Je pourrais facilement vous retourner le compliment tant je sens depuis longtemps d'amertume, de propension au jugement et de tentation à la condamnation dans vos posts. La croix nous en portons tous une et la mienne n'est pas moindre de beaucoup d'autres et il me semble révoltant de vouloir l'alourdir pour qui que ce soit. Bien au contaire, la dignité et la raison d'être du croyant, à l'exemple de Simon de Cyrène, est de soulager autant que faire se peut le poids de la vie qui pése sur les épaules de nos prochains.la mouette a écrit :@Athanase
Ce n'était pas une malédiction que je vous souhaitais, mais plutôt d'avoir à porter une croix rédemptrice car les excès de table semble avoir endormie votre compassion et votre sens de la réalité.
Parlez d'amour pour votre prochain autant que vous voulez, cachez-vous derrière des phrases toutes faites, la réalité, c'est que je ne ressens ni foi en Dieu dans vos réponses, ni amour, ni compassion...juste des mots sans aucune profondeur, sans coeur...
Si mes paroles vous semblent denuées de charité sachez que c'est loin d'être le cas même si elles peuvent vous paraitre dures car la croix est une dure réalité faite de nos péchés et de nos erreurs qui blessent le coeur de Dieu et l'humanité dans toutes ses dimensions et il m'est impossible de déclarer bien ce qui mal et mal ce qui est bien. Non, on ne va pas au paradis en assassinant des innocents, non, on habite le royaume de Dieu en répandant le mensonge, pas plus qu'on mérite d'éloge de la part de Dieu quand on refuse la qualité de frère à nos frères en humanité.
Voilà qui est dit et redit et ce sont bien des paroles de charité, tant la gloire de Dieu n'est pas de punir les pécheurs que de les faire revenir à Lui, car Dieu n'est pas jugement mais miséricorde et nous ordonne d'être miséricordieux à notre tour.... et le couteau des égorgeurs, la kalachnikoff et la ceinture d'explosif, pas plus les malédictions ne sont les instruments de la miséricorde.
Pensez ce que vous voudrez de mes supposés excès de table, mais je prie de croire que j'aurai, bien que dépourvu de cœur et d'intelligence, une pensée pour vous et pour tous vos coreligionnaires, ce soir à la messe en partageant la paix du Christ.