excuse moi kaf3 bonjour a toi aussiquintessence a écrit :
musulman c'est pas l'exemple parfait de l'islam mohamed oui il faut copier du mieu qu'on peut mohamed car c'est lui l'homme exemple de tout les temps et on s'estime heureux d'étre aprés son passage sur terre et pas avant car c'est vrai que méme les prophétes avant lui sont des exemple parfait mais mohamed est envoyé a l'univers entier pas seulement a son peuple.
Pourquoi une Religion???
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
- quintessence
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Ecrit le 26 avr.05, 03:49
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Ecrit le 27 avr.05, 02:17
bonjour kaf3kaf3 a écrit :nasser,
-je te rappelle que pour Comprendre et Interpréter la Bible,il
est Nécessaire que le Saint-Esprit me Guide,car mon intellect seul
n'est pas suffisant pour cela,c'est pourquoi ceux qui lisent la Bible
sans la Foi en Jésus,n'y comprennent pas grand chose,et ceux qui
comme moi la lisent,sont obligés de la lire Plusieurs fois pour la
comprendre de mieux en mieux(mais jamais Complétement)!!!
-vu que tu mets en doute la Divinité de Jésus,dois-je comprendre
que le Coran n'ajoute rien de Positif à la Bible,mais qu'au contraire,
il Retranche la Seule Chose Positive,soit Dieu fait homme pour le
Sauver dans son Amour???
-le verset Jean 17:3!
tu sais concernant l'intelligence, DIEU dit en daniel que les pieux, ceux qui obéissent a DIEU, a YAHWE sabaot, ceux là seront perspicaces et comprendront les choses, et il dit en jérémie, qu'on doit se glorifier seulement dans l'intelligence de la crainte du seigneur, bien allons y doucement comme je te l'ai dit:
pourkoi DIEU n'est pas jésus fait homme, tout d'abord tu ne verras jamais jésus dirent je suis DIEU fait homme
tu as dit que jésus est la vérité, alors dans ce cas là il ne dit que la vérité, et sa vérité, c'est qu'il a dit qu'il n'ya de DIEU que DIEU et que lui même est son envoyé, voilà la vérité de jésus, maintenant si tu dis le contraire, tu fais de lui un menteur, si tu aimes la vérité alors suis jésus quand il te dit que seul DIEU est DIEU
sinon tu mentirais contre lui, et dans ce cas là il ne t'aimera pas!
une preuve pour toi: dans esaie le prophète DIEU dit:
a qui me comparez vous, suis je un homme moi dit l'eternel
voilà, DIEU te dit qu'il n'est pas un homme, toi tu dis que jésus est DIEU fait homme!!!
qui a raison toi ou DIEU???
- marseillais
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Ecrit le 27 avr.05, 04:49
Mahomet, le beau modèle ?musulman c'est pas l'exemple parfait de l'islam mohamed oui il faut copier du mieu qu'on peut mohamed car c'est lui l'homme exemple de tout les temps
Il est surprenant de constater la différence qui existe entre l'image négative du prophète Mahomet chez les non-musulmans et l'image plus que positive du même prophète chez les fidèles de l'Islam. Saint Jean Damascène, célèbre théologien syrien du VIIIe siècle, considère Mahomet comme un faux prophète : « II alla disant qu'une Ecriture lui était tombée du ciel. » Si Mahomet, en Occident chrétien, est qualifié de fourbe, barbare, démoniaque, pillard, sanguinaire, stupide, bestial, arrogant, c'est certes à cause de ses très nombreux mariages mais aussi en raison de ses expéditions militaires où il a été amené à verser le sang, à s'attribuer des captives de guerre, à partager le butin. Martine Gozian, dans son livre sur l'islamisme (Martine Gozian, Pour comprendre l'intégrisme islamiste, Albin Michel, « Espaces libres », 1995.), ne craint pas de dire qu'il y a deux Mahomet. Un Mahomet fasciné par l'exemple de Jésus, attiré par la prière, sensible à la tendresse et à la douceur, et un Mahomet, celui de Médine, qui va se montrer parfois rancunier, cruel, conquérant : « Aucune grille d'explication de l'Islam ne peut passer sous silence cette dualité. » Le prophète aux deux visages. Or les musulmans honorent particulièrement le Mahomet de Médine. D'après un hadîth : « L'Islam est attaché à Médine comme le serpent à son trou. » II est vrai aussi que c'est bien à Médine que le culte musulman s'organise. C'est là surtout que Mahomet apparaît comme une figure politique et militaire triomphante.
Toute la construction de l'Islam politique, avec le califat, toute l'organisation juridique et pratique de la communauté dans les différents aspects de la vie quotidienne, prennent comme modèle la période de Médine entre 622 et 632. Si certains musulmans s'autorisent à « liquider » les impies, c'est que non seulement le Coran a des versets extrêmement durs pour les ennemis d'Allah, mais le Prophète lui-même a montré l'exemple en incitant parfois ses partisans à commettre des assassinats pour le bien de la communauté. La biographie de Mahomet d'Ibn Ishâq relate nombre d'épisodes où l'on constate, que la sensiblerie n'était pas de mise quand il s'agissait de lutter contre les ennemis de l'Islam. Le meurtre politique est considéré comme une campagne militaire. Ces premières biographies du Prophète, celle d'Ibn Ishâq ou d'Ibn Hicham, ne se sentaient nullement gênées de rapporter les épisodes où le Prophète avait fait couler le sang. Mais les biographies « islamiques » modernes, ceci depuis 1950 avec des Egyptiens comme Haykai, 'Aqqad, sont conscientes du regard occidental, les biographes étant eux-mêmes des intellectuels musulmans occidentalisés.
Alors ces derniers cherchent à justifier le comportement politique du Prophète, reprenant à chaque fois le jugement de Lamartine qui place Mahomet au-dessus des grands hommes de l'humanité. Même des biographes musulmans qui écrivent au XXIe siècle, comme le Libanais Salah Stétié, se sentent encore obligés de présenter une biographie acceptable pour un regard occidental, en gommant ou en atténuant les assassinats politiques ordonnés ou du moins encouragés par leur prophète ! Mahomet se heurte, dans l'inconscient collectif non musulman, à Jésus, chaste et non violent. L'imaginaire occidental est dans l'impossibilité d'associer la spiritualité à des images de violence, de vengeance, de sensualité. Un prophète qui avoue aimer par-dessus tout les femmes et les parfums, qui laisse opérer des massacres - même s'il aime aussi beaucoup la prière - a peu de chance d'emporter l'adhésion d'une mentalité façonnée par des siècles de tradition évangélique. L'exemple d'un Mahatma Gandhi ou celui d'un Dalaï Lama sont valorisés par l'Occident parce qu'ils incarnent une spiritualité universelle qui privilégie la non-violence et la compassion. Mahomet aura toujours beaucoup de mal à être considéré par les non-musulmans comme un authentique homme de Dieu.
De plus, d'après le comportement du Prophète à Médine, l'assassinat politique est tout à fait licite. Il suffit de se référer à la chronique de Tabari ou à la biographie du Prophète pour le constater. Voici comment Tabari raconte quelques-uns de ces assassinats, au retour de la bataille de Badr, une merveilleuse victoire pour les musulmans mais qui semble n'avoir été qu'un coup de main réussi (Cf. Notre livre sur Mahomet, Desclée de Brouwer, 2003.)
« II y avait une femme du nom d'Asmâ bint Marwan. Elle faisait des vers particulièrement insultants pour le prophète de l'Islam. Quand ces vers furent rapportés à Mahomet, il dit tout haut : "Est-ce que personne ne me débarrassera de la fille de Marwan ?" Il y avait là un homme du clan de la poétesse, Omayr Ibn 'Adi. II n'avait pas été à Badr. Bonne raison pour faire preuve de zèle. Le soir même il s'introduisait chez elle. Elle dormait au milieu de ses enfants. Le dernier, encore au sein, sommeillait sur sa poitrine. Il la transperça de son épée et le lendemain alla trouver l'Envoyé de Dieu. Il dit : "Envoyé de Dieu je l'ai tuée !" "Tu as secouru Allah et son Envoyé ô Omayr", répondit celui-ci. Omayr demanda :
"Est-ce que je supporterai quelque chose à cause d'elle. Envoyé d'Allah ?" Il dit : "Deux chèvres ne choqueront pas leurs cornes pour elle !" Omayr retourna alors dans son clan où ce jour-là, il y avait une grosse émotion au sujet de la fille de Marwan. Elle avait cinq fils et la vengeance pouvait être demandée. Omayr s'adressa à son clan : « 0 Banû Khatma ! J'ai tué la fille de Marwan. Tramez quelque chose contre moi mais ne me faites pas attendre. [Cette phrase est une citation du Coran.] Personne ne bougea. » L'annaliste poursuit : « Ce jour-là fut le premier où l'Islam se montra puissant chez les Banû Khatma. » Le coup avait réussi. L'exploit de Omayr est classé par les chroniqueurs musulmans parmi « les expéditions du Prophète ».
Le mois suivant, le poète centenaire Abou 'Afak fut tué pendant son sommeil, à cause de quatre vers contre Mahomet. Le Prophète avait prononcé négligemment : « Qui me fera justice de cette crapule ? » Quelqu'un se chargea de l'opération.
Mais l'assassinat politique le plus connu est celui de Kaab Ibn Achraf. C'était un poète de Médine, juif par sa mère, qui n'avait cessé de tourner le prophète de l'Islam en dérision. Lorsqu'il apprit le succès de Badr, il se rendit à La Mecque pour inciter les Mecquois à la vengeance. Et là, Mahomet, excédé, ordonne son assassinat, mais de manière détournée, comme un parrain qui lance un contrat sur quelqu'un : « Qui veut me délivrer de Kaab Ibn Achraf ? » La plus ancienne biographie de Mahomet, celle d'Ibn Ishâq (Publiée en français aux Editions Al-Bouraq, à Beyrouth en juin 2001), traite longuement des campagnes et expéditions des musulmans à l'époque du prophète. Et parmi les expéditions, on trouve « Les assassinats politiques ». Le premier assassinat perpétré sur l'ordre de Mahomet est ce que le traducteur, Abdul Rahman Badawi, intitule « Le meurtre de Kaab b. Al-Ashraf (15. Tome II, p. 18.)». Kaab b. Al-Ashraf était un homme de la tribu de Tayy et sa mère était des Banû al-Nadîr. C'était un poète. Il détestait Mahomet et ne comprenait pas que le réfugié de La Mecque ait fait tuer à Badr des nobles Quraychites. Il ne cessait d'exciter les Mecquois à la vengeance. Il composait des poèmes érotiques visant à détruire la réputation des femmes musulmanes. Alors l'Envoyé d'Allah dit : « Qui me débarrasserait d'Ibn Al-Ashraf? » Muhammad b. Masiamah répondit :
« Moi, ô Envoyé d'Allah, je m'en chargerai, je le tuerai. » L'Envoyé de Dieu lui dit : « Fais-le si tu peux. » Ibn Masiamah dit : « 0 Envoyé d'Allah ! Nous serons obligés de dire des paroles trompeuses. » L'Envoyé d'Allah répondit : « Dites ce que vous voulez : cela vous est permis. » Et l'assassinat se prépare. L'épisode largement développé par Ibn Ishâq est ici résumé tant les détails sont insoutenables par leur inconsciente cruauté. « Plusieurs hommes s'étaient associés pour tuer Kaab. La nuit ils se promenèrent avec le poète. Un poète Abu Nâ'ilah se montrait fort gentil avec Kaab. Il introduisait sa main dans ses cheveux en disant : "Je n'ai jamais senti un meilleur parfum." Ils marchaient pendant plusieurs heures, ceci pour mettre en confiance le poète juif. Puis soudain Abu Nâ'ilah saisit les cheveux de la tête de Kaab en disant : "Frappez cet ennemi de Dieu !" Ils le frappèrent et leurs épées qui se croisaient sur Kaab ne pouvaient cependant l'achever. Muhammad b. Masiamah dit : "Quand je vis que nos épées ne serviraient à rien, je me suis souvenu d'un couteau attaché à mon épée. Je le pris et l'enfonçai dans son bas-ventre et je me pressai sur lui jusqu'à ce que j'atteigne le pubis. Alors Kaab tomba par terre." » L'assassinat du poète juif est largement traité sur sept longues pages (p. 18 à 25) et le récit de cet acte est justifié par Ibn Ishâq qui cite les vers de Hassan b. Thâbit : « Ils cherchaient la victoire pour la religion de leur prophète regardant comme peu de chose tout acte inique. »
Les cas de meurtre recensés par Ibn Ishâq sont nombreux et ils occupent une partie importante du deuxième volume. C'est le cas par exemple de l'assassinat du juif Satam b. Abî Al-Huqayq qui se trouvait dans la ville de Khaybar. La tribu arabe médinoise des Aws avant la bataille de Uhud, avait tué Kaab Ibn Al-Ashraf. La tribu médinoise arabe des Khazraj, qui ne veut pas être en reste, demande à Mahomet la permission de tuer un juif qui comme Kaab était un ennemi de Mahomet. L'envoyé d'Allah leur en donna la permission. Là encore, l'assassinat fut collectif et perpétré par ruse : cinq hommes de la tribu des Khazraj allèrent à Khaybar pour exécuter le plan. Ils se font passer pour des acheteurs. « La femme d'Al-Huqayq demanda : "Qui êtes-vous ?" Ils répliquèrent : "Nous sommes des Arabes et nous cherchons de l'approvisionnement en grains." La femme dit : "Voilà votre homme, entrez chez lui." Quand ils entrèrent ils fermèrent la porte et avec leurs épées ils l'attaquèrent alors qu'il était sur son lit. L'ayant déjà poignardé, Abd Allah b. 'Unays lui enfonça encore son épée dans le ventre de telle sorte qu'elle ressortit de l'autre côté. Ils retournèrent à Médine. Ils entrèrent chez Mahomet et l'informèrent de la mort du juif. Mais chacun prétendait l'avoir tué. Alors l'Envoyé d'Allah dit :
"Apportez-moi vos épées." Ils les lui apportèrent. Il regarda et se référant à l'épée de 'Abd Allah b. Unays il dit : "Celle-ci l'a tué car j'y vois la trace de la nourriture." »
Mais il est un autre assassinat politique que l'on ne saurait oublier. Il s'agit de celui de Kinânah b. al-Rabî, un juif important de Khaybar. Chez lui était censé se trouver le trésor des banû al-Nadîr, la tribu juive chassée de Médine. L'envoyé d'Allah lui demanda où était ce trésor. Kinânah refusait de répondre. Après avoir trouvé une partie du trésor des Juifs, le prophète demanda à Kinânah où se trouvait le reste. Mais ce dernier refusa de l'indiquer. L'Envoyé d'Allah ordonna alors à Al-Zubayr de le torturer : « Al-Zubayr se mit à brûler avec un briquet sa poitrine, jusqu'à ce que Kinânah fût sur le point de mourir. Puis l'Envoyé d'Allah le livra à Muhammad b. Masiamah ; celui-ci lui coupa le cou, pour venger son frère Mahmûd b. Masiamah. » C'est la femme de Kinânah, Safiyya, que le Prophète prit comme épouse. Il n'eut pas la patience d'attendre le retour à Médine pour consommer le mariage. Un partisan de Mahomet, resté toute la nuit de noces a veiller, avec son épée, près de leur tente, dira au Prophète : « Je craignais la réaction de cette femme à ton égard. C'est une femme dont tu as tué le père, le mari et le peuple. » L'assassinat politique n'est pas sans troubler des musulmans contemporains comme Philippe Aziz, écrivain et journaliste de l'hebdomadaire Le Point (De son vrai nom Azîz Mahjoub, d'une famille tunisienne pieuse, qui a écrit Mahomet, le glaive, l'amour et la foi. Editions Ramsay, 1997.) qui parle de l'assassinat de Kaab Ibn Ashraf.
Salah Stétié, déjà cité, dans son livre sur Mahomet (Aux Editions Pygmalion, en l'an 2000.), a choisi, lui, d'occulter totalement tous les assassinats politiques commis à Médine. Son objectif est de présenter un Islam acceptable pour la mentalité occidentale. Roger Caratini, dans son Mahomet, parle bien du meurtre politique (p. 409). L'auteur de la fameuse Encyclopédie Bordas ne pouvait passer sous silence ce que toutes les biographies du prophète de l'époque abbasside relatent sans aucune gêne. Mais il sait qu'il écrit pour les Occidentaux et cet auteur du Génie de l'Islamisme (Aux Éditions Michel Lafon, 1996.), paraît justifier ce meurtre politique. « A ceux de nos lecteurs que ce récit scandaliserait il est à peine besoin de rappeler... qu'en Gaule depuis la mort de Clovis, en 511, le meurtre politique fleurissait chez les Francs au rythme de plusieurs assassinats par an ! La différence fondamentale entre ces actions sanglantes est importante. Le meurtre mérovingien est une sorte de meurtre successoral, par lequel on écarte un prétendant ou un rival. Le meurtre musulman est stratégique. » En d'autres termes pour Caratini, ce n'est pas Kaab Ibn Ashraf que condamne Mahomet, « c'est un rouage important du système, en l'occurrence un agent de communication et de propagande ». La mort de Kaab fit du bruit, raconte Caratini, et Muhammad ben Masiama l'exécuteur des hautes oeuvres se vanta d'avoir semé la terreur parmi les Juifs de Médine. Le prophète proclama devant ses fidèles :
« tuez tout juif qui tombera en votre pouvoir. »
Dans son livre sur Mahomet (Mahomet, aux Editions du Seuil, 1961), Rodinson parle des assassinats politiques. Ainsi au retour de Badr la rancune du Prophète se déchaîna contre deux prisonniers mecquois qui avaient dirigé contre lui des attaques intellectuelles. Ils s'étaient informés à des sources juives et iraniennes, lui avaient posé des questions difficiles. Ils s'étaient moqués de lui et de ses messages divins. Mahomet ordonna de les exécuter. L'un d'eux lui dit : « Et qui s'occupera de mes garçons Muhammad ? » II répondit : « L'Enfer » ! En fait l'assassinat fait partie des moyens utilisés par Mahomet pour émerger dans cette politique tribale et arriver à être suffisamment puissant pour qu'on ne songe pas à tirer vengeance de lui et de ses fidèles. Des partisans fanatiques entourent le prophète, prêts à exécuter les basses besognes. Mais c'est Mahomet qui « lance le contrat ». Faire peur, si peur que personne n'osera plus rien tenter contre lui, c'est la stratégie du prophète de l'Islam. Mais faire peur seulement quand il faut. Ainsi on lui rapporta des propos insultants tenus par Ibn Ubayy, le chef noble de la tribu arabe des Khazraj, le converti du bout des lèvres qui déteste Mahomet qui n'est pour lui qu'un vil, Omar lui dit : « Ordonne à Abbad Ibn Bishr de le tuer ! » Mahomet répondit :
« Comment cela Omar ? Et les gens diront que Mahomet tue ses compagnons ! » Ibn Ubayy, là-dessus, vint tout nier avec serment à l'appui. Les Médinois le soutinrent et Mahomet passa l'éponge. Plus tard Ibn Ubayy se comporta de telle façon que les Médinois le désapprouvèrent. Alors Mahomet dit à Omar : « Qu'en dis-tu, si je l'avais tué, par Allah, le jour où tu me l'as conseillé, les chefs médinois en auraient tremblé de rage et maintenant si je leur ordonnais de le tuer, ils le tueraient. »
Alors comment s'étonner des assassinats politiques au nom de l'Islam ? Le 29 juin 1992, le président algérien Mohammed Boudiafest assassiné à Annaba par un jeune officier de sa garde de sécurité. Déjà en octobre 1981, il y avait eu l'assassinat d'Anouar al-Sadate. Les deux assassins étaient de jeunes officiers d'élite gagnés aux idées islamistes. L'assassin égyptien s'appelle Khalid al-Istambuli ; l'assassin algérien Lembarek Boumaarafi. L'exemple égyptien a nourri l'imaginaire des militants, d'Alger à Téhéran et d'Istanbul à Djakarta. Khalid al-Istambuli a ses boulevards dans la république islamique d'Iran. Son frère est un orateur très demandé dans les milieux religieux. En 1992, l'essayiste laïque Farag Foda a fini par être assassiné au printemps. Mais en gardant à l'esprit l'exemple du Prophète, on n'est pas surpris par le comportement de ces musulmans qui débarrassent la communauté de ses corrupteurs.
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Ecrit le 27 avr.05, 05:19
monsieur Torquemada quant on veut faire un réglement de compt un nom desus islam serai pratique pour justifier les actes les plus dégoutantes sachant que les gens ne sont pas tous des connaisseurs de l'islam il y a méme seux qui sont victime du non savoir de leur propre religion comme je t'est expliqué notre prophéte a révélé que les musulmans serons 73 groupes ,tous ds l'enfer sauf un. maintenant si tu cherche la vérité il faut que tu localise ce groupe.et c'est facile a localisé surtout avec internet.
- Invité
Ecrit le 27 avr.05, 07:21
comme tu ne fais pas ce que DIEU et jésus te disent, tu ne peux avoir l'esprit de DIEU en toi, donc l'esprit qui t'anime est celui du diable, et comme le dit DIEU dans la bible:kaf3 a écrit :Bonjour,
Qui a raison:l'Esprit de Dieu en moi,ou ton esprit???
il leur envoie un esprit de mensonge pour les egaré
oui parce que bien que tu voies tu ne veux voir et bien que tu entendes tu ne veux ecouter, donc DIEU t'égare a cause de ta fourberie a son encontre
- quintessence
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Ecrit le 27 avr.05, 23:17
Torquemada a écrit :ce n'est pas un règlement de compte, c'est historique et les sources sont citées - maintenant, c'est a vous les musulmans de vous débrouiller avec ca !
torquemada moi je te fourni une vérité maintenant si toi tu l'accept alors je remercirai jamais assé allah de t'avoir guidé sinon mes limites serons respecté.
- kaf3
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Ecrit le 28 avr.05, 00:55

L'Esprit de Dieu est:
-1:une Puissance pour Aider et Guider ceux qui Croient en Jésus!
-2:marseillais:c'est pour cela,qu'Il est Divisible,et que je Croie qu'une
Partie Habite dans mon Coeur!
-3:nasser:qui est-tu pour Me Juger???:Seul Dieu le Père nous Juge,et
comme Tous les chrétiens qui ont acepté Jésus comme leur Sauveur
Personnel,Il est notre Avocat auprès du Père!!!
Ecrit le 29 avr.05, 23:01
mais je ne te juge pas je constate, que tu es dans l'erreur puisque tu ments sur jésus, donc c'est un esprit de mensonge qui habite en toi pas celui de DIEU car si c'était celui de DIEU tu ne mentirais pas contre luikaf3 a écrit :Bonjour,
L'Esprit de Dieu est:
-1:une Puissance pour Aider et Guider ceux qui Croient en Jésus!
-2:marseillais:c'est pour cela,qu'Il est Divisible,et que je Croie qu'une
Partie Habite dans mon Coeur!
-3:nasser:qui est-tu pour Me Juger???:Seul Dieu le Père nous Juge,et
comme Tous les chrétiens qui ont acepté Jésus comme leur Sauveur
Personnel,Il est notre Avocat auprès du Père!!!
jésus a dit si ton frère pêche va et prévient le, je suis en train de te prévenir pour ton bien l'ami
re
Ecrit le 30 avr.05, 03:34se que nasser dit;
jésus a dit si ton frère pêche va et prévient le, je suis en train de te prévenir pour ton bien l'ami
c'est ecrit sur le coran je croi?
MAIS COMMENT SA SE FAIT QUE DANS LE CORAN CETTE PHRASE EST ECRITE ALORS QUE DANS LA BIBLE CETTE PHRASE EXISTAI 700 ANS AVANT LE CORAN.
BIZARE LES MUSULMANS QUI DISENT QUE LE CORAN EST LA V2RIT2 ALORS QUE LES PHRASES DE LA BIBLE EXISTAI DEJA AVANT
VO POTE AURAI ATENDU DES SIECLES POUR PARLER DU CORAN?
LOL
jésus a dit si ton frère pêche va et prévient le, je suis en train de te prévenir pour ton bien l'ami
c'est ecrit sur le coran je croi?
MAIS COMMENT SA SE FAIT QUE DANS LE CORAN CETTE PHRASE EST ECRITE ALORS QUE DANS LA BIBLE CETTE PHRASE EXISTAI 700 ANS AVANT LE CORAN.
BIZARE LES MUSULMANS QUI DISENT QUE LE CORAN EST LA V2RIT2 ALORS QUE LES PHRASES DE LA BIBLE EXISTAI DEJA AVANT
VO POTE AURAI ATENDU DES SIECLES POUR PARLER DU CORAN?
LOL
Re: re
Ecrit le 30 avr.05, 05:22je crois que tu es venu ici que pour rigoler un bon coup et certainement pas pour dialoguer dans la sincérité, bref tu me fais pitié!manuelo77 a écrit :se que nasser dit;
jésus a dit si ton frère pêche va et prévient le, je suis en train de te prévenir pour ton bien l'ami
c'est ecrit sur le coran je croi?
MAIS COMMENT SA SE FAIT QUE DANS LE CORAN CETTE PHRASE EST ECRITE ALORS QUE DANS LA BIBLE CETTE PHRASE EXISTAI 700 ANS AVANT LE CORAN.
BIZARE LES MUSULMANS QUI DISENT QUE LE CORAN EST LA V2RIT2 ALORS QUE LES PHRASES DE LA BIBLE EXISTAI DEJA AVANT
VO POTE AURAI ATENDU DES SIECLES POUR PARLER DU CORAN?
LOL
chaque prophète qui vient, reprend la sagesse de celui-ci puisque c'est DIEU qui éclaire et qui rappelle, ainsi jésus a repris moïse , salomon etc etc dirais tu qu'il a copié moïse???
je te croyais plus intelligent!
tiens écoute: jésus a dit:
quand viendra le paraclet il vous redira les choses que je vous ai dites
donc c normal que mohammed sws reprend jésus puisque jésus l'a prophétisé!!!
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