
Je l'ai inventé...
L'agnosticisme c'est la religion du pourquoi car Dieu se demande depuis toujours pourquoi il nous a créé ainsi...
Si vous avez des idées pour l'améliorer faite moi part en PV

Shan a écrit :Un athée achète une vieille lampe à huile. De retour chez lui, il ne peut résister à l'idée de la frotter. Et là, surprise! un génie sort de la lampe!
-Oh mon maître, tu as frotté la lampe magique, par conséquent tu as droit à trois souhaits.
-Mince, c'est vraiment génial! Je souhaiterais y croire mais c'est trop beau!
*pouf*
-Votre premier vœu est exhaussé, mon maître.
-Mais c'est trop cool! J'y crois vraiment! Je souhaiterais que tous les autres athées y croient!
*pouf*
-Votre deuxième vœu est exhaussé, mon maître.
-Zut! Déjà le dernier... Voyons... Je souhaiterais avoir dix millions d'euro!
*silence*
-Bah alors? Qu'est ce qui se passe? Où est mon argent?!
Le génie sourit méchamment et répond :
-Ce n'est pas parce que tu crois en moi que j'existe! MWAHAHAHAHAHA!
C'est magnifique comme histoire, nul ne peut échapper à son destin. Tout ce que nous faisons ne fait que nous conduire à ce futur.Mil21 a écrit :Allez, en hommage à mon ancienne croyance, un petit conte japonais. Je me suis délecté de l'humour grinçant et assez tragique de la morale de ce petit conte que je meurs d'envie de vous faire découvrir.
Aiko, le bras droit de l'empereur Go-Toba Tenno arriva en courant vers celui-ci et dit:
-"Ô Grand empereur Tenno, je dois vous demander de partir très loin de Kobe pour ainsi aller à Kyoto."
-"Et pourquoi mon cher ami?" Repris l'empereur.
Aiko enchaîna:
-"Je dois m'en aller d'ici le plus vite possible. J'ai croisé Seikyo (la mort) sous une longue robe noire au marché près du temple Zen."
-"Seikyo? Avez-vous réellement vu Seikyo?" demanda le souverain.
-"Oui, oui. Aussi vrai que je vous parle en ce moment."
-"Bien. Que vous a-t-elle dit?"
-"Rien. Elle m'a seulement regardée d'un air menaçant en me tenant l'épaule gauche."
Convaincu du récit de son bras droit dont il avait tant besoin, l'empereur l'approuva et le laissa partir. Le matin venu, Aiko parti pour Kyoto aussi rapidement qu'un yachoo (oiseau sauvage).
Intrigué à l'idée de sont récit effroyable et cruel, Go-Toba décida d'aller rencontrer Seikyo elle-même pour de plus amples explications.
Arrivé au marché près du temple des moines Zen, le souverain, déguisé, aperçu Seikyo avec sa longue tunique noire entourant un corps squelettique en train de toucher l'épaule d'une vieille femme faisant le marché avec son petit panier de bambou, l'empereur l'approcha calmement. Tenno lui toucha l'épaule et l'appela par son nom.
Seikyo, en reconnaissant le souverain, le salua discrètement puis l'écouta.
-"Dites moi. Un de mes bras droits, Aiko, m'a dit que vous lui aviez touché l'épaule hier matin, et l'avez regardé d'un air menaçant. Que signifie ces gestes."
-"Bien, oui je lui ai touché l'épaule, mais je n'avais pas de mauvaises intentions." répondit Seikyo.
-"Alors que signifie ces gestes?" rétorqua Tenno.
-"Eh bien, je l'ai croisé sur le marché. Surprise de sa présence, je l'ai intercepté."
-"Et pourquoi étiez-vous surpris de le voir ?" ajouta le souverain.
-"Bien j'ai été surprise car je devais le rencontrer ce soir à Kyoto."
Semtex a écrit :C'est un chrétien qui meurt. A son arrivée dans le lieu qui n'a pas de nom, il est accueilli, comme il se doit, par le Christ. Celui-ci lui dit :
- Bonjour, bienvenue. Nous allons nous rendre dans votre nouveau lieu de résidence. Mais il faut un peu marcher. Faites bien attention à ne pas faire de bruit tout du long de ce mur, là, à gauche.
Le gars fait ce qu'on lui a demandé. Pris de curiosité, après avoir dépassé le fameux mur, il demande au Christ :
- Pourquoi cette consigne de silence ?
Et Jésus lui répond :
- Derrière le mur, il y a tous les athées, et il ne faut pas les vexer, ils croient que Dieu n'existe pas. Il faut leur laisser ça quand même...
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