul aux Romains XI, 30-32.
Alors, autrement dit, Jésus nous a coupé d’un olivier sauvage auquel nous appartenions par nature, soit d’une autre nation, afin d’être greffé, contre nature, sur un olivier franc, soit la Nouvelle-France de Dieu. Et la France, en devenant une république selon la chair ou un olivier sauvage, est tombé dans l’endurcissement afin que la plénitude des nations ou des païens soient entré dans la Nouvelle-France. Alors, il ne faudrait pas que les branches ignorent les racines, soit la Nouvelle-France, car ce sont elles qui donnent la sève, soit les grâces divines et un arbre sans racine ne peut survivre. Ainsi, le succès de notre sanctification dépend de notre amour pour la France car Jésus-Christ et la France ne font qu’un. Alors, nous ne pouvons pas nous unir intimement à Jésus sans une union intime à Sa France selon Son esprit. D’ailleurs, Jésus dira à Marcel Van que les Français Lui appartiennent d’une façon particulière.
Alors, sans l’établissement de la Nouvelle-France, il n’y aura pas d’union intime avec Jésus-Christ.