jm a écrit :
7°. Sans cette politique "vaccinale" de masse et gestion sanitaire mondiale désastreuse, interdisant les traitements préventifs et curatifs, l'immunité naturelle de groupe aurait déjà été atteinte, le virus devant pour cela circuler aux maximum dans la population et recevoir pour seule réponse immunitaire, l'immunité naturelle
Tu vois juste ce dernier point avalise le qualificatif de " pro virus" pour désigner les anti tout.
L'immunité naturelle c'est la base mais elle n'est pourtant pas venue à bout de tous les agents pathogènes sans l'aide de vaccinations ou si ça s'est fait avant l'arrivée des vaccins c'est non pas sans hécatombes. Difficile de savoir comment un virus décide de sauver "un juste" et sacrifier "un injuste".
Inti a écrit : 24 août21, 03:07
Tu vois juste ce dernier point avalise le qualificatif de " pro virus" pour désigner les anti tout.
L'immunité naturelle c'est la base mais elle n'est pourtant pas venue à bout de tous les agents pathogènes sans l'aide de vaccinations ou si ça s'est fait avant l'arrivée des vaccins c'est non pas sans hécatombes. Difficile de savoir comment un virus décide de sauver "un juste" et sacrifier "un injuste".
Pas du tout . Des médicaments ont bien sauvé des vies sans l'aide de vaccinations : MesenCure en Israel , l'ivermectine étudiée chez Pasteur , Darapladib (utilisé actuellement pour traiter l’athérosclérose), Flumatinib (utilisé dans le traitement contre le cance, le Ronapreve, un traitement associant deux anticorps monoclonaux (casirivimab et imdevimab)), et d'un médicament utilisé dans le traitement du VIH, la dexaméthasone, le tocilizumab, et le sarilumab
Certains d entre eux ayant été recommandés par l OMS
Les résultats ont montré que les médicaments peuvent protéger les cellules de l'attaque du virus avec une efficacité proche de 100%, ce qui signifie que presque 100% des cellules ont survécu malgré l'infection par le virus. par le professeur Arkin
Donc une meilleure efficacité que Pfizer ?
Trivier-Fix a écrit : 24 août21, 03:23
Pas du tout . Des médicaments ont bien sauvé des vies sans l'aide de vaccinations : l'ivermectine étudiée chez Pasteur
Vas-tu user de la même désinformation sur ce sujet que pour la pollution des voitures anciennes, les pandémies des siècles passées et sur les armes nucléaires?
Trivier-Fix a écrit : 24 août21, 03:23
Pas du tout . Des médicaments ont bien sauvé des vies sans l'aide de vaccinations : MesenCure en Israel , l'ivermectine étudiée chez Pasteur , Darapladib (utilisé actuellement pour traiter l’athérosclérose), Flumatinib (utilisé dans le traitement contre le cance, le Ronapreve, un traitement associant deux anticorps monoclonaux (casirivimab et imdevimab)), et d'un médicament utilisé dans le traitement du VIH, la dexaméthasone, le tocilizumab, et le sarilumab
Ça c'est la pharmacopée. Désolé mais on ne va pas se fier à toi pour savoir ce qui peut être rejeté et gardé comme traitements de multiples maladies.
Vas-tu user de la même désinformation sur ce sujet que pour la pollution des voitures anciennes, les pandémies des siècles passées et sur les armes nucléaires?
Qu une bataille dans le corps médical se passe , c est possible , mais je t ai donné toute une liste de traitements :
Est ce que tu renies l utilité de la dexaméthasone, le tocilizumab, et le sarilumab ?
Tu renies l utilité de l inverctimine ; mais tu ne sais rien du tout :
Si les USA ne reconnaissent pas ce produit , il est bien reconnu par d autres pays
Alors qui a raison ? https://www.santelog.com/actualites/cov ... rophylaxie
De nombreuses régions du monde reconnaissent maintenant que l'ivermectine est une prophylaxie et un traitement puissants contre le COVID-19. L’Afrique du Sud, le Zimbabwe, la Slovaquie, la République tchèque, le Mexique et maintenant l’Inde ont approuvé l’utilisation du médicament par des professionnels de la santé. Cette nouvelle analyse révèle que des campagnes de distribution d'ivermectine ont conduit à plusieurs reprises à « des diminutions rapides de la morbidité et de la mortalité à l'échelle de la population ».
Qui est le désinformateur à part toi même ?
Modifié en dernier par Trivier-Fix le 24 août21, 03:43, modifié 1 fois.
Devant autant de contre vérités et de bêtises, moi je préfère ne plus rien dire !
Quand je vois des gens assez dingues pour prendre de l'ivermectine pour soigner le Covid alors que c'est un insecticide VETERINAIRE dont on connaît la dangerosité depuis des années, où il est interdit de consommer la viande des animaux ayant été traité avec ce produit dans les 21 jours qui précèdent l'abattage, je ne cherche plus à comprendre.
Cela ne sert à rien de discuter avec des gens qui ont peur de tout, qui voient des complots partout et qui sont prêts à croire la première vidéo You Tube qui vient contredire l'avis des plus éminents scientifiques....
Bref....
Estrabolio a écrit : 24 août21, 03:42
Devant autant de contre vérités et de bêtises, moi je préfère ne plus rien dire !
Quand je vois des gens assez dingues pour prendre de l'ivermectine pour soigner le Covid alors que c'est un insecticide VETERINAIRE
N importe quoi !
Et le a dexaméthasone, le tocilizumab, et le sarilumab , c est vétérinaire aussi ?
Estrabolio a écrit : 24 août21, 03:42
Quand je vois des gens assez dingues pour prendre de l'ivermectine pour soigner le Covid alors que c'est un insecticide VETERINAIRE
Mais ça pourrait peut être aider à les faire ruminer et penser autrement.
Si l’on creuse pour aller chercher les informations à la source — c’est-à-dire dans les études scientifiques elles-mêmes — et que l’on s’intéresse à la façon dont ces informations sont traitées dans les réseaux sociaux et dans les médias, aux débats qu’elles suscitent et aux événements qu’elles déclenchent, c’est une histoire bien plus mouvementée, surprenante et tragique qui se dessine, avec des phénomènes rarement observés dans le monde scientifique et médiatique.
Dans les publications scientifiques, l’ivermectine a d’abord été évoquée face au Covid au mois d’avril 2020, par l’étude in vitro de Caly et al., qui montrait que dans des cultures cellulaires expérimentales, l’ivermectine conduisait à la diminution rapide et importante du virus. A cette époque, les médias s’en sont un peu fait l’écho, avec plus ou moins d’enthousiasme.
Pendant plusieurs mois, on n’en a plus entendu parler. Quelques études scientifiques portant sur très peu de cas sont sorties en « preprint » (avant d’être revues par les pairs, donc sans publication officielle), et sans susciter une grande attention.
Puis à partir de juillet, des études plus significatives ont commencé à sortir, et à peu à peu s’accumuler, avec une constante : qu’elles soient en preprint ou peer-reviewed, qu’elles soient statistiquement significatives ou pas, qu’elles aient testé l’ivermectine en phase précoce ou tardive du Covid-19, voire en prévention, que l’ivermectine soit testée seule ou associée à d’autres molécules, les dizaines d'études, répertoriées sur ce site, mesuraient toutes un effet bénéfique des traitements incluant l’ivermectine.
Dans quelques pays ou régions, sur recommandation officielle ou de façon spontanée, les populations ont commencé à avoir recours à l’ivermectine contre le Covid-19, sans que l’on en entende particulièrement parler.
Pourtant, ici et là, de façon peu visible, des combats commencent à se jouer.
... mais aussi politique et juridique
Au Mexique, les états adoptent des politiques diverses, voire opposées : certains adoptent officiellement un traitement ambulatoire précoce (TAP) à base d'ivermectine et d'azithromycine, d'autres, au diapason du gouvernement fédéral, maintiennent qu'il n'existe pas de traitement.
Au Portugal, le débat s'intensifie entre médecins.
En France, un collectif de patient saisit le Tribunal Administratif de Paris en novembre 2020 en espérant obliger l’ANSM à étudier la question d’une Recommandation Temporaire d’Utilisation (RTU) en faveur de l’ivermectine. En vain.
Une nouvelle saisine est déposée auprès du Conseil d’État, dans le même but, et en janvier, sans attendre la décision du Conseil d’État, l’ANSM s’autosaisit du dossier ivermectine, promettant d’étudier rapidement la pertinence d’une RTU.
Entre temps, un collectif international de médecins chercheurs, la FLCCC Alliance se penche sur les diverses études scientifiques publiées, et arrive à la conclusion que, si aucune des études ne donne à elle seule une preuve indiscutable de l’efficacité de l’ivermectine contre le Covid-19, l’ensemble des études et l'analyse des données qu’elles ont collectées ne laissent plus de doute : selon eux, l’ivermectine est très efficace, notamment en prophylaxie (prévention) et en traitement précoce. Cette certitude est renforcée par l'étude épidémiologique de Juan Chamie menée sur les pays, régions ou ville, qui encouragent ou entravent le recours à l'ivermectine.
Un des membres du collectif, le réanimateur Pierre Kory, est auditionné par une commission du Sénat des USA, où il plaide pour l’autorisation urgente de ce médicament dans le cadre du Covid-19.
En décembre, Andrew Hill est mandaté par l’OMS (via Unitaid) pour mener une méta-analyse, prenant uniquement en compte les essais contrôlés randomisés déjà disponibles. Au 16 décembre 2020, ce travail fait sur les 11 essais déjà disponibles, il conclut à une apparente efficacité de l’ivermectine (83 % de réduction de la mortalité, de façon statistiquement significative), mais il reste prudent : au 20 janvier 2021, il souhaite encore attendre les résultats de quelques autres études en cours, au cas où elle contrediraient les résultats déjà collectés, et suggère, en attendant, le principe d’une « prescription à vos risques » (comme pour les vaccins.)
A peu près à la même époque, une spécialiste en méta-analyses qui a l’habitude de travailler pour l’OMS, Tess Lawrie, alertée par la vidéo de Kory au Sénat, mène une contre-expertise selon ses propres méthodes rigoureuses, et aboutit à la même conclusion que Kory, avec plus de certitude que Hill : selon elle, il ne fait plus de doute que l’ivermectine a d’importants effets bénéfiques, et ne présente pas de danger.
La revue des études sur l’ivermectine, menée par Pierre Kory et al., est acceptée dans Frontiers of Pharmacology le 13 janvier, après validation par les pairs.
Ajoutons que se multiplient les décisions d’autorités sanitaires recommandant l’ivermectine : depuis décembre 2020, la Sécurité Sociale mexicaine et la ville de Mexico, suivi en janvier de plusieurs états mexicains, incluent l’ivermectine dans leurs préconisations. Au Japon, le Président de l’Association Médicale de Tokyo conseille aux médecins de ville de prescrire l’ivermectine contre le Covid-19 ; en Afrique du Sud, un processus de légalisation est enclenché. En Europe, la République Tchèque, la Slovaquie, la Macédoine ou la Bulgarie (qui en autorise la vente libre) adoptent l’ivermectine face au Covid-19
Cela montre bien qu un bon nombre de gens venant à la fois du monde politique mais aussi du monde sanitaire et aussi scientifique ne le reconnaissaient pas du tout comme "quelque chose pour ruminants" ...
Modifié en dernier par Trivier-Fix le 24 août21, 04:03, modifié 1 fois.
Pour ma part, je parle de ce que je connais et en tant que paysan, je sais quelle saleté est l'ivermectine qui était présentée comme la solution miracle il y a une trentaine d'années, en réalité, ce produit s'est révélé surtout efficace pour détruire l'environnement.
Estrabolio a écrit : 24 août21, 04:03
Pour ma part, je parle de ce que je connais et en tant que paysan, je sais quelle saleté est l'ivermectine qui était présentée comme la solution miracle il y a une trentaine d'années, en réalité, ce produit s'est révélé surtout efficace pour détruire l'environnement.
Ha bon ? Et le dexaméthasone, le tocilizumab, et le sarilumab, MesenCure en Israel , le Darapladib le Flumatinib , le Ronapreve ? Ils détruisent l environnement eux aussi ?
je ne sais pas avec quoi tu confonds l iverctimine ..
Sur ce site , on parle bien de la posologie de l ivectimine contre la gale : et les patients sont bien des êtres humains avalant des comprimés avec de l eau , pas des bestiaux : https://www.vidal.fr/medicaments/gammes ... 87531.html
Trivier-Fix a écrit : 24 août21, 03:35
Est ce que tu renies l utilité de la dexaméthasone, le tocilizumab, et le sarilumab ?
Comme d'habitude, tu esquives, comme pour le reste...les armes nucléaires, les voitures qui sont censé polluer davantage aujourd'hui selon toi, les pandémies qui n'étaient pas globales autrefois, tu changes de sujet, et si on te met le nez dedans, tu recommenceras. Bref, je te laisse à tes petits complots, à tes petites certitudes, à tes petites superstitions poussiéreuses, puisque de toute façon, tu ne changeras pas d'avis.
vic a écrit : 24 août21, 00:56
ON ne voit nulle part la source des infos d'où J'minterroge tire ses allégations imaginaires .
C'est comme ça chez les conspirationnistes . L'imagination prime sur l'information .
C'est un remake de l'histoire de la chloroquine quoi .
C'est ça. Il faut à tout prix qu'il n'y ait aucun traitement efficace reconnu sans quoi l'autorisation conditionnelle pour ces "vaccins" expérimentaux tombe. C'est la science et la médecine curative sacrifiées au profit d'une politique "vaccinale" exclusive, comme décidé à l'échelle mondiale par des autorités dont on peut interroger la légitimité. .
Ajouté 7 minutes 40 secondes après :
San Sanchez a écrit : 24 août21, 01:43
La vaccination a justement pour objectif de créer une immunité ou une résistance naturelle(contrairement aux sérums) et l'immunité ou la résistance créer par la vaccination est en règle générale de bien meilleur qualité que celle qu'on obtient lors d'un contact avec le virus sans les dangers du virus. Sauf bien sur dans le cas où l'action du vaccin échoue à remplir sa fonction. Soit pour les vaccins covid dans moins de 10% des cas.
Laisser se répandre un virus au niveau pandémique s'est aussi lui laisser de forte chances de muter et de devenir plus dangereux ce qui est déjà arrivé plusieurs fois depuis le covid chinois d'origine avec le variant britannique, le variant indien etc...
Tant qu'on laisse la pandémie continuer on laisse au virus la possibilité de muter et de devenir redoutable. La pandémie de grippe espagnole du siècle dernier avait commencer doucement avec un virus peu dangereux et a un moment le virus est devenu redoutablement mortel causant 80 millions de morts dont la plupart avait environ 20 ans.
Ce genre de drame devrait nous servir de leçon et pour ma part je considère comme un grand progrès cette campagne de vaccination même si elle a de nombreux défauts.
Quoi qu'il en soit on ne peut pas raisonnablement en s'opposant à la vaccination, participer à la mort et aux malheurs des autres parce qu'on trouve le vaccin trop cher, trop politisé, parce que le gouvernement organise mal cette campagne ou parce qu'on aurait préférer prendre des médicaments(il n'existe aucun traitement médicamenteux fiable disponible à l'heure actuelle) plutôt que de se faire faire une petite piqure.
Quand à ceux qui disent qu'on a pas assez de recul sur la vaccination, sans le savoir c'est comme s'ils nous disaient que les licornes existent, car dans la vaccination les effets secondaires sur le long terme ça n'existe tout simplement pas.
Parfois les décisions qu'on prend sont lourdes de conséquences et pour la vaccination c'est justement le cas.
Rien de scientifique dans tout ce baratin.
Tu ne fais là que répéter la propagande martelée. .
Ajouté 48 minutes 55 secondes après :
Inti a écrit : 24 août21, 03:07
Tu vois juste ce dernier point avalise le qualificatif de " pro virus" pour désigner les anti tout.
L'immunité naturelle c'est la base mais elle n'est pourtant pas venue à bout de tous les agents pathogènes sans l'aide de vaccinations ou si ça s'est fait avant l'arrivée des vaccins c'est non pas sans hécatombes. Difficile de savoir comment un virus décide de sauver "un juste" et sacrifier "un injuste".
Tu es ignare Inti, le virus du covid-19 (je dis le parce que c'est à présent un rhume) est un coronavirus, or, les coronavirus sont très mutagènes et relativement contagieux. Vacciner contre de tels virus n'est pas efficace, surtout quand il s'agit de développer des anticorps pour une seule protéine de surface, par ailleurs très variable.
Ce qu'on réussira à obtenir comme ça, c'est simplement plus de mutants résistants, certainement pas une immunité collective. .
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !
Trivier-Fix a écrit : 24 août21, 04:04je ne sais pas avec quoi tu confonds l iverctimine ..
Sur ce site , on parle bien de la posologie de l ivectimine contre la gale : et les patients sont bien des êtres humains avalant des comprimés avec de l eau , pas des bestiaux : https://www.vidal.fr/medicaments/gammes ... 87531.html
Je n'ai pas dit qu'il n'était utilisé qu'en soins vétérinaires mais c'est de là qu'il vient et, sur les humains, il est utilisé dans de très rares cas de parasitisme et pas pour soigner des maladies !
Ajouté 2 minutes 30 secondes après :
J'm'interroge a écrit : 24 août21, 07:48Ce qu'on réussira à obtenir comme ça, c'est simplement plus de mutants résistants, certainement pas une immunité collective.
Ce qu'il y a de formidable avec toi JMI, c'est que tu es expert en tout comme beaucoup.....
J'm'interroge a écrit : 24 août21, 07:48
Tu es ignare Inti, le virus du covid-19 (je dis le parce que c'est à présent un rhume) est un coronavirus, or, les coronavirus sont très mutagènes et relativement contagieux. Vacciner contre de tels virus n'est pas efficace, surtout quand il s'agit de développer des anticorps pour une seule protéine de surface, par ailleurs très variable.
Ce qu'on réussira à obtenir comme ça, c'est simplement plus de mutants résistants, certainement pas une immunité collective
Mais non docteur... Le vaccin offre une résistance dans le développement du virus dans ses premières versions. Ce sont les non vaccinés ou pro virus qui deviennent le tremplin des mutations plus virulentes. Le delta c'est sûrement par les non vaccinés qu'il s'est adapté pour mieux déjouer les systèmes immunitaires comme nouveau milieu ambiant.
Y aura toujours interaction entre les défenses immunitaires et l'évolution virale pour développer des résistances mais avec le vaccin c'est sur le long terme mais avec les pro virus c'est sur le court terme.