saint Augustin , le Berbere

[Saint Glinglin]

Oui très clairement, le christianisme est d'abord la religion du bonheur ici et maintenant.

En renonçant à tout ? Vous allez sans doute dire que le moine mendiant est plus heureux que le laboureur et ses enfants de La Fontaine ?

Jésus au cours de sa vie publique n'a rien fait d'autre que de guérir les corps et les esprits afin que les malades retrouvent la santé et les pècheurs la joie de vivre par le pardon de leurs fautes.

Dans les Evangiles, les sourds sont les païens et les aveugles les Juifs.
C'est purement philosophique.

A sa suite, les chrétiens d'hier comme d'aujourd'hui ont toujours eu une prédilection pour les pauvres et les malades.

La preuve que non, c'est que Vincent de Paul est devenu saint en pleine société chrétienne.

C'est d'ailleurs notre mission principale qui répond au commandement du christ nous ordonnant de nous aimer les uns les autres comme il nous a aimé.

En s'encourageant mutuellement à devenir moines comme il l'a prêché.

[Athanase]

En renonçant à tout ? Vous allez sans doute dire que le moine mendiant est plus heureux que le laboureur et ses enfants de La Fontaine ?

il n'y a pas de hiérarchie entre le sacrement de l'ordre et celui du mariage, chacun peut trouver le bonheur dans celui qu'il reçoit à condition d'avoir sincèrement répondu à sa vocation.

Dans les Evangiles, les sourds sont les païens et les aveugles les Juifs.
C'est purement philosophique.

c'est une interprétation, mais ce n'est pas celle ses médecins et les soignants qui eux cherchent à guérir les sourds et les aveugles.

La preuve que non, c'est que Vincent de Paul est devenu saint en pleine société chrétienne.

ben oui, mais il n'y a pas d'antogonisme, l'action de saint Vincent de Paul a été prophétique et correctrice pour son temps…. comme d'ailleurs, celle des saints réformateurs.

En s'encourageant mutuellement à devenir moines comme il l'a prêché.

Bof, les apôtres étaient mariés et le sont restés semble-t-il. Et si Saint Paul a dit préféré le célibat, il n'en a pas pour autant condamner le mariage.
le concile de Jérusalem dit d'ailleurs qu'il faut que les néophytes des nations se gardent des unions illégitimes... pas du mariage et donc pas de la sexualité.

[Saint Glinglin]

il n'y a pas de hiérarchie entre le sacrement de l'ordre et celui du mariage, chacun peut trouver le bonheur dans celui qu'il reçoit à condition d'avoir sincèrement répondu à sa vocation.

Je ne vous parle pas de sacrements mais d'Evangile.

Selon l'Evangile, il faut devenir un moine mendiant et non fonder une famille.

c'est une interprétation, mais ce n'est pas celle ses médecins et les soignants qui eux cherchent à guérir les sourds et les aveugles.

Les médecins font de la médecine et non de la religion.

ben oui, mais il n'y a pas d'antogonisme, l'action de saint Vincent de Paul a été prophétique et correctrice pour son temps…. comme d'ailleurs, celle des saints réformateurs.

Ce qui prouve que les chrétiens se fichaient des pauvres et des malades.

Bof, les apôtres étaient mariés et le sont restés semble-t-il. Et si Saint Paul a dit préféré le célibat, il n'en a pas pour autant condamner le mariage.

C'est Jésus qui a prêché de se faire eunuque et de plaquer sa femme.

le concile de Jérusalem dit d'ailleurs qu'il faut que les néophytes des nations se gardent des unions illégitimes... pas du mariage et donc pas de la sexualité.

L'autorité des conciles serait-elle supérieure à celle de Jésus ?

[Athanase]

Où ça?


certes mais beaucoup l'ont fait au nom de leur foi



non cela prouve le contraire




ok mais il n'a pas dit que cela s'appliquer à tous les hommes.. pour le reste vous inventez et contredit Matthieu 19:6 c'est d'ailleurs ce que pratique l'église catholique aujourd'hui en n'ordonnant pas d'homme marié à la prêtrise.



en l'occurence le concile ne fait qu'expliciter et concretiser Sa Volonté.et ne va pas au-delà

[Saint Glinglin]

Où ça?

J'oublie toujours qu'en tant que catholique vous n'avez jamais lu la Bible...

certes mais beaucoup l'ont fait au nom de leur foi

En récitant des prières au lieu d'ausculter les malades ?

non cela prouve le contraire

Car les chrétiens aiment tellement les pauvres qu'il organisent la société de manière à en produire des tas...

ok mais il n'a pas dit que cela s'appliquer à tous les hommes..

Seulement aux vrais chrétiens :

Mt 22.14 Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus.

pour le reste vous inventez et contredit Matthieu 19:6 c'est d'ailleurs ce que pratique l'église catholique aujourd'hui en n'ordonnant pas d'homme marié à la prêtrise.

Vous vous gardez bien de citer Matthieu tant vous avez conscience que vous vous opposez à Jésus :

19.29 Et quiconque aura quitté, à cause de mon nom, ses frères, ou ses soeurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses maisons, recevra le centuple, et héritera la vie éternelle.

en l'occurence le concile ne fait qu'expliciter et concretiser Sa Volonté.et ne va pas au-delà

Avec autant de mauvaise foi, vous feriez un excellent TJ.

Ac 15.28 Car il a paru bon au Saint Esprit et à nous de ne vous imposer d'autre charge que ce qui est nécessaire,
15.29 savoir, de vous abstenir des viandes sacrifiées aux idoles, du sang, des animaux étouffés, et de l'impudicité, choses contre lesquelles vous vous trouverez bien de vous tenir en garde. Adieu.

A quelles paroles de Jésus cela correspond-il ?

[Soultan]

Sainte MONIQUE, mère de Saint Augustin

Modèle des épouses et des mères chrétiennes, Sainte Monique naquit dans une famille pieuse d'Afrique du Nord romaine. Mariée à un païen bienveillant mais de caractère irascible, elle parvint, grâce à sa patience et à sa douceur, à le gagner à Dieu sur la fin de ses jours. Restée veuve, elle ne voulut pas contracter de secondes noces, afin de se consacrer à une vie pieuse et à l'éducation de son fils Augustine*. Elle suivit avec patience, larmes et prières, les égarements du jeune homme qui finit par tomber dans l'hérésie manichéenne. Lorsqu'elle l'apprit, elle pleura davantage sur la mort de son âme que s'il avait cessé de vivre, mais dans un songe Dieu la consola et l'assura de la future conversion de son fils.

Comme elle avait demandé à un Evêque versé dans les Saintes Ecritures de convaincre Augustin par les arguments de la raison, celui-ci, préférant laisser le jeune homme tourmenté trouver lui-même la Vérité, répondit à Monique : « Allez, laissez-moi. Il est impossible que le f'ils de tant de larmes soit perdu ! » Augustin s'enfonçait cependant de plus en plus dans les désordres et, ayant décidé de quitter Carthage pour Rome, la capitale des vices, il réussit à tromper sa mère qui voulait le suivre, et à s'embarquer sans elle. Lorsqu'il commença sa carrière de rhéteur à Milan, Monique vint le rejoindre et elle accueillit dans un transport de joie la nouvelle de sa conversion, sous la bienheureuse influence de Saint Ambroise. Et quand il reçut f'inalement le Baptême, à Pâques 387, les pleurs de la pieuse mère se transformèrent en larmes de joie. Quelque temps plus tard, alors que parvenus ensemble à Ostie avec le projet de regagner l'Afrique, Monique et son fils s'entretenaient des promesses de la vie étemelle, elle lui dit : « Mon fils, rien ne m'attache plus à cette vie. Qu'y ferais-je et pourquoi y demeurer ? La seule raison pour laquelle je désirais voir ma vie se prolonger un peu c'était pour te voir chrétien orthodoxe avant de mourir. Dieu m'a surabondamment exaucée, puisque je te vois maintenant mépriser les félicités de cette terre pour te vouer à Son service. Que fais-je encore ici? » Cinq jours plus tard, elle fut prise de fièvre et s'alita. Entourée de ses deux fils à son chevet, elle se montrait désormais étrangère aux choses terrestres et leur disait que peu importait le lieu de sa sépulture, dans sa patrie ou en Italie, car Dieu saurait bien le lieu où Il devrait la ressusciter à la fin des temps; elle leur demandait seulement de se souvenir d'elle au moment de célébrer la Divine Liturgie. Elle s'endormit quelques jours plus tard, dans sa cinquante-sixième année.

[Saint Glinglin]

Elle suivit avec patience, larmes et prières, les égarements du jeune homme qui finit par tomber dans l'hérésie manichéenne.

Augustin s'enfonçait cependant de plus en plus dans les désordres et, ayant décidé de quitter Carthage pour Rome, la capitale des vices, il réussit à tromper sa mère qui voulait le suivre, et à s'embarquer sans elle

D'après ce texte, celui qui professe d'autres idées que celles de son auteur est intrinsèquement un vicieux.