Posté : 14 août07, 01:54
SI vous lisiez ce que j'ai déjà dit cent fois, vous ne feriez pas perdre leur temps à "des dizaine de milliers de personnes !"
Je pense très honnêtement, que si vous l'aviez dit 1000 fois, cela ne ferait pas avancer d'un micropouce une seule personne.
D'ailleurs, votre présence sur ce forum est comparable à celle d'un chancre.
Au contraire, ma présence sur ce forum est comme la guérison des chancres, qu'ils soient mous ou durs.
Je vais m'en chercher un autre où les délires de l'hybris et les illusions d'un savoir ranci ne viennent pas polluer les beaux mystères dans le souci de s'affilier des groupies incapables de connaître la vérité.
C'est tout-à-fait l'inverse ! En général, la propagande provient de systèmes tout faits de pensée pré-mâchée. A la question "Pourquoi ?", ces systèmes ne répondent pas autrement que par "la croyance est le fondement". Cependant, à l'étude des textes, le mot foi n'est pas associé à la notion de croyance, mais à celle de fidélité et d'adhérence. Cela n'est donc pas quelque chose qui s'oppose à une intellection des écritures dans le sens de répondre à la question "Pourquoi ?". Si les enseignements des églises se basent sur cette apologie de la croyance et non celle de la fidélité, c'est parce que certains phénomènes d'ordre psychique sont détournés de leur réalité, afin de constituer la base de la foi. Or ceci est universellement démenti par tous les mystiques. Par ailleurs, ceux qui étudient n'ont que faire d'avoir des disciples ou de recruter du personnel. Notre démarche est particulièrement sans calcul et sans plan terrestre. C'est également un constat que la notion d'église, qui n'est que l'assemblage corporel des composantes de l'existence divine, est exactement la traduction du mot Qahal en hébreu. Ce mot n'évoque pas une réalité terrestre, mais bien une réalité corporelle en construction, et cela, aussi bien dans l'AT que dans le NT.
Ceux qui nient le Christ
Je lis tous les posts, et je n'ai rencontré que très peu de personnes niant le Christ ! Avez-vous des exemples à citer ?
"le dieu du chritianisme est néant"
Affirmer que le dieu du christianisme est un néant existentiel est la façon moderne et en termes d'aujourd'hui de transcrire la notion de Père du NT. Car cette réalité, qui est entièrement décrite dans le chapitre 1 de la genèse, fondement de l'AT et aussi du NT, ne peut pas faire l'objet d'une contradiction quelconque, sauf à occulter le sens même des textes, mais également d'obstruer l'esprit et l'intelligence, ce qui alors se traduit par le fait d'empêcher réellement toute personne de comprendre son origine, et par voie de conséquence, sa destinée. Dans le NT, cette obstruction est la principale accusation que Jésus fait aux pharisiens et aux Sopherims.
sont bons pour le feu éternel
Le feu éternel n'est-il pas l'origine de la vie ?
Repend-toi donc, bavard, et peut-être Dieu te pardonnera t-il tes hérésies et tes paroles rongées par le fiel l'amertume et une prétention qui fait pitié.
Allons, Allons ! Vous doutez de Dieu, maintenant ? Pourquoi douter de Dieu quand il s'agit d'Ilibade et non quand il s'agit de vous ?
C'est pas compliqué, entre Illibade et harry Potter, je préfère Harry Potter.
Ceci montre bien votre attachement à l'occultisme et dans les échanges entre vous et moi, vous êtes le seul à évoquer des personnages occultes. Dans mes propos, je n'en ai jamais eu besoin. Les écritures, pour peu qu'on s'y intéresse selon la tradition, révèlent bien plus qu'on ne l'imagine ordinairement.
Votre "méthode" :
Nullement MA méthode, mais plutôt celle de toute personne qui dispose d'un langage en tant qu'outil.
La vérité formelle
Aucune vérité authentique ne peut être formelle. Ce qui est formel, c'est ce qui reçoit une forme, c'est-à-dire ce qui parvient à l'existence. Or la vérité n'est pas existentielle, et elle ne tient que dans une seule conception possible, qui est celle de la Cause universelle de l'existence. Cette question est enseignée dans toutes les traditions. C'est pourquoi, Jésus est la vérité en tant que témoignage du Père, ou si l'on veut en tant qu'image et ressemblance du Père.
qui est la validité des conclusions d'un système hypothético-déductif,
C'est plutôt le résultat d'un Verbe et d'un langage, car si la vérité informelle peut donner lieu à une mise en forme ou une "expression", c'est seulement à travers un langage. La Vérité est NON-Verbe, l'expression de la vérité ou sa manifestation, est verbe.
procédant suivant des règles de déduction à partir de postulats et d'axiomes admis.
Il n'existe qu'un seul postulat, et c'est un postulat nul, car la cause première de ce qui existe, ne peut pas avoir de cause avant elle. Elle se base donc elle-même sur une absence de postulat.
La vérité d'une croyance ou d'une opinion
Comment une croyance ou une opinion peut-elle être vérité ? Si elle était vérité, elle serait alors certitude, et si elle n'est pas certitude, c'est alors qu'on n'est pas sûr qu'elle soit réellement vérité.
qui est la vérité d'une proposition qui s'accorde à un ensemble de croyances qui lui préexistent
Donc selon vous, la vérité n'existe qu'en référence à un ensemble de croyances qui sont pré-existantes à cette vérité. Cela signifie que la croyance du chrétien pré-existe à Dieu, compte tenu que Dieu est l'unique vérité. BRAVO ! Il est "vrai" que vous avez reconnu que la logique n'était pas votre spécialité. Cependant, vous prétendez malgré tout être "inspiré" de l'esprit qui est pure logique. Il y a là comme une sorte d' "invraisemblance".
Ce genre de vérité est souvent appelé vérité cohérente.
Souvent oui, mais complètement à tort !!! Ce genre de vérité, par l'inconsistance de son discours et l'invraisemblance ne peut certainement pas être cohérente. Par ailleurs, ces croyances, dès lors qu'elles sont accompagnées de moyens d'examen et d'épreuve, cessent d'être, afin de laisser place à la certitude, qui est le vrai ciment de la vraie foi, celle-ci dans le sens d'une force d'assemblage et d'une fidélité sans réserve.
Ce qui explique vos innombrables erreurs c'est de prétendre RAISONNER ce qui n'est accessible QUE par la foi.
Aucune de mes erreurs n'est explicable dès lors que vous n'en avez démontré aucune. Par contre, les erreurs de la croyance sont faciles à relever et à démonter. Ainsi, beaucoup de gens démarrent leur vie en ayant foi au Père Noêl. Et selon votre discours, ils sont bien coupables, lorsque, devenus plus instruits, ils n'y croient plus. Cette croyance au Père Noêl est "cohérente". Et oui, elle coule de source !
Car vous sondez le contenu verbal d'une affirmation,
En effet, et lorsqu'on le fait, on s'aperçoit que toute affirmation est la négation d'une non-existence première.
là où d'autres parlent d'une expérience INCOMMUNICABLE.
Si elle est incommunicable, comment les congrégations peuvent-elles prétendre la communiquer, la transmettre, l'enseigner et démontrer qu'elle est tout cela par transmission apostolique ? Là se trouve la limite de l'insupportable. Parce que, lorsqu'on se penche sur l'histoire des spiritualités, on s'aperçoit que bien qu'incommunicable, les hommes ont largement cherché à la communiquer. C'est d'ailleurs le but des écrits sacrés, de leurs commentaires et des efforts sans nombre que cette humanité a consacrée à cette réalité. Au contraire, si cela ne se communique pas, c'est parce que cela est présent constamment, sans défaillir, et que l'être humain, qui est Nephesh doit en prendre conscience. La seule réelle expérience, est la découverte de cette présence, et pour y parvenir, il est nécessaire d'en concevoir d'abord la possibilité intellectuellement.
(Si elle était communicable, il y a beau temps qu'il n'y aurait plus d'athées..)
Elle est pure présence, et même dans les athées.
L'amour est atteint par l'espérance au moyen de la foi.
La spiritualité ne vise pas l'Amour, mais la compassion comme moyen équilibré et juste de construire l'assemblée, en cimentant ce qui est éparpillé en apparence. La notion d'espérance ou d'attente (elpiz) ne peut se concevoir que si la fidélité est action et dynamisme. C'est pourquoi, croire et espérer ne sont pas suffisants pour cheminer la voie. La conversion du chrétien l'oblige à bien davantage.
D'ailleurs, ni les disciples, ni les apôtres, ni Jesus-Christ ne mettent en valeur les raisonnements sophistiqués, mais bien la FOI.
Pourtant, il ne manque pas de versets qui affirment exactement l'inverse. D'ailleurs, Jésus ne pouvait que frapper son entourage par son autorité et son intelligence. Sans l'intelligence et sans cette autorité, qui, à l'époque aurait choisi de croire ? Par contre par l'intelligence, on crée la confiance puis la fidélité. C'est pour cela que la science apporte des éléments de certitude et de fidélité. Vous êtes-vous posé la question de savoir pourquoi les hommes politiques, les évêques, les professeurs, les docteurs font l'objet de foi de la part des peuples ?
La réponse est : parce qu'ils occupent une position sociale élevée. Beaucoup de tromperie est ainsi rendue possible, simplement par la croyance que ceux qui ont une position sociale élevée et attestée traditionnellement par la communauté, sont ceux qui détiennent la vérité et la solution des problèmes. Très honnêtement, à la lecture de l'histoire, peut-on réellement reconnaître comme bien-fondée une telle foi populaire ?
En religion, l'homme le moins en vue, le plus démuni, le plus caché, et qui pratique la voie, est infiniment plus une autorité spirituelle, parce qu'il vit en conformité de l'intelligence et que sa vie n'a jamais de conséquences extrêmistes. Il vous faut relire les textes en analysant chaque mot.
Je pense très honnêtement, que si vous l'aviez dit 1000 fois, cela ne ferait pas avancer d'un micropouce une seule personne.
D'ailleurs, votre présence sur ce forum est comparable à celle d'un chancre.
Au contraire, ma présence sur ce forum est comme la guérison des chancres, qu'ils soient mous ou durs.
Je vais m'en chercher un autre où les délires de l'hybris et les illusions d'un savoir ranci ne viennent pas polluer les beaux mystères dans le souci de s'affilier des groupies incapables de connaître la vérité.
C'est tout-à-fait l'inverse ! En général, la propagande provient de systèmes tout faits de pensée pré-mâchée. A la question "Pourquoi ?", ces systèmes ne répondent pas autrement que par "la croyance est le fondement". Cependant, à l'étude des textes, le mot foi n'est pas associé à la notion de croyance, mais à celle de fidélité et d'adhérence. Cela n'est donc pas quelque chose qui s'oppose à une intellection des écritures dans le sens de répondre à la question "Pourquoi ?". Si les enseignements des églises se basent sur cette apologie de la croyance et non celle de la fidélité, c'est parce que certains phénomènes d'ordre psychique sont détournés de leur réalité, afin de constituer la base de la foi. Or ceci est universellement démenti par tous les mystiques. Par ailleurs, ceux qui étudient n'ont que faire d'avoir des disciples ou de recruter du personnel. Notre démarche est particulièrement sans calcul et sans plan terrestre. C'est également un constat que la notion d'église, qui n'est que l'assemblage corporel des composantes de l'existence divine, est exactement la traduction du mot Qahal en hébreu. Ce mot n'évoque pas une réalité terrestre, mais bien une réalité corporelle en construction, et cela, aussi bien dans l'AT que dans le NT.
Ceux qui nient le Christ
Je lis tous les posts, et je n'ai rencontré que très peu de personnes niant le Christ ! Avez-vous des exemples à citer ?
"le dieu du chritianisme est néant"
Affirmer que le dieu du christianisme est un néant existentiel est la façon moderne et en termes d'aujourd'hui de transcrire la notion de Père du NT. Car cette réalité, qui est entièrement décrite dans le chapitre 1 de la genèse, fondement de l'AT et aussi du NT, ne peut pas faire l'objet d'une contradiction quelconque, sauf à occulter le sens même des textes, mais également d'obstruer l'esprit et l'intelligence, ce qui alors se traduit par le fait d'empêcher réellement toute personne de comprendre son origine, et par voie de conséquence, sa destinée. Dans le NT, cette obstruction est la principale accusation que Jésus fait aux pharisiens et aux Sopherims.
sont bons pour le feu éternel
Le feu éternel n'est-il pas l'origine de la vie ?
Repend-toi donc, bavard, et peut-être Dieu te pardonnera t-il tes hérésies et tes paroles rongées par le fiel l'amertume et une prétention qui fait pitié.
Allons, Allons ! Vous doutez de Dieu, maintenant ? Pourquoi douter de Dieu quand il s'agit d'Ilibade et non quand il s'agit de vous ?
C'est pas compliqué, entre Illibade et harry Potter, je préfère Harry Potter.
Ceci montre bien votre attachement à l'occultisme et dans les échanges entre vous et moi, vous êtes le seul à évoquer des personnages occultes. Dans mes propos, je n'en ai jamais eu besoin. Les écritures, pour peu qu'on s'y intéresse selon la tradition, révèlent bien plus qu'on ne l'imagine ordinairement.
Votre "méthode" :
Nullement MA méthode, mais plutôt celle de toute personne qui dispose d'un langage en tant qu'outil.
La vérité formelle
Aucune vérité authentique ne peut être formelle. Ce qui est formel, c'est ce qui reçoit une forme, c'est-à-dire ce qui parvient à l'existence. Or la vérité n'est pas existentielle, et elle ne tient que dans une seule conception possible, qui est celle de la Cause universelle de l'existence. Cette question est enseignée dans toutes les traditions. C'est pourquoi, Jésus est la vérité en tant que témoignage du Père, ou si l'on veut en tant qu'image et ressemblance du Père.
qui est la validité des conclusions d'un système hypothético-déductif,
C'est plutôt le résultat d'un Verbe et d'un langage, car si la vérité informelle peut donner lieu à une mise en forme ou une "expression", c'est seulement à travers un langage. La Vérité est NON-Verbe, l'expression de la vérité ou sa manifestation, est verbe.
procédant suivant des règles de déduction à partir de postulats et d'axiomes admis.
Il n'existe qu'un seul postulat, et c'est un postulat nul, car la cause première de ce qui existe, ne peut pas avoir de cause avant elle. Elle se base donc elle-même sur une absence de postulat.
La vérité d'une croyance ou d'une opinion
Comment une croyance ou une opinion peut-elle être vérité ? Si elle était vérité, elle serait alors certitude, et si elle n'est pas certitude, c'est alors qu'on n'est pas sûr qu'elle soit réellement vérité.
qui est la vérité d'une proposition qui s'accorde à un ensemble de croyances qui lui préexistent
Donc selon vous, la vérité n'existe qu'en référence à un ensemble de croyances qui sont pré-existantes à cette vérité. Cela signifie que la croyance du chrétien pré-existe à Dieu, compte tenu que Dieu est l'unique vérité. BRAVO ! Il est "vrai" que vous avez reconnu que la logique n'était pas votre spécialité. Cependant, vous prétendez malgré tout être "inspiré" de l'esprit qui est pure logique. Il y a là comme une sorte d' "invraisemblance".
Ce genre de vérité est souvent appelé vérité cohérente.
Souvent oui, mais complètement à tort !!! Ce genre de vérité, par l'inconsistance de son discours et l'invraisemblance ne peut certainement pas être cohérente. Par ailleurs, ces croyances, dès lors qu'elles sont accompagnées de moyens d'examen et d'épreuve, cessent d'être, afin de laisser place à la certitude, qui est le vrai ciment de la vraie foi, celle-ci dans le sens d'une force d'assemblage et d'une fidélité sans réserve.
Ce qui explique vos innombrables erreurs c'est de prétendre RAISONNER ce qui n'est accessible QUE par la foi.
Aucune de mes erreurs n'est explicable dès lors que vous n'en avez démontré aucune. Par contre, les erreurs de la croyance sont faciles à relever et à démonter. Ainsi, beaucoup de gens démarrent leur vie en ayant foi au Père Noêl. Et selon votre discours, ils sont bien coupables, lorsque, devenus plus instruits, ils n'y croient plus. Cette croyance au Père Noêl est "cohérente". Et oui, elle coule de source !
Car vous sondez le contenu verbal d'une affirmation,
En effet, et lorsqu'on le fait, on s'aperçoit que toute affirmation est la négation d'une non-existence première.
là où d'autres parlent d'une expérience INCOMMUNICABLE.
Si elle est incommunicable, comment les congrégations peuvent-elles prétendre la communiquer, la transmettre, l'enseigner et démontrer qu'elle est tout cela par transmission apostolique ? Là se trouve la limite de l'insupportable. Parce que, lorsqu'on se penche sur l'histoire des spiritualités, on s'aperçoit que bien qu'incommunicable, les hommes ont largement cherché à la communiquer. C'est d'ailleurs le but des écrits sacrés, de leurs commentaires et des efforts sans nombre que cette humanité a consacrée à cette réalité. Au contraire, si cela ne se communique pas, c'est parce que cela est présent constamment, sans défaillir, et que l'être humain, qui est Nephesh doit en prendre conscience. La seule réelle expérience, est la découverte de cette présence, et pour y parvenir, il est nécessaire d'en concevoir d'abord la possibilité intellectuellement.
(Si elle était communicable, il y a beau temps qu'il n'y aurait plus d'athées..)
Elle est pure présence, et même dans les athées.
L'amour est atteint par l'espérance au moyen de la foi.
La spiritualité ne vise pas l'Amour, mais la compassion comme moyen équilibré et juste de construire l'assemblée, en cimentant ce qui est éparpillé en apparence. La notion d'espérance ou d'attente (elpiz) ne peut se concevoir que si la fidélité est action et dynamisme. C'est pourquoi, croire et espérer ne sont pas suffisants pour cheminer la voie. La conversion du chrétien l'oblige à bien davantage.
D'ailleurs, ni les disciples, ni les apôtres, ni Jesus-Christ ne mettent en valeur les raisonnements sophistiqués, mais bien la FOI.
Pourtant, il ne manque pas de versets qui affirment exactement l'inverse. D'ailleurs, Jésus ne pouvait que frapper son entourage par son autorité et son intelligence. Sans l'intelligence et sans cette autorité, qui, à l'époque aurait choisi de croire ? Par contre par l'intelligence, on crée la confiance puis la fidélité. C'est pour cela que la science apporte des éléments de certitude et de fidélité. Vous êtes-vous posé la question de savoir pourquoi les hommes politiques, les évêques, les professeurs, les docteurs font l'objet de foi de la part des peuples ?
La réponse est : parce qu'ils occupent une position sociale élevée. Beaucoup de tromperie est ainsi rendue possible, simplement par la croyance que ceux qui ont une position sociale élevée et attestée traditionnellement par la communauté, sont ceux qui détiennent la vérité et la solution des problèmes. Très honnêtement, à la lecture de l'histoire, peut-on réellement reconnaître comme bien-fondée une telle foi populaire ?
En religion, l'homme le moins en vue, le plus démuni, le plus caché, et qui pratique la voie, est infiniment plus une autorité spirituelle, parce qu'il vit en conformité de l'intelligence et que sa vie n'a jamais de conséquences extrêmistes. Il vous faut relire les textes en analysant chaque mot.