Posté : 23 déc.05, 00:05
Je ne veux pas ajouter a Proserpina qui a bien resume la situation.
Sache que je suis catho, eleve et eduque catho.
Puis il y a eu Vatican II.
J'ai vecu les promesses de Jean XXIII et les trahisons de Montini et ses successeurs.
C'est dire que je parle d'experience.
J'ai sortis le texte de l'encyclopedie parce que je savais avoir raison. Le cathechisme ne pouvait avoir change en 50 ans.
Je m'inscris en faux sur certaines de tes affirmations
Les problemes du sexe ont ete cree par des societes qui ont essaye de le controler et ca a commence avec les hebreux.
Un gros paquet d'interdictions du Levetique sont a consonance sexuelle. Les chretiens sont les heritiers des juifs a ce sujet.
Par contre quand on se rapporte aux societes Asiatiques, on retrouve une toute autre musique. La presence de signes phalliques a travers le bouddhisme, de coit cosmique du Linga de Shiva et du yoni de Parvati dont on trouve des representation dans tous les temples Hindus,

les asanas tantriques qui sont des rites sexuels, tout ca montre une vision radicalement differente.

Le fameux Kama Soutra n'est pas un livre porno mais un manuel de la parfaite jeune fille. Un seul chapitre concerne le "congres" et toutes ses variations pour optimiser le plaisir.
Plus loin, en polynesie, l'ethnologue Margareth Meade, decrit une societe que notre moralite decrirait comme depourvue de toute moralite.
Le sexe a ete controle par certaines societes et venere par d'autres.
L'idee de la relation entre "libertinage" et "liberte sexuelle" montre bien le malaise.
Les Hindous ne connaissaient pas le libertinage, par contre ils avaient une enorme liberte sexuelle. Les Musulmans puritains se sont laisse embarquer, il a fallu les anglais pour salir tout ce tableau idylique. Les films puritains de Bolywood sont loin des bas reliefs du temple de Khajuraho.
Au Japon les maisons de the etaient des bordels dans toute leur definition et les geishas avaient d'autre talents que de servir le the.
Pour en revenir a l'Eglise, depuis les touts debuts on retrouve le culte de la virginite et de la chastete. Saint Jean Chrysostome en a fait tout une aude.
Puis au concile de Trente on nous apprends que la chastete est une situation superieure au mariage.
1) la liberte sexuelle est une reaction contre des siecles de frustration cree par la condamnation
2) Si l'Eglise avait donne autant d'importance au sexe qu'elle en accorde au meurtre ou au racisme, on en serait pas la.
3) La liberte sexuelle n'implique pas necessairement le manque de respect de l'autre
4) Si on peut apprecier une tranche de foie gras truffe du Perigor avec un vieux chateau Yquiem, on peut tout autant apprecier une bonne partie de jambe en l'air. Le premier n'est pas pour la nouriture, le second n'est pas pour la procreation.
Sache que je suis catho, eleve et eduque catho.
Puis il y a eu Vatican II.
J'ai vecu les promesses de Jean XXIII et les trahisons de Montini et ses successeurs.
C'est dire que je parle d'experience.
J'ai sortis le texte de l'encyclopedie parce que je savais avoir raison. Le cathechisme ne pouvait avoir change en 50 ans.
Je m'inscris en faux sur certaines de tes affirmations
Faux,Nier que l'Homme a toujours eu des problèmes avec le sexe serait stupide
Les problemes du sexe ont ete cree par des societes qui ont essaye de le controler et ca a commence avec les hebreux.
Un gros paquet d'interdictions du Levetique sont a consonance sexuelle. Les chretiens sont les heritiers des juifs a ce sujet.
Par contre quand on se rapporte aux societes Asiatiques, on retrouve une toute autre musique. La presence de signes phalliques a travers le bouddhisme, de coit cosmique du Linga de Shiva et du yoni de Parvati dont on trouve des representation dans tous les temples Hindus,

les asanas tantriques qui sont des rites sexuels, tout ca montre une vision radicalement differente.

Le fameux Kama Soutra n'est pas un livre porno mais un manuel de la parfaite jeune fille. Un seul chapitre concerne le "congres" et toutes ses variations pour optimiser le plaisir.
Plus loin, en polynesie, l'ethnologue Margareth Meade, decrit une societe que notre moralite decrirait comme depourvue de toute moralite.
Le sexe a ete controle par certaines societes et venere par d'autres.
L'idee de la relation entre "libertinage" et "liberte sexuelle" montre bien le malaise.
Les Hindous ne connaissaient pas le libertinage, par contre ils avaient une enorme liberte sexuelle. Les Musulmans puritains se sont laisse embarquer, il a fallu les anglais pour salir tout ce tableau idylique. Les films puritains de Bolywood sont loin des bas reliefs du temple de Khajuraho.
Au Japon les maisons de the etaient des bordels dans toute leur definition et les geishas avaient d'autre talents que de servir le the.
Pour en revenir a l'Eglise, depuis les touts debuts on retrouve le culte de la virginite et de la chastete. Saint Jean Chrysostome en a fait tout une aude.
Puis au concile de Trente on nous apprends que la chastete est une situation superieure au mariage.
Tu n'a jamais pense queL'étendard de la liberté sexuelle, pour aussi attrayant qu'il puisse paraître, me paraît (aujourd'hui) tout aussi bidon que celui de la condamnation du sexe.
1) la liberte sexuelle est une reaction contre des siecles de frustration cree par la condamnation
2) Si l'Eglise avait donne autant d'importance au sexe qu'elle en accorde au meurtre ou au racisme, on en serait pas la.
3) La liberte sexuelle n'implique pas necessairement le manque de respect de l'autre
4) Si on peut apprecier une tranche de foie gras truffe du Perigor avec un vieux chateau Yquiem, on peut tout autant apprecier une bonne partie de jambe en l'air. Le premier n'est pas pour la nouriture, le second n'est pas pour la procreation.