Les bienfaits du christianisme
Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 17 janv.25, 22:53Paul qui a écrit dans sa lettre aux Romains 3:10 : "Il n'y a point de juste, il n'en est pas un seul." C'est une citation de l'Ancien Testament (Psaume 14:3 et Ésaïe 53:2) que Paul utilise pour souligner la condition humaine et la nécessité de la grâce divine.
et comme la grace s'applique au jour du jugement donc pas de juste durant toute l'existence.
La grâce divine est un don accordé par Dieu pour le salut et le pardon des péchés associée au moment du Jugement. Cela signifie que, sans cette grâce, personne ne serait considéré comme juste devant Dieu.
Par conséquent puisqu'il n'y a aucun juste, personne ne peut faire des guérisons miraculeuses.
Alors qu'en est il ?
Et bien il s'agit de gens qui ont été soudoyés pour faire croire à des guérisons miraculeuses.
et comme la grace s'applique au jour du jugement donc pas de juste durant toute l'existence.
La grâce divine est un don accordé par Dieu pour le salut et le pardon des péchés associée au moment du Jugement. Cela signifie que, sans cette grâce, personne ne serait considéré comme juste devant Dieu.
Par conséquent puisqu'il n'y a aucun juste, personne ne peut faire des guérisons miraculeuses.
Alors qu'en est il ?
Et bien il s'agit de gens qui ont été soudoyés pour faire croire à des guérisons miraculeuses.



"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
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Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 17 janv.25, 22:57L'existence du miracle n'a jamais été démontré .
Sur un plan scientifique on parle de guérisons inexpliquées et jamais de guérisons miraculeuses .
Guérisons inexpliquées en état de la science actuelle .
Autrement dit , ces guérisons pourront potentiellement trouver une explication dans le future , avec l'avancée de la science .
L'escroquerie c'est de faire passer des guérisons que les scientifiques déclarent inexpliquées comme miraculeuses .
Ensuite , les guérisons inexpliquées ne sont nullement les privilèges de Lourdes puisqu'on trouve la même proportion de guérisons inexpliquées dans les hôpitaux .
Sur un plan scientifique on parle de guérisons inexpliquées et jamais de guérisons miraculeuses .
Guérisons inexpliquées en état de la science actuelle .
Autrement dit , ces guérisons pourront potentiellement trouver une explication dans le future , avec l'avancée de la science .
L'escroquerie c'est de faire passer des guérisons que les scientifiques déclarent inexpliquées comme miraculeuses .
Ensuite , les guérisons inexpliquées ne sont nullement les privilèges de Lourdes puisqu'on trouve la même proportion de guérisons inexpliquées dans les hôpitaux .
Seul le présent est “réel”, précisément parce qu’il ne peut être saisi, ni retenu.
Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 17 janv.25, 23:29De toute façon, en l'absence d'une confirmation officielle par Dieu lui-même, son intervention n'est qu'hypothétique.
On s'est un peu trop habitué à se passer de ses communications*, comme si cela était très normal, comme si nous n'en
étions pas dignes, comme si nous en avions perdu le droit, comme s'il n'avait pas à s'abaisser à ça, ou comme s'il boudait.
Non, souvenons-nous à quel point il a été prolixe en des temps qui ont amené à rédiger ce qui ne sont que des fables élevées
au rang de préceptes divins.
Non, il n'est pas normal du tout, et pas du tout honnête de sa part, de se comporter comme ça. Quand on brigue un tel titre
et autant de vénérations, on doit les mériter, on ne boude pas tout en laissant se propager des déformations, des caricatures
en nombre incalculable, de ses desiderata pourtant restés impératifs. Ce dieu n'a rien d'honnête et n'est qu'une fiction maladroite.
Les bienfaits du christianisme, s'ils existent, sont de la nature de ceux qu'apporte le Père Noël.
Désolé.
*Hormis bien sûr toutes ces communications individuelles qu'on nous rapporte mais qui ne font pas avancer un schmilblick qui se veut planétaire.
Ajouté 3 minutes 19 secondes après :
des âneries si énormes qu'elles sont passées inaperçues. Lisez-le mieux, "analysez objectivement" ses racontars.
On s'est un peu trop habitué à se passer de ses communications*, comme si cela était très normal, comme si nous n'en
étions pas dignes, comme si nous en avions perdu le droit, comme s'il n'avait pas à s'abaisser à ça, ou comme s'il boudait.
Non, souvenons-nous à quel point il a été prolixe en des temps qui ont amené à rédiger ce qui ne sont que des fables élevées
au rang de préceptes divins.
Non, il n'est pas normal du tout, et pas du tout honnête de sa part, de se comporter comme ça. Quand on brigue un tel titre
et autant de vénérations, on doit les mériter, on ne boude pas tout en laissant se propager des déformations, des caricatures
en nombre incalculable, de ses desiderata pourtant restés impératifs. Ce dieu n'a rien d'honnête et n'est qu'une fiction maladroite.
Les bienfaits du christianisme, s'ils existent, sont de la nature de ceux qu'apporte le Père Noël.
Désolé.
*Hormis bien sûr toutes ces communications individuelles qu'on nous rapporte mais qui ne font pas avancer un schmilblick qui se veut planétaire.
Ajouté 3 minutes 19 secondes après :
Il ne serait pas mauvais de reconnaître un jour que Paul était un grave malade qui a raconté à ses contemporains
des âneries si énormes qu'elles sont passées inaperçues. Lisez-le mieux, "analysez objectivement" ses racontars.
Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 18 janv.25, 02:16Les bienfaits des monastères (suite)Fides a écrit : ↑16 janv.25, 04:43 Les bienfaits des monastères
Qu'est-ce qu'un monastère au Moyen-Âge ?
C'était une sainte solitude, où des âmes ardentes et sensibles, offusquées par les bruits et les travers du monde, venaient chercher un lieu de repos. Là, elles pouvaient, sans danger, donner un libre cours à la contemplation des vérités éternelles, à cette activité qui les dévorait. Combien d'esprits égarés courent aujourd'hui après des réformes chimériques, capables de bouleverser le monde si elles étaient appliquées, et qui auraient pu sans péril satisfaire leur besoin de perfectibilité derrière les murailles d'un cloître !
Qu'est-ce qu'un monastère au Moyen-Âge ?
C'était un bureau de charité, une pharmacie, souvent même un hospice, perpétuellement ouvert aux besoins du pauvre. Il y trouvait dans ses moments de détresse, le pain qui soutient l'existence, le médicament qui soulage les infirmités, et quelquefois même un médecin qui, s'il ne parvenait à guérir le corps, savait au moins adoucir l'âme, par ces pieuses paroles d'encouragement, qui font supporter avec plus de résignation les chagrins et les aspérités de la vie. Et ce qu'il y a de plus remarquable, c'est que c'était encore un des principaux articles de la règle, qui disait : « C'est surtout dans la réception des pauvres et des pèlerins, qu'il faut apporter une sollicitude pleine d'attention, car on reçoit Jésus-Christ davantage en eux que dans les autres. Pour les grands du monde, ils s'attirent toujours assez de respects par la crainte que l'on a de leur déplaire. » Admirable civilisation chrétienne, seule vraie, seule complète, qui nous fait voir non seulement un frère, mais un autre Jésus-Christ, dans la personne des pauvres ! Comment, après cela, refuser je ne dis pas son aumône, mais son respect, mais son affection, à celui, sous les haillons duquel votre foi découvre le Sauveur lui-même, qui vous a tout donné, tout, jusqu'au sang, à vous qui moralement, étiez mille fois plus dénué que le pauvre que vous avez sous les yeux. (Histoire de l'abbaye de Sainte-Colombe)
Or le monastère, voilà le type parfait de l'association complète, intégrale, association morale et spirituelle en même temps que corporelle ou temporelle, association pour le travail de l'âme comme pour celui du corps, association pour la production comme pour la répartition et la consommation, association de toutes les facultés humaines, individuelles ou collectives, association une et universelle dans son principe, dans ses moyens, dans son but.
(Migne, Encyclopédie théologique, 1856, pp. 185-186)
Catholicisme traditionnel. « Nous avons cru en la charité » (Saint Jean) 

Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 19 janv.25, 00:38Qu'on ait fondé des œuvres indéniablement bienfaisantes sur une fiction romancée et non uniquement
sur leur intérêt humain n'est pas, à mon sens, à porter à la gloire de l'esprit d'homo sapiens.
On voit aujourd'hui (et pas seulement) comment on peut, sur des fictions romancées, fonder
des œuvres indéniablement malfaisantes.
sur leur intérêt humain n'est pas, à mon sens, à porter à la gloire de l'esprit d'homo sapiens.
On voit aujourd'hui (et pas seulement) comment on peut, sur des fictions romancées, fonder
des œuvres indéniablement malfaisantes.
Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 19 janv.25, 07:18L'être humain vit plus que jamais dans la fiction romancée : jeux vidéos, monde virtuel, etc. Les gens étaient beaucoup plus réalistes et honnêtes avec eux-mêmes autrefois.
Catholicisme traditionnel. « Nous avons cru en la charité » (Saint Jean) 

Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 19 janv.25, 07:35C'est vrai, et si l'intelligence artificielle nous trouve un nouveau dieu, c'est la catastrophe.
Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 19 janv.25, 13:25Sœur Françoise-Xavière Cabrini, une femme qui a bâti un empire de charité
Elle est née à Sant'Angelo, faubourg de la ville de Lodi, sise dans la riche plaine lombarde, à vingt milles de Milan, entre un campanile et la tour d'un vieux château. C'était le 15 juillet 1850. Une étoile filante ne marqua pas sa naissance, nous étions en plein jour, mais de blanches colombes, comme on n'en avait jamais vu à Sant'Angelo, s'abattirent en volées éblouissantes autour de la maison de Signor Agostino Cabrini.
Francesca est la cadette d'une famille de treize enfants. Et il est impossible de ne pas songer que si ses parents, comme ceux de Catherine de Sienne (vingt-troisième enfant), de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus (neuvième enfant), avaient fait le calcul si souvent égoïste d'une petite famille, des millions d'émigrés auraient vécu et seraient morts sans le soutien de la foi, les Américains ne fêteraient pas aujourd'hui leur première sainte et l'Église aurait perdu une des femmes d'action les plus extraordinaires de son histoire...
Et pourtant, née deux mois avant terme, comme elle est frêle, la petite ! Elle grandit entourée de soins, faible de cœur, le corps miné par une fièvre maligne, et si fragile qu'on l'appellera Cecchina, comme une poupée, jusqu'au jour où elle fera ses vœux de religion.
Physiquement, elle n'a rien de la grande voyageuse ou de la grande bâtisseuse qu'elle sera. Les médecins lui déconseilleront même un jour de faire sa première traversée de l'Atlantique. De plus, c'est une petite fille rêveuse, et elle n'a donc rien de la femme d'affaires; elle est timide, et n'a donc pas confiance en elle-même; enfin elle est de vieille souche paysanne, et n'a donc pas hérité d'un grand esprit d'aventure. Et c'est bien ainsi, car il faut qu'elle traverse vingt-sept fois l'Atlantique en trente ans, qu'elle soit une femme d'affaires géniale, qu'elle fonde une communauté religieuse et sème ses maisons sur trois continents. C'est bien qu'elle soit faible, rêveuse, timide, et de parents casaniers, pour qu'éclate une fois de plus aux yeux des hommes la force de Dieu et que se vérifie le mot de saint Paul que la Mère Cabrini se choisira pour devise : « Je puis tout en celui qui me fortifie. » C'est à proprement parler le miracle de cette vie.
À sa mort, elle laisse derrière elle 4 000 religieuses et 67 maisons.
(Père Luigi d'Apollonia, juillet 1946)
Elle est née à Sant'Angelo, faubourg de la ville de Lodi, sise dans la riche plaine lombarde, à vingt milles de Milan, entre un campanile et la tour d'un vieux château. C'était le 15 juillet 1850. Une étoile filante ne marqua pas sa naissance, nous étions en plein jour, mais de blanches colombes, comme on n'en avait jamais vu à Sant'Angelo, s'abattirent en volées éblouissantes autour de la maison de Signor Agostino Cabrini.
Francesca est la cadette d'une famille de treize enfants. Et il est impossible de ne pas songer que si ses parents, comme ceux de Catherine de Sienne (vingt-troisième enfant), de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus (neuvième enfant), avaient fait le calcul si souvent égoïste d'une petite famille, des millions d'émigrés auraient vécu et seraient morts sans le soutien de la foi, les Américains ne fêteraient pas aujourd'hui leur première sainte et l'Église aurait perdu une des femmes d'action les plus extraordinaires de son histoire...
Et pourtant, née deux mois avant terme, comme elle est frêle, la petite ! Elle grandit entourée de soins, faible de cœur, le corps miné par une fièvre maligne, et si fragile qu'on l'appellera Cecchina, comme une poupée, jusqu'au jour où elle fera ses vœux de religion.
Physiquement, elle n'a rien de la grande voyageuse ou de la grande bâtisseuse qu'elle sera. Les médecins lui déconseilleront même un jour de faire sa première traversée de l'Atlantique. De plus, c'est une petite fille rêveuse, et elle n'a donc rien de la femme d'affaires; elle est timide, et n'a donc pas confiance en elle-même; enfin elle est de vieille souche paysanne, et n'a donc pas hérité d'un grand esprit d'aventure. Et c'est bien ainsi, car il faut qu'elle traverse vingt-sept fois l'Atlantique en trente ans, qu'elle soit une femme d'affaires géniale, qu'elle fonde une communauté religieuse et sème ses maisons sur trois continents. C'est bien qu'elle soit faible, rêveuse, timide, et de parents casaniers, pour qu'éclate une fois de plus aux yeux des hommes la force de Dieu et que se vérifie le mot de saint Paul que la Mère Cabrini se choisira pour devise : « Je puis tout en celui qui me fortifie. » C'est à proprement parler le miracle de cette vie.
À sa mort, elle laisse derrière elle 4 000 religieuses et 67 maisons.
(Père Luigi d'Apollonia, juillet 1946)
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Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 19 janv.25, 21:00Je reconnais à l'abbé Pierre le statut de bienfaiteur malgré les inacceptables dérives auxquelles sa condition
naturelle d'être humain masculin a été détraquée par la bêtise catholique du célibat obligatoire.
naturelle d'être humain masculin a été détraquée par la bêtise catholique du célibat obligatoire.
Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 20 janv.25, 01:46Vous considérez certains actes de M. l'abbé Pierre comme une conséquence du célibat obligatoire, sans tenir compte de des autres facteurs qui ne peuvent être ignorés. Je constate que vous reprenez inconsciemment un argument très présent dans les milieux qui dénigrent (et qui ignorent) la grandeur de la vie consacrée sans avoir préalablement jugé de la pertinence de ce genre d'argument.
Catholicisme traditionnel. « Nous avons cru en la charité » (Saint Jean) 

Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 20 janv.25, 02:11Je ne sais pas ce que vous voulez dire par la grandeur de la vie consacrée ou d'autres facteurs,
mais dans ce que j'exprime rien n'exclut de la grandeur dans la vie de l'abbé Pierre, il y en eut,
mais la part d'ombre de cette même vie est très probablement une conséquence de la rigueur
sacerdotale absurde et contre nature sous laquelle il s'était imprudemment engagé.
mais dans ce que j'exprime rien n'exclut de la grandeur dans la vie de l'abbé Pierre, il y en eut,
mais la part d'ombre de cette même vie est très probablement une conséquence de la rigueur
sacerdotale absurde et contre nature sous laquelle il s'était imprudemment engagé.
Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 20 janv.25, 02:37Lorsqu'une personne choisit la vie consacrée (la vie religieuse et sacerdotale), elle choisit de renoncer à certaines choses (le mariage, la vie de famille) pour vivre pour le Bon Dieu. Elle laisse de côté les préoccupations mondaines. Le sacerdoce n'est ni absurde, ni contre-nature. Cela n'existe pas. Des millions de personnes ont choisi de vivre le célibat chrétien à travers les siècles. Il serait bon de se le rappeler.
De plus, avant de dire que le célibat est la cause des manquements moraux de certains prêtres, il faudrait me présenter les statistiques qui démontrent que ceux qui vivent dans le célibat sont plus susceptibles de rencontrer ces types de manquements. Si les statistiques ne confirment pas qu'il existe un lien entre le célibat et ces manquements moraux, il faut conclure qu'il s'agit de préjugés anti-chrétien. Les autres causes (que la plupart des gens préfèrent ignorer) sont à prendre en considération :
- vie favorisant le laxisme moral
- abandon de la soutane
- rejet des principes du catéchisme
- etc.
De plus, avant de dire que le célibat est la cause des manquements moraux de certains prêtres, il faudrait me présenter les statistiques qui démontrent que ceux qui vivent dans le célibat sont plus susceptibles de rencontrer ces types de manquements. Si les statistiques ne confirment pas qu'il existe un lien entre le célibat et ces manquements moraux, il faut conclure qu'il s'agit de préjugés anti-chrétien. Les autres causes (que la plupart des gens préfèrent ignorer) sont à prendre en considération :
- vie favorisant le laxisme moral
- abandon de la soutane
- rejet des principes du catéchisme
- etc.
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Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 20 janv.25, 03:07Je me demande s'il n'est pas plus mondain de se marier à Dieu qu'à un simple humain,
si l'on veut employer le terme "mondain". En tout cas c'est incontestablement plus prétentieux.
Je ne dispose d'aucune statistique concernant les défroqués ni même la pédophilie dans l'Église,
si cela peut vous permettre de nier leur importance,... Et je n'ai pas que des préjugés anti-chrétiens,
j'ai aussi toute une panoplie d'appréciations à postériori, dont j'ai d'ailleurs déjà donné un aperçu ici.
si l'on veut employer le terme "mondain". En tout cas c'est incontestablement plus prétentieux.
Je ne dispose d'aucune statistique concernant les défroqués ni même la pédophilie dans l'Église,
si cela peut vous permettre de nier leur importance,... Et je n'ai pas que des préjugés anti-chrétiens,
j'ai aussi toute une panoplie d'appréciations à postériori, dont j'ai d'ailleurs déjà donné un aperçu ici.
Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 20 janv.25, 03:33Ce que tout athée est capable de faire tout autant sinon mieux.
Ajouté 11 minutes 14 secondes après :
Le rôle du prêtre, le rôle de la soeur ce n'est pas de satisfaire à des Oeuvres.
Parce que satisfaire à des Oeuvres c'est à la portée de tout le monde, paiens (athées) y compris
Romains 2:14
Quand les païens, qui n'ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi, ils sont, eux qui n'ont point la loi, une loi pour eux-mêmes;
Les paiens qui n'ont pas eu accès la loi divine et bien ils ont dans leurs entrailles envie d'être bons, car la nature de l'homme est bonne par nature.
Par conséquent les athées ont une loi qui les dirige, la loi du coeur, la bonté naturelle.
Le prêtre n'est pas plus bon que l'athée et vice et versa.
Il n'y a pas de "bienfaits du Christianisme" car des bienfaiteurs il y en a partout, chez les laïcs comme chez certains prêtres.
Donc l'ETERNEL n'attend pas des prêtres et des soeurs des Oeuvres de bienfaisance, ce n'est pas le but, car ça c'est à la porté de tout le monde, même des gens qui n'ont pas été appelés au Sacerdoce.
Non l'ETERNEL attend des prêtres et des soeurs qu'ils enseignent la Bible aux gens.



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Re: Les bienfaits du christianisme
Ecrit le 20 janv.25, 03:47Ben quelle est la différence avec le fait de vivre dans un monde religieux imaginaire ?
Avant , les gens vivaient dans des mondes virtuels en s'identifiant à des légendes , zeus ,vishnou , Brahma , allah etc ....
C'était le monde virtuel d'hier .
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