Re: Comparatif Apocalypse et Coran
Posté : 18 déc.16, 04:21
PBSL ne faisait pas de nuances entre voleurs pauvres et voleurs riches


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Et comment tu le sais ? Tu as vécu avec lui? Ou alors tes sources sont le torchon de Bahai machinjoeblow a écrit : Sous Muhamed il n'y a pas eu de génocide, ni de cauchemar.
Ken le survivant a écrit :on peut pas répondre a des mensonges ,face a une invention grossière comme yacoub ou toi venaient de faire sur le vol ou l'adultère aucune réponse possible
Au voleur et à la voleuse coupez leur la main...Ken le survivant a écrit :oui tu as raison mais faut nuancé sur les sanctions tu ne coupes pas la main aux pauvres qui volent pour survivre et concernant l'adultère il faut des témoins etc etc on ne sanctionne pas en Islam a la va vite il y a procès etc etc
Et comment le sais-tu ? As-tu vécu avec lui ? Certes non.eric121 a écrit :Et comment tu le sais ? Tu as vécu avec lui?
....................
Mahomet a condamné à mort pour adultère sans témoins
L'Islam n'existe pas de ce nom sous Mahomet, ni durant bien des siècles puisqu'il faut attendre le 20e siècle pour voir apparaître ce nom.eric121 a écrit :Il n'y a jamais eu en Islam de procès sous Mahomet (ni sous ses successeurs)
Prouve le ! a partir de quelles sources tu affirmes cela ?prisca a écrit Tu ne dois pas disconvenir que Dieu ne demande pas aux hommes de couper des mains, c'est contraire à la morale éthique de Dieu que de le dire pour généralité.
Quand on ne sait pas on s'abstient ...en Islam il y a une jurisprudence qui précise tout ! un gamin qui vole un carambar n'est pas sujet a la sanctionétoiles celestes a écrit Au voleur et à la voleuse coupez leur la main...
Il n'y a aucune précision de l'age, du motif du vol, du montant du vol, du préjudice du vol... rien...
On peut en déduire qu'un gamin qui vole un carambar dans une boulangerie peut tomber sous la sanction
yacoub a écrit :Le sens du mot « islam »
L’un des problèmes qui se posent quand on veut aborder un texte sacré est celui de sa traduction. Une question particulièrement délicate lorsqu’il s’agit du Coran. La compréhension de celui-ci dépend en effet largement de la connaissance que l’on peut avoir de la linguistique arabe et de ses innombrables subtilités. Dès lors, sa traduction est extrêmement délicate, et celles que l’on trouve habituellement dans les versions françaises ne reflète que très imparfaitement la réalité profonde du texte. On doit en fait avoir recours aux exégèses pour tenter de d’en approcher. Tâche ardue s’il en est, même en arabe. Il existe des ouvrages entiers sur le seul «Verset du Trône». Ali, compagnon et gendre du Prophète ﷺ affirmait d’ailleurs : « J’ai de quoi remplir deux charges de chameau avec le seul commentaire de la Fatiha (Sourate d’ouverture du Coran)».
Cette difficulté se rencontre déjà dans l’interprétation même du mot «Islam», auquel on attribue souvent , soit le sens de «soumission», soit celui de «paix», avec une question subsidiaire : Comment ces deux notions seraient-elles compatibles ?
La réponse se trouve dans l’étymologie du mot «islam».
L’Islam : les sens du mot
Rappelons que tous les noms arabes sont formés à partie d’une racine, généralement de 3 lettres, qui définissent un champ lexical. Les autres éléments de ce champ lexical sont formés à partir de cette racine. Par exemple, la racine كتب (k-t-b) définit le champ lexical de l’écriture : kataba – écrire, kitâb – livre, kâtib – écrivain, maktabah – bibliothèque, mektoub – «c’est écrit», par extension «c’est le destin», etc…
IslamLa racine سلم (s-l-m) définit le champ lexical de la sécurité, au sens «être sain et sauf». D’ailleurs salima, signifie précisément «être sain et sauf». salamah , a pour sens «le fait d’être sain et sauf». Par exemple, on entend souvent, à l’atterrissage d’un avion, des voyageurs, pas très rassurés, dire «alhamdulillah, wasalnba bissalamah» (Grâce à Dieu, nous sommes arrivés sains et saufs !». Par extension, salamah signifie aussi la salubrité, l’absence de défaut, la droiture, l’intégrité.
L’étymologie arabe est passionnante, car, de racine en extension, elle raconte une histoire, renferme une sorte de description historique.
A l’époque de la prophétie mohammadienne, et avant celle-ci, les peuples du moyen-orient étaient majoritairement nomades ou commerçants, dans un milieu difficile, parfois hostile, et possédaient une structure tribale, féodale. Le principal danger était l’isolement. Le voyageur solitaire était menacé par l’environnement, mais aussi les bandits qui attaquaient les caravanes, etc.
La sécurité, c’était le groupe. Appartenir à un clan, se placer sous la protection d’un chef, d’un seigneur, le reconnaître (taslîm) comme tel, lui faire allégeance.
En échange, le seigneur apporte sa protection, permet de vivre en paix (salâm).
Et le Seigneur des seigneurs est évidemment Dieu, Allah. C’est en s’en remettant à Lui, en se soumettant à Sa volonté, que l’on compte parmi les croyants.
Tel est le sens exact du mot «Islam». La notion de «soumission» n’a pas, en arabe, le sens péjoratif qu’elle a acquis en français par exemple, celui d’une aliénation de soi. Et c’est important, car cette confusion est à l’origine d’une incompréhension majeure à propos du sens de l’Islam. Il s’agit de l’acte volontaire du croyant qui «fait confiance» en un Dieu unique, qui «s’en remet à Lui». Lequel, de son côté, apporte au croyant amour, miséricorde et protection (Sallama : protéger )
Cette notion de soumission positive est d’ailleurs celle qu’on retrouve dans les textes hébreux et araméens, antérieurs au Coran. Lequel ne faisant que rappeler, et préciser, les révélations antérieures.
On retrouve cette même appellation de «Seigneur» dans les 3 religions monothéistes, pour désigner le Tout-Puissant. Le Pater chrétien contient cette invocation : «Que Ta volonté soit faite…»
Ainsi se fait naturellement le rapporte entre «soumission» à Allah et «Paix». Cette notion de paix est d’ailleurs indissociable de l’Islam : les musulmans se saluent en disant «assalâm aleikum» «Que la Paix soit avec vous». Etant bien entendu qu’il s’agit de la paix qu’apporte Allah au croyant qui s’abandonne à lui et observe Ses commandements, sa Loi.
On pourrait dire que les notions d’obéissance et de soumissions sont aussi celles que l’on observe à l’égard de ses parents, de ses professeurs, de la Loi. Il n’existe pas de paix et de sécurité possible sans loi et respect de celle-ci.
yacoub a écrit :Le sens du mot « islam »
L’un des problèmes qui se posent quand on veut aborder un texte sacré est celui de sa traduction. Une question particulièrement délicate lorsqu’il s’agit du Coran. La compréhension de celui-ci dépend en effet largement de la connaissance que l’on peut avoir de la linguistique arabe et de ses innombrables subtilités. Dès lors, sa traduction est extrêmement délicate, et celles que l’on trouve habituellement dans les versions françaises ne reflète que très imparfaitement la réalité profonde du texte. On doit en fait avoir recours aux exégèses pour tenter de d’en approcher. Tâche ardue s’il en est, même en arabe. Il existe des ouvrages entiers sur le seul «Verset du Trône». Ali, compagnon et gendre du Prophète ﷺ affirmait d’ailleurs : « J’ai de quoi remplir deux charges de chameau avec le seul commentaire de la Fatiha (Sourate d’ouverture du Coran)».
Cette difficulté se rencontre déjà dans l’interprétation même du mot «Islam», auquel on attribue souvent , soit le sens de «soumission», soit celui de «paix», avec une question subsidiaire : Comment ces deux notions seraient-elles compatibles ?
La réponse se trouve dans l’étymologie du mot «islam».
L’Islam : les sens du mot
Rappelons que tous les noms arabes sont formés à partie d’une racine, généralement de 3 lettres, qui définissent un champ lexical. Les autres éléments de ce champ lexical sont formés à partir de cette racine. Par exemple, la racine كتب (k-t-b) définit le champ lexical de l’écriture : kataba – écrire, kitâb – livre, kâtib – écrivain, maktabah – bibliothèque, mektoub – «c’est écrit», par extension «c’est le destin», etc…
IslamLa racine سلم (s-l-m) définit le champ lexical de la sécurité, au sens «être sain et sauf». D’ailleurs salima, signifie précisément «être sain et sauf». salamah , a pour sens «le fait d’être sain et sauf». Par exemple, on entend souvent, à l’atterrissage d’un avion, des voyageurs, pas très rassurés, dire «alhamdulillah, wasalnba bissalamah» (Grâce à Dieu, nous sommes arrivés sains et saufs !». Par extension, salamah signifie aussi la salubrité, l’absence de défaut, la droiture, l’intégrité.
L’étymologie arabe est passionnante, car, de racine en extension, elle raconte une histoire, renferme une sorte de description historique.
A l’époque de la prophétie mohammadienne, et avant celle-ci, les peuples du moyen-orient étaient majoritairement nomades ou commerçants, dans un milieu difficile, parfois hostile, et possédaient une structure tribale, féodale. Le principal danger était l’isolement. Le voyageur solitaire était menacé par l’environnement, mais aussi les bandits qui attaquaient les caravanes, etc.
La sécurité, c’était le groupe. Appartenir à un clan, se placer sous la protection d’un chef, d’un seigneur, le reconnaître (taslîm) comme tel, lui faire allégeance.
En échange, le seigneur apporte sa protection, permet de vivre en paix (salâm).
Et le Seigneur des seigneurs est évidemment Dieu, Allah. C’est en s’en remettant à Lui, en se soumettant à Sa volonté, que l’on compte parmi les croyants.
Tel est le sens exact du mot «Islam». La notion de «soumission» n’a pas, en arabe, le sens péjoratif qu’elle a acquis en français par exemple, celui d’une aliénation de soi. Et c’est important, car cette confusion est à l’origine d’une incompréhension majeure à propos du sens de l’Islam. Il s’agit de l’acte volontaire du croyant qui «fait confiance» en un Dieu unique, qui «s’en remet à Lui». Lequel, de son côté, apporte au croyant amour, miséricorde et protection (Sallama : protéger )
Cette notion de soumission positive est d’ailleurs celle qu’on retrouve dans les textes hébreux et araméens, antérieurs au Coran. Lequel ne faisant que rappeler, et préciser, les révélations antérieures.
On retrouve cette même appellation de «Seigneur» dans les 3 religions monothéistes, pour désigner le Tout-Puissant. Le Pater chrétien contient cette invocation : «Que Ta volonté soit faite…»
Ainsi se fait naturellement le rapporte entre «soumission» à Allah et «Paix». Cette notion de paix est d’ailleurs indissociable de l’Islam : les musulmans se saluent en disant «assalâm aleikum» «Que la Paix soit avec vous». Etant bien entendu qu’il s’agit de la paix qu’apporte Allah au croyant qui s’abandonne à lui et observe Ses commandements, sa Loi.
On pourrait dire que les notions d’obéissance et de soumissions sont aussi celles que l’on observe à l’égard de ses parents, de ses professeurs, de la Loi. Il n’existe pas de paix et de sécurité possible sans loi et respect de celle-ci.
yacoub a écrit :Le sens du mot « islam »
L’un des problèmes qui se posent quand on veut aborder un texte sacré est celui de sa traduction. Une question particulièrement délicate lorsqu’il s’agit du Coran. La compréhension de celui-ci dépend en effet largement de la connaissance que l’on peut avoir de la linguistique arabe et de ses innombrables subtilités. Dès lors, sa traduction est extrêmement délicate, et celles que l’on trouve habituellement dans les versions françaises ne reflète que très imparfaitement la réalité profonde du texte. On doit en fait avoir recours aux exégèses pour tenter de d’en approcher. Tâche ardue s’il en est, même en arabe. Il existe des ouvrages entiers sur le seul «Verset du Trône». Ali, compagnon et gendre du Prophète ﷺ affirmait d’ailleurs : « J’ai de quoi remplir deux charges de chameau avec le seul commentaire de la Fatiha (Sourate d’ouverture du Coran)».
Cette difficulté se rencontre déjà dans l’interprétation même du mot «Islam», auquel on attribue souvent , soit le sens de «soumission», soit celui de «paix», avec une question subsidiaire : Comment ces deux notions seraient-elles compatibles ?
La réponse se trouve dans l’étymologie du mot «islam».
L’Islam : les sens du mot
Rappelons que tous les noms arabes sont formés à partie d’une racine, généralement de 3 lettres, qui définissent un champ lexical. Les autres éléments de ce champ lexical sont formés à partir de cette racine. Par exemple, la racine كتب (k-t-b) définit le champ lexical de l’écriture : kataba – écrire, kitâb – livre, kâtib – écrivain, maktabah – bibliothèque, mektoub – «c’est écrit», par extension «c’est le destin», etc…
IslamLa racine سلم (s-l-m) définit le champ lexical de la sécurité, au sens «être sain et sauf». D’ailleurs salima, signifie précisément «être sain et sauf». salamah , a pour sens «le fait d’être sain et sauf». Par exemple, on entend souvent, à l’atterrissage d’un avion, des voyageurs, pas très rassurés, dire «alhamdulillah, wasalnba bissalamah» (Grâce à Dieu, nous sommes arrivés sains et saufs !». Par extension, salamah signifie aussi la salubrité, l’absence de défaut, la droiture, l’intégrité.
L’étymologie arabe est passionnante, car, de racine en extension, elle raconte une histoire, renferme une sorte de description historique.
A l’époque de la prophétie mohammadienne, et avant celle-ci, les peuples du moyen-orient étaient majoritairement nomades ou commerçants, dans un milieu difficile, parfois hostile, et possédaient une structure tribale, féodale. Le principal danger était l’isolement. Le voyageur solitaire était menacé par l’environnement, mais aussi les bandits qui attaquaient les caravanes, etc.
La sécurité, c’était le groupe. Appartenir à un clan, se placer sous la protection d’un chef, d’un seigneur, le reconnaître (taslîm) comme tel, lui faire allégeance.
En échange, le seigneur apporte sa protection, permet de vivre en paix (salâm).
Et le Seigneur des seigneurs est évidemment Dieu, Allah. C’est en s’en remettant à Lui, en se soumettant à Sa volonté, que l’on compte parmi les croyants.
Tel est le sens exact du mot «Islam». La notion de «soumission» n’a pas, en arabe, le sens péjoratif qu’elle a acquis en français par exemple, celui d’une aliénation de soi. Et c’est important, car cette confusion est à l’origine d’une incompréhension majeure à propos du sens de l’Islam. Il s’agit de l’acte volontaire du croyant qui «fait confiance» en un Dieu unique, qui «s’en remet à Lui». Lequel, de son côté, apporte au croyant amour, miséricorde et protection (Sallama : protéger )
Cette notion de soumission positive est d’ailleurs celle qu’on retrouve dans les textes hébreux et araméens, antérieurs au Coran. Lequel ne faisant que rappeler, et préciser, les révélations antérieures.
On retrouve cette même appellation de «Seigneur» dans les 3 religions monothéistes, pour désigner le Tout-Puissant. Le Pater chrétien contient cette invocation : «Que Ta volonté soit faite…»
Ainsi se fait naturellement le rapporte entre «soumission» à Allah et «Paix». Cette notion de paix est d’ailleurs indissociable de l’Islam : les musulmans se saluent en disant «assalâm aleikum» «Que la Paix soit avec vous». Etant bien entendu qu’il s’agit de la paix qu’apporte Allah au croyant qui s’abandonne à lui et observe Ses commandements, sa Loi.
On pourrait dire que les notions d’obéissance et de soumissions sont aussi celles que l’on observe à l’égard de ses parents, de ses professeurs, de la Loi. Il n’existe pas de paix et de sécurité possible sans loi et respect de celle-ci.
prisca a écrit Tu ne dois pas disconvenir que Dieu ne demande pas aux hommes de couper des mains, c'est contraire à la morale éthique de Dieu que de le dire pour généralité.
Il y avait surement de l'anarchie telle à l'époque qu'il fallait contraindre par la peur les gens à ne pas voler, à une époque où ton peuple a dû agir vraiment en dépit de la Loi Mosaïque au point qu'il fallait faire craindre pour que cela ne cesse, mais toujours est il qu'il faut que vous soyez aujourd'hui conscients que l'on n'agit pas de la sorte, c'est être tortionnaire, amputer les gens parce qu'ils auraient volé, alors que quand bien même certains volent par nécessité, de quoi se nourrir, il y a des circonstances atténuantes, et tu as dit justement que les tribunaux chez vous font des procès pour analyser les circonstances, mais pour ma part aucune circonstance, aujourd'hui ne vaut de réduire quelqu'un à l'infirmité, vous abandonnez ce gars ou cette femme à son sort, celui de ne connaître qu'une vie de désespoir face à son membre pour toujours absent.Ken le survivant a écrit : Prouve le ! a partir de quelles sources tu affirmes cela ?
Merci d'avoir avoué ton incapacité à répondreKen le survivant a écrit :on peut pas répondre a des mensonges ,face a une invention grossière comme yacoub ou toi venaient de faire sur le vol ou l'adultère aucune réponse possible
Marmhonie a écrit :
On continue avec la lapidation contrairement au commandement nouveau du Christ de ne plus lapider (Jean, chapitre 8).
prisca a écrit :Nous savons que l'Apocalypse nait à cause de l'Islam radical, ce n'est plus un secret pour personne.
Il faut s'attacher à comprendre les liens que nous avons entre la Bible et le Coran.
Des mots sont récurrents, ils sont dans l'Apocalypse et dans le Coran. Plus que des mots, des descriptions.
Apocalypse 1 - 7 Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l'ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen!
Sourate 89 - 22. et que ton Seigneur viendra ainsi que les Anges, rang par rang,
Apocalypse 8 - 8 "Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer; et le tiers de la mer devint du sang",
Sourate 52 - 6. "Et par la Mer portée à ébullition! (au Jour dernier)"
Jérémie 4 - 24 Je regarde les montagnes, et voici, elles sont ébranlées; Et toutes les collines chancellent. Apocalypse 6 - 14 Le ciel se retira comme un livre qu'on roule; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places. Apocalypse 15 - 20 Et toutes les îles s'enfuirent, et les montagnes ne furent pas retrouvées. déluge
Sourate 69- 13. Puis, quand d'un seul souffle, on soufflera dans la Trompe,14. et que la terre et les montagnes seront soulevées puis tassées d'un seul coup; Sourate 73-14. Le jour où la terre et les montagnes trembleront, tandis que les montagnes deviendront comme une dune de sable dispersée. Sourate 77 - 10. et que les montagnes seront pulvérisées,
Apocalypse 6 - 12 Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang,
Sourate 99 - 1. Quand la terre tremblera d'un violent tremblement, Sourate 89 - 21. Prenez garde! Quand la terre sera complètement pulvérisée,
Il est évident que le Coran est la description des évènements qui amènent à l'apocalypse.